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{  “ -   Allo Houston, on a une cochonne... ”
feat Barnay Stinson }
crédit/ bricole gif : cripplingshyness feat. @Lyra Baxter

Tu refermas ton appli de rencontre sur ton téléphone. Un sourire mutin se dessina sur tes lèvres quand tu repensas à ta conversation avec ta collègue Lyra. C’était le dernier endroit que tu aurais pensé à la voir. Non que tu la voies prude au contraire mais tu avais pensé qu’elle était plus le genre de femme à chercher une relation sérieuse. Et non des amants de passage. Mais la blonde t’avait surpris. Séduit. Un jeu s’était installé et tu avais fini par lui balancer ton adresse en lui disant que si elle voulait tenter l’expérience, tu étais son homme. Qu’elle soit ta collègue ne changeait rien en soit. Tant que la personne était consentante et était d’accord avec ce que tu proposais, ça t’allait. Car toi tu ne recherchais pas à te poser. Tu n’étais pas ce genre d’homme qui cherchait une relation et qui rêvait d’un mariage blanc avec des gamins à la pelle. Le célibat t’allait même si au fond de toi, tu étais un romantique. Rien d’étonnant que tu animais si bien le talk show que tu présentais d’ailleurs. Tu étais honnête. Inspiré. Un très bon parti sur New York. Et ça faisait de l’audience. Tu étiras tes bras en l’air pour les faire craquer. Rester assis dans ton canapé à parler sur le réseau social de rencontre t’avait rendu quelque peu engourdis. Tu avais refermé l’appli avant de recevoir une réponse de Lyra. Tu lui avais dis que tu serais chez toi toute la soirée et que ta porte ainsi que ton lit lui était ouverte. Tu avais une chance sur deux qu’elle ne viendrait pas et que tu allais passer une soirée seul mais c’était un risque que tu prenais. Tu le sentais. Que ta provocation avait touché une corde sensible chez ta collègue. Un sourire satisfait aux lèvres, tu te relevas de ton canapé et parti dans ta salle de bain. Une douche italienne prenait place avec de la mosaïque. Ça puait le fric. Et c’était élégant et sobre à ton image. L’eau chaude sur ton corps nu te fit un bien fou. Tu ne savais vraiment pas comment t’habiller. Jouer l’élégance en portant des vêtements ? Osé la tenue d’Adam ? Ou jouer la provocation en ne gardant que ton boxer ? La dernière solution t’inspirait et tu enfilas un boxer de marque. Il mettait en avant tes attributs mais les cachait laissant tes tablettes de chocolats que tu entretenais avec de nombreuses séances de sport à l’air libre. Tes cheveux en batailles et encore mouillés, tu partis de la douche et rejoignis ton bar. Tu avais envie d’un verre. Pour patienter. Est-ce la douce Lyra viendrait ou viendrait-elle pas ? Cette question se posa dans ton loft studieux. Dans la première hypothèse, tu savais comment allait se dérouler la soirée. Dans la deuxième, tu n’avais pas trouvé un plan B. Chiller devant un film ou une série ? Ca ne te ressemblait pas. Toi chaque soir tu étais dehors et revenait avec un chanceux ou une chanceuse que tu emmenais au septième ciel. Tu n’avais pas l’habitude de ne rien faire. Mais tu le devais. Tu avais dis que tu serais chez toi et tu n’avais qu’une parole. Que la chance soit avec toi !

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Je suis encore en train de regarder mon téléphone et me demander ce qui à bien pu me passer par la tête de proposer cela à un collègue. En même temps, je dois bien avouer que je lui ai toujours trouvé un petit quelque chose. Et puis, il faudrait être aveugle pour ne pas voir qu’il est canon. Son invitation est explicite, il m’offre sur un plateau, ce qui est ironique, son petit monde en dehors du boulot. Mon téléphone est fermé depuis déjà plusieurs minutes quand je me décide enfin. Si je ne vis pas aujourd'hui, quand est-ce que je le ferai ? Et puis, tant qu’à avoir un coup d’un soir aussi bien que je le connaisse et lui fasse confiance, parce que bien que je sais qu’il est bien loin des relations stable je ne peu pas dire qu’il ne m’inspire pas confiance, une bonne chose pour lui est bien que je ne veux pas de relation stable tant que je ne serai pas certaine d’être amoureuse, et bien que je suis sur le point de vouloir me lancer corps et âme dans son tableau de chasse, je ne suis pas amoureuse de lui, j’ai juste le même besoin que lui, il y a bien trop longtemps que je ne me suis pas laissée aller aux plaisirs qu’il me promet. Après une douche rapide, j’envoie un texto à Lylla lui avouant que je rencontre un mec ce soir, sauf que je précise pas qui il est ni même que nous n’allons pas dans une date, simplement directement chez lui. Je lui dirai après, elle voudra des détails que je n’ai pas, mais surtout je ne sais pas comment elle va réagir en sachant que je vais travailler avec lui sous peu encore. J’ai rapidement optée pour une petite robe noir légère. Une robe qui révélait ce qui avait à l’être tout en laissant le champ libre à l’imagination, mais son gros point positif pour ce soir, c’était qu’elle s'enlève facilement.

C’est dans le taxi pour me mener chez lui que le stress commença à pointer le bout de son nez, qu'est-ce que je faisais là au juste ? En allant sur l’application je savais à quoi m’attendre, j’avais décidé de laisser une chance à ses aventures ou à ses nouvelles rencontres. Quand j’avais cliqué sur le coeur sur son compte j’étais loin de m’attendre d’avoir matcher avec lui, mais, aussitôt j’avais comprise qu’il avait aussi liker mon profil, aussitôt j’avais souris, parce que comme je pensais plus tôt ce soir, cet homme est canon et il semble me trouver assez à son goût pour cliquer sur le coeur dans mon profil alors qu’il aurait simplement pu passer outre. On me dépose devant l’adresse qu’il m’a donnée. Je sais que je peux encore tourner les talons, mais est-ce que je le voudrais vraiment. Je souffle, allez je peut le faire, je ne serai certainement pas la première à laisser ses envies prendre le contrôle de son corps, et ma chance ne repassera sans doute pas deux fois avec lui. Il m’a promis un nuit de folie, et je compte bien voir s’il exagérait ses prouesses. Je toque à la porte et patiente pour qu’il vienne ouvrir. Allez, profite de la soirée Lyra.

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Attendre. C’était ce que tu devais faire. Attendre que la douce Lyra vienne chez toi pour partager un moment unique et inoubliable. Ou attendre pour rien. Ta soirée avait ses deux options. L’une plus attrayante que l’autre. Tu espérais grandement la première prenait le pas sur la deuxième car il y a fort longtemps que tu n’avais rien fait de tes soirées en solitaire. Et ça t’effrayait quelque peu. Un verre de whisky pur dans une main, tu t’étais allongé de tout ton long sur ton canapé. Tu devais attendre. La patience a toujours été une de tes qualités car tu savais ce que tu gagnais à la fin. Mais la c’était différent. Lyra était différente. Même si tu savais qu’elle avait envie de visiter ton royaume pour un soir, tu savais comment elle était. Tu savais bien cerner les gens. Tu avais toujours été quelqu’un d’observateur. Et Lyra faisait parti de ce genre de personne qui était imprévisible. Et ça te plaisait. Tu aimais les défis. N’avoir rien pour acquis. Même si la clairement le risque était important. Faire une soirée en solitaire ce n’était pas le genre de soirée que tu aimais passer. Alors tu espérais sincèrement qu’elle vienne. Tu ne savais pas combien de temps tu restas la. A attendre. Allonger sur ton canapé comme un con avec comme seul invité ton verre d’alcool. Verre que tu n’avais pas encore vu d’ailleurs. Quand tu le portas enfin à tes lèvres, un coup à la porte se fit entendre dans ton appartement. Quelqu’un frappait à ta porte. Et tel un félin, tu sortis de ton canapé. Tu portais toujours un boxer de grande marque comme seul vêtement. Et tes cheveux avaient séchés depuis le temps. Tu arrivas silencieusement derrière la porte et l’ouvrit. Un sourire s’étira sur tes lèvres quand tes prunelles tombèrent sur deux prunelles que tu connaissais très bien. Pour bosser avec chaque jour de la semaine. « Tu es venu finalement. » Lyra était devant toi. Dans une superbe robe noire qui mettait en évidence sa crinière de lionne. Elle avait toujours été séduisante. Un rien ne l’habillait. « Tu es magnifique. » Tu avais toujours été quelqu’un d’honnête et ce n’était pas la première fois que tu lui disais ce compliment. Mais la c’était une autre manière. Car vous saviez tous les deux ce que vous allez faire dans la soirée. Et c’était excitant. Tu fis un pas en arrière pour dégager le passage de chez toi. « Tu veux rentrer ? » Tu portas un regard sur elle en lui montrant ton appartement. Lui faisant clairement comprendre que si elle pénétrait chez toi qu’elle ne pouvait plus faire marche arrière. Tu lui laissas quand même la possibilité de retrousser chemin. Ce n’était clairement pas dans ses habitudes les coups d’un soir tu en étais certain. Alors tu faisais en sorte qu’elle soit calme. « Tu as encore une possibilité de partir Lyra et je ne t’en voudrai pas. » Et la rassurer également. Que même si la peur lui préférait faire tourner les talons, vos relations resteront les mêmes qu’avant aujourd’hui. Ca ne changerait rien.

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Je me trouvais devant sa porte et attendait qu’il l’ouvre. J’avais sans aucun doute encore le temps de fuir, mais pourquoi ? Parce que sérieusement, Ace lui plaisait, depuis qu’elle avait posé ses yeux sur lui alors pourquoi s’empêcher de prendre du bon temps alors que c’était consensuel. Il lui avait promis que rien ne changerait sur le plateau et elle le croyait, après tout, elle était certaine de ne pas être la première à passer dans son lit, tant qu’elle était la seule ce soir, ça lui allait parfaitement. Si j’avais été peu surprise de le trouver sur l’application de rencontre, le fait de l’avoir surpris lui en étant dessus, mais encore plus quand ils avaient matcher tout les deux l’avait fait sourire, incluant tous les messages qu’ils s’étaient envoyer depuis que l’application les avaient mit en contact. Elle avait vu une autre facette de Ace et elle avait plongé dans l’aventure. Lorsqu’il ouvrit la porte elle ne put s’empêcher de remarquer que pour seul vêtement il ne portait qu’un boxer. Il n’avait pas mâché ses mots et elle fut heureuse de ne pas arriver chez lui pour qu’il se défile, bien qu’il en avait encore le temps.  « Tu doutais que je viendrais ? » Oh moi aussi j’avais doutée, sauf que l’avoir devant moi, avoir son regard qui détaillent les efforts que j’avais mise pour être attirante pour lui éveilla en moi une excitation que je ne connaissais que trop peu. Depuis que j’étais arrivée à New York je vivais à nouveau, je me sentais moi-même et osais aussi un peu plus profiter de la vie. La preuve, quand il m’invita à entrée un boost de confiance monta en moi et je décidai que s’il pouvait me draguer, je pouvais aussi, après tout, j’étais là pour cela, avoir son attention d’une nouvelle façon.. « À moins que tu veuilles que nous restions sur le balcon… » Je n’étais pas rendu à vouloir m’amuser avec un homme devant un public, sauf que je fis un clin d'œil à Ace et entra dans son appartement. Détaillant l'endroit, je compris que l’homme qui refermait déjà la porte avait bon goût et loin d’avoir mon salaire non plus. En même temps, mon petit logement tout simple m’allait amplement vu que j’y étais rarement. S’il voulait me mettre à l’aise de partir, Ace était un vrai gentleman j’en étais bien consciente, sans doute pour cela qu’il m’avait attiré, il avait ce petit je ne sais quoi qui attirait les gens comme des aimants, et je faisais partie de ses gens, à présent que je le voyais très peu habillé, dans un décors autre qu’au travail, je ne me voyais pas le laisser en plan et partir. « À moins que tu ne veuilles que je parte, et que tu en as aussi le droit, je suis prête à rester. » puis dans un murmure j’ajoutai tout simplement « Et ce, même avec joie. » J’avais l’impression d’avoir laissée tout d’un coup le stress à la porte d’entrée et mit mon chapeau de femme fatal, du moins, si on pouvait dire cela de moi. Sans me poser plus de question je laissai tomber mon sac à main qui contenait mes clefs et me retournai vers Ace qui se tenait pas loin de moi. « Sauf qu'on n'est pas à égalité … » Elle passa les mains derrière son dos et dézippe sa robe qui glissa de ses épaules et se retrouva à ses pieds, la laissant en sous-vêtement face au regard de l’homme devant elle. « Maintenant, on peut dire qu’on est un peu plus juste. » Il lui avait ouvert la porte dans si peu de vêtements, qu’elle avait tout d’un coup beaucoup plus de courage de le laissé la voir autrement qu’il est habitué de la voir au travail à tous les jours.  

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Lyra était venu. Chez toi. Ravissante dans sa robe qui l’a rendait femme fatale. Elle était venue. Et semblait curieuse que tu as pu douter qu’elle ne venait pas à ton rendez-vous. Tu préféras jouer sur la défensive. « Pas toi ? » Vu ce que tu savais sur elle et ce qu’elle t’avait déjà confié, tu savais que ce n’était pas son truc les aventures d’un soir. Pourtant, elle était la. Pleinement consciente de ce qu’il allait se passer chez toi. Pleinement consciente de ce qu’il y aura après. Tu avais été clair sur le sujet. Tu trouvais que la franchise était une qualité et non un défaut. Tu apposais tes conditions directement. On les acceptait très bien sinon tant pis. Tu ne voulais pas te prendre la tête avec ça. Tu ne voulais pas ramasser des larmes et encore moins des gifles parce que tu n’avais pas dit tes intentions à la base. Tu préférais prévenir que guérir comme dirait certains. Et ta collègue Lyra était venue. Et tu étais content. Un sourire glissa sur tes lèvres quand tu te décalas sur le côté pour la laisser passer. Tu préférais de loin le faire en privé plutôt que devant ta porte d’entrée. Tu ne pu t’empêcher de lui glisser un regard sur son corps quand elle passa devant toi. Elle était magnifique. Appréciateur. « Tu es pleine de surprise. » La porte tu la refermas d’un geste de la main la faisant claquer. Fermant ainsi toute éventualité de fuite. Elle était venue. Et tu comptais bien respecter ta part du marché. Quand elle te disait que vous n’étiez pas à égalité, tes sourcils furent étonnés mais tu sentis vite la chaleur grimper dans ton corps quand elle laissa sa robe glisser sur son corps. La laissant en sous-vêtement. Elle était encore plus magnifique. Et comme hypnotiser, tu allas dans sa direction. Elle était fière de son petit effet. D’être à égalité selon ses dires. Elle voulait jouer. Tu étais son homme. « Lyra, belle Lyra.. » Ton corps fut à quelque mètre du sien et tu levas une de tes mains pour la glisser au dessus de son menton. « Je n’appelle pas ça être à égalité, tu as encore plus de vêtements que moi. » Tu faisais référence à son soutien-gorge. Toi tu ne portais qu’un boxer. Et elle le haut et le bas. « Je peux t’aider à réparer cette regrettable erreur. » Ton autre main glissa sur une de ses épaules nues et tu laissas tes doigts frôler doucement sa chair. Comme si tu voulais la découvrir. Comme si son corps était une carte au trésor et que toi tu étais Indiana Jones. Tes doigts glissèrent sur une de ses bretelles et la fit tomber de son échasse. « Je suis sur qu’il sera bien mieux par terre que sur toi. » Tu rapprochas encore plus ton corps du sien mais en gardant un infime espace entre les vôtres. Pour lui faire comprendre qu’elle pouvait tout arrêter si elle voulait. Ou rester et s’aventurer aux plaisirs d’une nuit. « Je peux ? » Ta main s’était aventurer dans son dos et s’était nicher au creux de son soutien-gorge. Prêt à le dégrafer.

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   Je regarde un peu partout autour de moi, sa demeure est jolie, en même temps, le connaissant je ne pense pas qu'il aurait accepté moins que ce que je retrouve autour de moi. De voir que malgré que je n'étais jamais allée chez lui et que j'arrive à le reconnaître malgré tout me calme un peu. Mon collègue restera le même, après tout il me l'a promis. Es-ce que j'ai hésité à venir ? Bien entendu! Es-ce qu'il doit avoir raison alors que ce soir j'ai décidé de profiter de ma vie ? Non. « Je ne révèle jamais ce genre de secret. » ce n'est pas une réponse claire, mais il me connaît sans doute assez pour comprendre que je blague un peu, je ne suis quand même pas habituée à ce genre de soirée, sauf que ce soir j'arrive à être à l'aise alors que je suis avec lui. Après tout, je le connais un peu. Assez pour savoir qu'il n'est pas du genre à me foutre à la porte après une soirée.

Quelques instants après, ma robe glisse sur mon corps pour rejoindre mes pieds. J'aurais pu être gênée par cette barrière qui venait de tomber. Toutefois, le fait qu'il me trouve pleine de surprise, ainsi que le regard qu'il pose sur moi me donne le courage qui aurait pu me manquer. Ainsi, quand il vient vers moi je ne bronche pas, il ne me fait pas peur. Bien au contraire, notre petit jeu par messagerie, son accueil, ses regards je dois bien avouer que je suis rendue à un stade où j'espère fortement qu'il ne mette pas fin à notre soirée.
Ma crainte fond rapidement, comme ses doigts effleure mon menton, me mentionnant que nous n'étions toujours pas à égalité, je lui fais un sourire alors qu'il me propose de réparer cette erreur. Le regardant dans les yeux avec cette confiance en moi que j'ai rarement, mais que ce soir domine ma personnalité, je lui souris avec ce que j'espère être un sourire aguicheur. Ses mains qui glissaient sur mon épiderme me donnaient des frissons. Je n'avais toutefois pas froid, bien au contraire, j'en avais maintenant même du mal à endurer le tissu qui semblait tellement moins confortable que ses mains.
« Fais toi plaisir. »
Sa main n'attendait que cela pour enfin dégrafer mon soutien-gorge et comme je le sentais céder je collai mes mains sur son torse, laissant aller mon regard sur son corps si près du mien.
« C'est mieux ainsi ? En tout cas, je suis plus confortable comme cela.  »
Je me recule à peine, sereine comme je le suis ce soir je le laisse me regarder, ce soir je suis fière de mon corps.
« Et donc, tu avais réfléchi à ce que tu voulais me faire vivre comme expérience ce soir ?  »