Un accident arrive beaucoup trop facilement.
w/ ✰ @Lylla Barnes & Nikolaï
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Néant totale. Le mois de décembre était vraiment celui que tu détestes. Tu n'aimes pas tellement les fêtes de fin d'année pour plusieurs raisons dont la première est que ton travail est beaucoup trop impacté. Les nombreux congés font diminuer les enquêtes de plusieurs jours, voire mois. L'enquête de Maïa avait beaucoup d'importance à tes yeux notamment par le jeune âge de la demoiselle. Tu avais mis ta carrière en jeu pour que l'audience tienne toujours puisqu'ils avaient prévu de la décaler après les fêtes de Noël et fin début d'année. Tu avais mis mains et pieds pour que cela n'arrive pas, tu voulais qu'il soit derrière les barreaux. Après avoir eu toutes les informations et enquêté avec ton collègue, l'homme avait pu être intercepté par tes soins. Tu y tenais beaucoup, mais le regard qu'il t'avait lancé lors de l'arrestation en disait long. Il t'avait clairement menacé durant l'interrogatoire, pourtant tu n'avais rien relevé. Tu avais enfiler ta plus belle doudoune de ton dressing pour assister à l'audience afin d'entendre la sentence de ce dernier malgré que tu aurais préféré qu'il prenne plus. C'est déjà un combat gagné.

Deux semaines plus tard, tu avais pu vaquer à d'autres enquêtes malgré les ralentissement. Seulement, tu te retrouves à devoir s'impliquer dans une mission afin de mettre la main sur un gros baron de la drogue. Une équipe avait été formé pour éviter tout échappement de cet homme. Derrière le volant, tu t'appuies contre le dossier en lâchant un long soupir en posant ton regard sur l'entrepôt à quelques mètres. Le froid de Décembre te fait frissonner malgré la doudoune enfiler avant de quitter ta femme au petit matin. En plus des fêtes, la neige n'est pas quelque chose dont tu apprécies la compagnie.

Lylla. Ô la belle Lylla de ton coeur.
Ton esprit est ailleurs durant un cours instant avant de te concentrer en secouant le visage avant de descendre de la voiture en compagnie de tes collègues avant de te mettre en retrait. Tu avais décorer ton sapin quelques jours plus tôt avec ta femme qui était heureuse de faire Noël en vacances, tu avais promis de prendre du repos. Tu aurais préféré que ce soit en janvier afin de partir un peu dans une autre ville afin d'essayer de coller les morceaux. Votre couple était au bord du précipice et à l'échec. Le feu vert à été envoyé avant de commencer à boucher les entré et sortie avant d'hurler comme à chaque fois en ayant l'arme pointé devant toi pour te défendre, sait-on jamais. Chaise individu avait été menotté après avoir dit la phrase d'accroche par chaque flic avant de sentir une arme pointé vers toi, pensant à une mauvaise blague tu te tournes vers la personne en ouvrant grand les yeux en ayant donné le signal pour appeler les pompiers en amont au vu des tirs donnés. Tu étais contre, mais c'était le choix de ton métier.  

" Eh ouais, monsieur le flic parfait… j'ai su passer entre les mailles du filet comme on dit. Mais, de ton côté…. Tu tombes au bon moment pour te mettre une balle bien placée." Dit-il d'un voix mielleux en te jetant un regard noir. Sans même attendre une réponse de ta part, un bruit sourd se fait attendre avant d'en suivre d'un autre. Ton esprit quitte ton corps durant un léger moment avant de reprendre conscience en te sentant secoué et des bruits lointains. Touché à l'épaule mais comme ci c'était le coeur. Les bruits des pompiers approche en entendant le girofard. T'es collègues connaissent les premiers soin dont maintenir la plaie fortement afin d'éviter tout hémorragie possible.

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{  “ -  Et je sais que je vais perdre le contrôle sur ce qui sort de ma bouche. ”
feat  Ed Sheeran "Bad Habits" }
crédit/ bricole gif : madame satan feat. @Nikolaï Mills

Le bruit d’une sirène stridente raisonnait dans l’une des casernes de New York. La tienne. Le signal que New York avait besoin de ses pompiers. Celle qui faisait monter ton adrénaline au max. Celle qui te faisait vibrer. Te donnait du sens au métier que tu faisais. Que tu adorais. Qui te faisait sentir importante. Que tu maitrisais d’une main de maitre au point qu’on t’avait donné le poste le plus haut classé d’une caserne de pompier : capitaine. Un honneur qui ne te faisait pas prendre la grosse tête. Un honneur qui te donnait malgré toi une certaines pression. Qui t’animais à chaque fois que tu prenais ton service. Tu refermais ton uniforme avant de prendre place dans le camion. Donnant les ordres à ton équipe. Une équipe de police vous avez appelé suite à un appel qui devait arrêter un gros trafic de drogue. Qui pouvait sous-entendre qu’il y aurait des coups. Des tirs. Des blessés. Malgré toi, tu pensais aussitôt à Nikolai. Tu l’avais revu et tu savais le métier qu’il faisait. Et si c’était lui qui était en intervention ? Un virage à gauche te fit secouer la tête. Tu devais rester concentré. Et non te perdre dans tes pensées. Dans tes inquiétudes. Avoir la tête froide. Car c’était ton devoir d’être à cent pourcent sur le terrain. Et non l’inverse. Quelques minutes plus tard, tes yeux parcouraient l’endroit où le camion se faufilait pour se garer. Un entrepôt. Complètement abandonné. Parfait pour ce genre d’opération. Tu voyais déjà des flics dehors avec des personnes menottés. Tu glissas de l’extérieur du camion au moment même où un flic en uniforme courrait dans ta direction. « Vite. On a besoin d’aide. Notre lieutenant a reçu une balle à l’épaule. » Ni une ni deux, tu enfilas ton sac sur tes épaules et partis d’un pas accéléré. Au même rythme que l’agent qui t’accompagnais. « Est-ce qu’il a perdu beaucoup de sang ? » Tu devais prendre le maximum d’informations avant d’arriver sur la scène du crime. L’agent secoua la tête. Indécis. « J’en sais rien madame. La seule chose que j’ai vu c’est un homme fier se dresser devant le lieutenant Mills et l’abattre comme s’il le connaissait. » Tes pieds se stoppèrent en attendant le nom de famille de ton premier amour. Impossible. « Mills comme Nikolaï Mills ? » Tu le voyais du coin de l’œil hocher la tête positivement. Ce que tu redoutais le plus t’arrivait. Tu ne pris même pas la peine d’écouter ses nouvelles paroles que tu te mis à courir. Nikolaï était blessé et perdait beaucoup de sang. C’était la seule chose qui restait dans tes pensées. Tes yeux tombèrent au loin sur des personnes qui s’étaient accroupis devant quelque chose. Ou plutôt quelqu’un. Tu compris qu’ils exerçaient les gestes de premiers secours. Et tu arrivas rapidement vers eux. « Laissez-moi passer. » Ils partirent. Te laissant la place. Tes yeux tombèrent rapidement sur la victime. Du sang colorisait le vêtement vers l’épaule et s’agrandissait. L’épaule de Nikolaï. Tu t’agenouillas rapidement après avoir posé ton sac de secours et plaça ta main sur son épaule pour maintenir la pression sur sa blessure. Tes doigts se colorisaient de rouge. De son sang. Mais tu t’en fichais. Seul lui l’importait. Seul le sauver comptait à tes yeux. « Tu sais si tu voulais me revoir tu aurais pu choisir une autre option que de te faire tirer dessus. » L’humour s’était votre truc. C’était il y a des années. Et les réflexes étaient revenus rapidement au galop. Tu glissas une main dans ton sac pour ressortir ton matériel. « Sur une échelle de 1 à 10, tu as mal comment ? » Il fallait que tu t’assures qu’il aille bien. De savoir si la balle était ressorti de son épaule ou était encore logé dedans. La première était meilleure que la deuxième mais tu avais le mauvais pressentiment que ça n’allait pas se passer comme prévu.

Un accident arrive beaucoup trop facilement.
w/ ✰ @Lylla Barnes & Keith
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Tu t’étais fait avoir comme un bleu en ayant oublié le point essentiel lors d’une intervention : être concentré à cent pourcent et ne pas avancer sur le terrain en donnant le protocole à ses équipiers. Un long soupir s’échappe entre tes lèvres en étant étendu au sol dans l’incapacité de se lever à cause des personnes qui te maintiennent l’épaule. Après plusieurs minutes de débat afin de pouvoir te redresser, tu abandonnes l’idée en te laissant faire sous le regard inquiet de tes collègues.  Une balle perdu dans l’épaule ne t’enlèvera pas la vie, mais pourra te donner des difficultés si cela n’est pas bien soigné. Après mûre réflexion, tu préfères être soigné comme il le faut pour retrouver ton bras malgré l’âge qui se fait sentir chaque matin. Les cris des personnes autour de toi te donnent la migraine, mais impossible de leur dire de se taire. Tu n’avais guère envie de parler à quiconque, tu as beaucoup de mal à accepter d’être celui d’être allongé. La fierté. Rancunier, que tu es. Posant la main libre sur ton visage avant d’entendre cette voix qui t’avait tant manqué ces derniers jours. Tu lèves le bras afin de découvrir la belle indienne accroupie près de toi en te faisant une blague, tu finis par enlever ton bras afin de lui faire face. « Je vois que tu as entendu mes prières, Lylla. » siffles-tu dans un ton taquin en étirant un sourire en coin. C’est la seconde fois que tu la vois et toujours aussi splendide à tes yeux, mais surtout dans son uniforme de capitaine. Tu pouffes légèrement en haussant une épaule qui ne te fais pas mal à sa question « Depuis ton arrivée, la douleur s’est dissipée… Tu as fait un tour de magie, avoue ? » déclares-tu en la toisant droit dans les yeux en te moquant d’elle. Malgré les années qui vous séparent, l’humour est toujours aussi présent entre vous. C’était comme si vous n'aviez jamais fait votre vie chacun de votre côté. Lorsqu’elle te pose la question qu’on pose habituellement à des victimes, tu essaies de te redresser car tu ne supportes pas être en état de vulnérabilité et encore moins devant la brune « Ne me considère pas comme une victime, Lylla. » tu sais qu’elle ne fait que son métier, mais c’était quelque chose dont tu étais contre. Tu te pinces les lèvres avant de voir son regard qui veut en dire long. « 5/10. C’est supportable, mais si cela traîne… Bah je risque de perdre mon bras et je signale en avoir besoin, très chère collègue. » avoues-tu en souriant cette fois-ci en croisant son regard, le tien était neutre mais amusée de la voir.

Tu plisses les lèvres lorsqu’elle appuie sur ton épaule en essayant de l’aider au mieux, tu n’étais pas en béton et ressentait la douleur comme quiconque. « C’est supportable, mais en tripotant de la sorte… La douleur augmente de façon progressive. » avoues-tu en voyant ses mains tachées de ton sang. A l’époque de votre relation, tout était facile et sans problème, malheureusement tu ne pouvais pas revenir dans le passé. Cependant, tu veux avancer dans la vie et avoir les réponses à tes questions de l’abandon de la brune. « Si je m’en sors indemne, tu m’accordes un café cette fois-ci ? Je pense qu’on à pas mal de choses à rattraper. » à se dire, surtout. Tu avais vu l’une des jumelles qui t’avait posé plusieurs questions concernant ta relation avec la brune. Tu avais été attaqué d’une avalanche de questions que tu ne savais pas si tu avais pu lui répondre. Tu avais décidé de lui répondre de façon approximative pour ne pas entrer dans les détails pour ne pas aller contre sa mère qui n’y répondait pas visiblement. Comment le lui dire ? Un nouveau soupir avant de la toiser intensément « Tu n’as pas le droit de refuser, Lylla. J’ai rencontré ta fille, Maia. » avoues-tu en la regardant afin de voir sa réaction.

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{  “ -  Et je sais que je vais perdre le contrôle sur ce qui sort de ma bouche. ”
feat  Ed Sheeran "Bad Habits" }
crédit/ bricole gif : white butterfly feat. @Keith Flemming

Un sourire étira tes lèvres même si la situation t’inquiétait. Vu ce qu’on t’avait dis, la balle était ressorti ce qui était une bonne chose. Moins quand tu connaissais la personne. Ce qui était ton cas. Allongé de tout son long, Keith faisait le fier. Même dans les moments comme celui-ci, il n’aimait pas qu’on le considérait comme une victime. Et sans doute se maudissait-il de s’être fait avoir comme un bleu. Au moins l’humour lui faisait oublier la douleur qu’il ressentait. Et toi te faisait oublier l’étrange sensation d’avoir des papillons dans le ventre comme à chaque fois que tu le voyais. « Une magicienne ne dévoile jamais comment elle fait, on ne te l’a jamais appris ? » Un sourire amusé s’étira sur tes lèvres avant que tes yeux se braquent sur sa blessure. Naturellement, tu t’activas dessus. Le questionna. Cherchant à apaiser sa douleur. Faire arrêter l’hémorragie. Lui poser les questions standards qu’il répondit non sans un reproche. Car Keith était comme ça. Fidèle à lui-même. Fort. Alors qu’il était vulnérable à ce moment la. « Tu ne le perdra pas si tu réponds à mes questions et que tu te tiens tranquille. » Ce que tu voyais, aucun organe n’étaient touchée. Juste son égo. Qui lui ne s’en remettrait certainement jamais. Pas comme son épaule que tu commençais à soigner. Quand il te disait que la douleur arrivait, tu hochais la tête et sorti de ton sac de quoi le soulager. « Je vais te donner quelque chose pour la douleur. Et si t’es sage, tu aurais même le droit à une sucette. Il doit m’en rester quelques une au goût que tu aimes. » Généralement les friandises, tu les donnais qu’aux enfants pour qu’ils pensent à autre chose à la douleur. Mais Keith restait un éternel enfant. Fort. Fidèle. Borné. Vu qu’il ne s’empêcha pas de reposer la même question qu’il t’avait posé la dernière fois que tu l’avais vu. De boire un café ensemble pour parler du passé. D’avoir des explications du pourquoi tu t’étais enfui sans lui fournir d’explication. Tu savais bien qu’en acceptant un poste à New York, ça allait arriver. Encore plus que vos métiers faisaient souvent équipe pour des interventions. Tu le savais. Pourtant tu n’étais clairement pas prête. Affronter un immeuble en flamme, oui tu y allais en courant. Boire un café avec ton premier amour en lui disant que ton père t’avais forcé à faire tes valises quand il avait su que tu étais enceinte pour partir dans un autre Etat ça un peu moins. Lui dire qu’il était papa de deux jeunes femmes et que tu lui avais cachée ça alors la pas du tout. Tu prenais l’immeuble en flamme directement. Tu lui administras le calmant à l’aide d’une seringue qui te permit de ne pas répondre. Et comme Keith le sentait, il t’informa qu’il avait vu ta fille. Maia. Tes yeux s’ouvrirent en grand et tu relevas la tête pour le regarder dans les yeux. « Elle ne m’a rien dit. » Ouai et tu comprenais pourquoi. Elle se doutait que si elle t’avait dit l’avoir vu tu lui aurais fait une scène. Tu poussas un soupire en cherchant de quoi lui bander l’épaule. « Pas étonnant elle a toujours été comme ça. Impulsive. Contrairement à sa jumelle Isana qui est la plus réfléchis des deux. » Tu secouas la tête. Tu n’aurais jamais pensé qu’une de tes jumelles tombe sur leur père. Comme ça. Sans le savoir. Etait-ce fait exprès ? Ou un coup cruel du destin ? « Elle ne t’a pas trop embêté j’espère ? Je sais à quel point elle peut être bornée quand elle a une idée en tête. » Bornée comme son père. Sur ça Keith et Maia étaient pareils. Ça faisait parti de leur charme. Ou pas. Car toi le savoir te mettait dans un état que tu maitrisais à caché. Ton professionnalisme et à être maitre de la situation t’apportaient énormément surtout maintenant. « Je vais devoir déchirer ton haut pour voir l’étendu de ta plaie, tu ne m’en veux pas de te désapé ?» Vu la situation, il valait mieux que tu le soignes ici. Et non à l’hôpital. Ca leur enlèvera un patient en moins à faire. Et ça éviterait qu’il tombe sur ta deuxième jumelle Isana. Ouai. C’était aussi pour ça que tu voulais le soigner ici.

Un accident arrive beaucoup trop facilement.
w/ ✰ @Lylla Barnes & Keith
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Sacrilège. Recevoir une balle n’était pas quelque chose d’anodin, mais tu avais pu en recevoir au cours de ta carrière. Ce n’était jamais facile et agréable à chaque fois, mais cela te frustre plus qu’autre chose. Tu étais loin d’être une victime et avait la sainte horreur qu’on te considère comme tel quand cela arrive. Tu n’avais pas prévu qu’on te piège de la sorte, cela t’enlève un soupir de frustration, mais soulagé de savoir que la balle était sortie. Cela évite une quelconque opération et des semaines de repos. Allongée au sol, ton regard se pose automatiquement sur la brune au-dessus de toi. Il allait falloir t’y faire, tu allais souvent la croiser au cours de tes enquêtes, pourtant tu sens à son regard l'inquiétude malgré son humour. Cela t’arrache un sourire des lèvres. Ton cœur balance à chaque fois que ton regard croise le sien, son regard intense. « Quel dommage, tu aurais pu faire une exception. » siffles-tu en jouant des yeux un court instant avant de pincer l'arête de ton nez. Tu zieutes les faits et gestes de la capitaine qui a l’habitude de ce genre de situation tout comme toi, mais difficile de te soigner seul. Tu es encore un peu sonné par l'événement, mais tu gardes ton humour. « Oui, capitaine. » lâches-tu en faisant le signe des marines en affichant un sourire fier et amusé par la situation. Tu arques un sourcil à ses paroles en plissant les lèvres avant de lâcher les armes avant de rigoler en te positionnant bien pour la facilité. « Tu es bien adorable, je resterais bien sage afin de savoir si tu te souviens encore de mes goûts. » siffles-tu en haussant les épaules, les goûts peuvent changer au fil du temps, mais tu étais friand des sucreries depuis gamin. Elle s’en souvient car à chaque fois que tu la voyais, elle t’offrait des sucreries dont des sucettes à la framboise. C’était tes favoris à l’époque, tu en manges encore mais beaucoup moins. Le dentiste n’était pas très heureux à chaque rendez-vous, tu te prenais souvent des leçons de morale. Tu as donc ralentis en bonbon et aux choses sucrées. Tu restes immobile en la toisant se perdre dans ses pensées avec un sourire amusé sur le visage, tu passes une main sur ta nuque. Elle cherche sûrement une réplique pour esquiver la question, tu connais un peu trop bien la jeune indienne. Tu finis par avouer être tombé sur sa fille lors d’un échange autour d’un café, c’était assez surprenant pour toi. Tu n’avais pas prévu de tomber par coïncidence sur l’une de ses filles. Tant belle que leur mère. Le regard de la brune croise le tien et lui offre un simple sourire en posant une main sur ton visage. « Le contraire m’aurait étonnée, elle était un peu sur ses gardes lorsque je lui avais posé la question si tu étais au courant. » avoues-tu simplement en haussant les épaules, tu n’avais rien à cacher de ton côté. « Elle à donc pris le caractère de sa mère, cela ne m'étonne pas… Elle te ressemble beaucoup autant physiquement que mentalement. Du moins, pour le peu qu’on avait pu échanger ensemble. » oses-tu dire en la regardant chercher de quoi soigner ta blessure. Tu ris légèrement avant de secouer le visage en la zieutant, elle doit se poser mille et une questions. « Non, elle m’a montré une photo de notre enfance. Elle m’a dit qu’elle cherchait quelqu’un car elle sait que tu refuseras de lui répondre, si elle te le demande. » siffles-tu simplement avant de s'étirer doucement pour ne pas que la douleur s'intensifie et se diffuse sur le reste de ton corps. Un rire amusé sort d’entre tes lèvres et hausse les épaules « Ce n’est pas comme ci, tu ne l’avais jamais fait, hum… Au pire, tu pouvais avouer que tu voulais voir mes tablettes de chocolat. » siffles-tu totalement hilare par la situation avant de la laisser faire en ne disant plus rien. Tu t’étais rendu compte de ta connerie et qui pouvait vous mettre mal à l’aise. Tu ne l’étais pas pour ta part. Tu savais tes sentiments pour la brune, c’était revenu comme un boomerang, mais tu n’allais pas la draguer alors que tu avais la bague au doigt. Même si ton mariage est sur le point de non-retour.