Le petit plus Triggers: Warnings: Pronoms IRL: Elle Pseudo: Grincheux Pseudo discord: Multicomptes: Ainden, Leeroy, Lesli, Clay, Silas, Dallas, Brad, Elizabeth, Uriel, Bill, Clark Habitude rp: mettre ici le pronom narratif, le nombre de mot en moyenne, fréquence de rp... Couleur rp: Disponibilité rp: dispo
Edward Cooper
Mar 26 Déc - 19:38
Le temps passe toujours trop vite.
Un an sans elle. Je ne sais pas comment faire pour réellement l’accepter, pour faire mon deuil comme on dit, alors je me suis plongé dans le travail. J’ai changé d’équipe et j’ai intégré le SWAT. Mes enfants grandissent et sont moins là. Ils font leur étude, loin de moi et de la maison, je me retrouve souvent seul le soir et c’est étrangement pesant. Je ne me suis pas encore habitué à son absence. J’ai toujours cette impression qu’elle va rentrer, qu’elle a juste trop travaillé, mais je sais que c’est faux. Le journal était à côté de notre maison, il est vide maintenant, je n’ai pas eu le cœur à tout revendre, ses collègues ont vidés les lieux, mais je n’y vais jamais. Je passe devant souvent et je me dis à chaque fois, est-ce qu’elle travaille encore ? Mais je n’entre pas, parce que je sais au fond qu’elle n’est plus là. A cause de moi. Tout est entièrement de ma faute, je le sais et n’allez pas me dire que c’était le destin ou une connerie de ce genre, non ça ne pouvait pas être son destin, ça devait être le mien.
Je m’habille et enfile un tenu civil, je me changerais au bureau comme toujours. Je suis en avance, ça aussi c’est devenu une habitude. Je prépare le café pour les collègues et je commence à lire les nombreux dossiers et le premier est un dossier sur lequel on piétine un peu, il est délicat ce dossier, enfin les fait sont horrible, des gamins trouvé et maltraité et j’en passe. Il y a un groupe de criminels qui s’en prendrait à eux. On a eu plusieurs informations dans la semaine et je vois une déposition sur qui à été posé sur mon dossier en première page. Pourquoi est-ce qu’on ne m’a pas prévenu ? Je râle pose mon café alors que les autres arrive et j’en parle à mon chef, parce que je suis le chef de ma section mais pas la supérieure de l’agence et je lui demande si on peut intervenir. Il me dit que oui, qu’il fallait le faire tout de suite, dès qu’on a eu la déposition. Je m’en doutais un peu. Je ne dis pas que je ne l’ai vu que ce matin. Je n’étais pas là hier. Je ne dénoncerais pas mes hommes, mais ils vont m’entendre.
Ils me voient descendre de son bureau un peu agacé et près à leur dire ma phrase habituelle « prenez vos affaires. » Ils se regardent tous et me suivent, je leur explique le topo, les engueule gentiment de ne pas m’avoir prévenu plus tôt et on se dirige à deux voitures sur les lieux. Un appartement dans le Queens. Ce serait le quartier général des types. On a un mandat et on ne se prive pas pour entrer chez le type, ou peut-être les types. Mais il n’y a personne. Qu’est-ce que ça peut être frustrant. On dirait qu’ils sont partis rapidement. Il y a encore un ordinateur sur le bureau, un autre dans une chambre, on les saisi tous les deux et mes collègues les mettent dans ma voiture avec les autres preuves qu’on a amassé. On sonne aux portes, pour essayer de trouver quelqu’un qui aurait d’autres informations. Ils font de leur mieux, mais les types n’ont pas l’air d’être là, alors j’imagine qu’on devra attendre qu’ils reviennent même si je doute qu’ils ne reviendront pas. Alors que j’interroge un voisin, je tourne la tête et croise les bras. Je m’excuse auprès de la personne et avance vers la voiture. Une jeune femme est là. Prête à ouvrir une des boîtes. Je me racle la gorge, si elle fuit, je n’aurais qu’à l’attraper et lui courir après, j’ai l’habitude.
« Je vais vous demander de vous éloigner tout de suite de cette voiture et de cette boîte, vous êtes au beau milieu d’une enquête. Qui êtes-vous et que comptiez-vous faire ? »
Je joue le flic gentil pour le moment, autant ne pas brusquer les choses, mais je suis curieux de savoir ce qu’elle comptait faire.
•• Statut marital : L'amour n'est pas quelque chose qui t'intéresse, mais tu sens que cela te tomberas dessus un jour ou l'autre.
•• Orientation sexuelle : Tu te sens bien dans les bras d'un homme, hétérosexuelle.
•• Métier / études : Tu avais des rêves, mais tu as finis par ouvrir ton propre coffee shop afin de ne pas avoir de patron, mais tu traques les criminelles sur ton temps libre.
•• Quartier d'habitation : dans un appartement dans le quartier du Queens.
•• More about you : .
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Le petit plus Triggers: Warnings: Pronoms IRL: She/Elle Pseudo: White Butterfly Pseudo discord: à me le demander. Multicomptes: Arya, Keith, Aleksey, Ayan, Rozalia, Sperenza, Jayden, Owen, Iris, Elsie, Terrence, Aisling Habitude rp: mettre ici le pronom narratif, le nombre de mot en moyenne, fréquence de rp... Couleur rp: Disponibilité rp: Disponible pour un rp encore — écris en "tu" — réponse variable selon l'inspiration et disponibilité.
Elsie Sterling
Ven 19 Jan - 21:35
Depuis le fameux drame de ta vie en dehors de l’abandon de tes parents, tu essaies durant ton temps libre d’avoir des informations de façon légale comme illégales par certaines personnes de ton entourage, ou des personnes que tu trouves par le biais de personnes différentes. Tu étais sur la trace d’un criminel pour lequel tu avais plusieurs informations contrairement aux personnes travaillant pour le gouvernement, c’est-à-dire la police. Tu étais sur place depuis quelques heures et tu te ravises à la dernière minute d’entrer à l’intérieur de l’immeuble pour éviter tout problème ou te blesser inutilement. Tu étais très minutieuse en ayant tout calculer en avance, sauf en avançant pour t’approcher le plus possible sans te faire remarquer. Une voiture de police s’arrête en te faisant faire demi-tour en te posant à même le sol en soupirant, tu n’avais absolument pas prévu la venue des flics. Le vibreur de ton cellulaire retentit et l’attrape d’une main libre en jetant un coup d'œil rapide en voyant que cela vient d’une personne qui te couvre depuis ton arrivée. “Tu devrais vérifier les informations qu’ont la police, tu trouveras sûrement quelque chose à l’intérieur de la voiture. Je te couvre, promis.” soupirement de ta part en tournant sur toi-même en te sentant épier tout d’un coup. Restant quelques minutes avant de pianoter rapidement. “Ok. Appel moi si tu remarques qu’ils arrivent, je compte sur toi.” tu ranges ton mobile en oubliant de mettre en sonnerie pour l’entendre en cas de problème.
Tu t’approches à pas de souris vers la voiture en ayant le regard un peu partout avant d’ouvrir la porte pour la trouver ouverte, c’est toujours la même chose venant de leur part. Ils se dépêchent tellement vite en oubliant de fermer leur bagnole, tant mieux pour toi. Durant ton moment de gloire et à la recherche de perdu, tu n’entends pas et ne sens pas ton téléphone vibrer à répétitions. Un petit sourire sur le visage en trouvant une boîte qui à l’air de détenir des informations intéressantes sur la mission qui te manque et l’attrape délicatement en entendant une voix rauque et lève le regard en tombant nez à nez vers cet homme. Tu te redresses en gardant la boîte entre tes mains en sortant de la voiture complètement en posant ton regard vers l’homme en question. Ce n’est pas très malin surtout en étant sujet au crise d’angoisse et tu le sens venir, tu essaies tant bien que mal à garder ton calme pour ne pas finir en boule et en panique. Tu récoltes ce que tu sèmes, Elsie. “Je ne fais rien.” avoues-tu en posant la boîte sur le siège passager avant d’enfiler tes mains en l’air pour baisser les armes. Tu n’avais pas envie qu’il te pointe avec une arme et risquer de te blesser pour quelques informations. “C’était ouvert, je n’ai rien casser.” tu te justifies en s'enfonçant encore plus auprès du policier, tu te mords la lèvre inférieur en regardant autour de toi. “Au revoir.” siffles-tu en espérant pouvoir t’en aller, tu n’avais rien voler. Il t’a pris sur le tas et en flagrant délit, mais tu n’as rien voler même si tu doutes pouvoir t’en sortir indemne.
Better to commend the virtue of an enemy, than flatter the vice of a friend Burn not thy fingers to snuff another man's candle.
« Edward Cooper »
•• habitant(e) de manhattan
identity card
•• Date d'arrivée : 02/04/2023
•• Messages : 270
•• Dollars : 377
•• Faceclaim : Patrick Wilson
•• Les crédits : moi
•• Âge : 45
•• Nationalité(s) : Américaine
•• Statut marital : veuf
•• Orientation sexuelle : les femmes
•• Métier / études : agent du FBI
•• Quartier d'habitation : Manhattan
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Edward Cooper
Lun 12 Fév - 20:39
Je croise les bras alors que j’ai bien vu la demoiselle fouiller dans cette voiture. Ça m’agace beaucoup qu’on me prenne pour un imbécile, je n’en ai pas l’air, non ? Si ? Non ! Vraiment je ne suis pas un imbécile. Je me doute bien qu’elle est là pour quelque chose, c’est comme les gamins qu’on surprends en flagrant délit de vol et qu’ils nous dise « non M’sieur on a rien fait » alors qu’on les voit bien sur l’enregistrement vidéo. Je hausse un sourcil lorsqu’elle me dit c’était ouvert et je lui réponds :
« C’était ouvert … vous auriez pu trouver mieux que ça. »
Je n’ai pas tellement envie de rentrer dans son jeu, même si elle a l’air très gentille, parfois les personnes les plus gentilles sont les plus fourbes. Je me suis fait avoir trop de fois et je l’ai bien vu dans les enquêtes, mais je me trompe sans doute. Elle me dit qu’elle n’a rien cassé et son aurevoir me fait carrément voir rouge. Si elle pense s’en tirer comme ça. Je l’attrape par le bras, l’empêchant de partir avant de hausser un peu plus le ton :
« Je ne vous laisserais pas partir d’ici sans que vous ne m’ayez dit ce qui vous êtes et ce que vous cherchez. On est au beau milieu d’une enquête, ce n’est pas pour faire joli que j’ai une arme et qu’on a des gilets par balles. Sois-vous me dite la vérité, soit je vous embarque. »
Je n’ai pas trop de temps à perdre et surtout j’ai l’intime conviction qu’elle n’est pas là par hasard, alors je profite d’être en position disons de force, même si je n’aime pas tellement ce terme et même si je n’aime pas faire ça, mais je n’ai pas toujours le choix. C’est une enquête importante alors j’ai pas mal de questions en tête.
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-- Tu n’avais pas pour habitude d'être prise en flagrant délit, Elsie. Tu étais tellement habitué à prendre tes précautions en amont et à être discrète dans tes recherches, tu as été négligent cette fois-ci. La personne devant toi avait l’air d'être vraiment autoritaire à la façon qu’il s’adresse à toi. Tu ne peux pas t’en sortir facilement, il ne te laissera pas sans explication valable. Le premier essai fut un échec total, personne n'aurait cru à tes explications de toute façon. Tu te pince les lèvres en sentant la boule se former au milieu du ventre. Essayant de garder ton sang froid pour ne pas exploser en sanglots et être en crise, tu finis par soupirer légèrement. Cependant, tu n’avais guère douté être attrapé par le bras de celui-ci en te menaçant de ne pas te laisser partir sans explication qu’il jugera valable ou non.
Tu ne savais pas quoi faire de la situation et ne voulait pas tout avouer. Tu avais des informations qu’ils n'avaient certainement pas au vu de la patrouille sur place. Tu n’avais pas mal au bras, certaines forces de l’ordre ne font pas attention en attrapant les coupables ou potentiels agresseurs. Il te tenait à peine simplement pour éviter de quitter les lieux, ne cherchant pas forcément à te faire du mal. Cela joue beaucoup à tes yeux car une crise aurait pu se déclencher au toucher de l'homme, mais surprise de son calme. “ Je ne suis qu'une personne lambda, je tiens un coffee shop dans un autre quartier.” avoues-tu simplement en étant honnête en sentant tes épaules se détendre. Tu ne voulais pas finir derrière les barreaux ou encore avoir un casier judiciaire sur le dos pour tes petites investigations. “ J’ai quelques informations sur votre enquête en cours” siffles-tu en posant le regard doucement vers lui en te mordant la lèvre inférieure. “Je voulais juste savoir si vous avez d'autres informations en plus. Rien d’autre.” avoues-tu simplement en haussant les épaules en guise de réponse. Tu finis par t’arrêter simplement de prendre la parole ne voulant pas en dire plus et pourtant, il y a une idée qui te vient en tête pour essayer de te sortir du pétrin. “Si… je vous échange les informations, vous me laissez partir sans rien mettre sur mon dossier ? Je n'ai jamais fais de mal à quiconque, vraiment…” dis-tu en baissant doucement le regard. Tu ne pouvais pas faire de mal à quiconque ayant eu toi-même des personnes qui voulais te blesser auparavant.
L'idée de faire équipe avec la police était complètement folle à tes yeux. Surtout qu’il était rare de te voir faire confiance à l’ordre des forces. Tu ne te sens pas forcément en sécurité auprès d’eux en ayant déjà eu quelques expériences. Ils ne prennent pas au sérieux tout les cas, notamment les vols à l'arraché. Combien de fois avais-tu couru après ces voleurs afin de rendre justice pour les personnes en difficulté et n'ayant pas le courage de répondre aux forces de l’ordre, censés les aider ?
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Edward Cooper
Sam 9 Mar - 11:05
Je croise les bras, je crois qu’elle me prend pour je ne sais quoi, non vraiment. Est-ce que j’ai l’air de croire à tout ce qu’on peut me dire sans me méfier ? Non surement pas, mon métier m’a appris à faire attention, surtout quand on trouve quelqu’un entrain de fouiller dans une enquête de police, peu importe l’enquête d’ailleurs, ce qu’il y a forcément quelque chose qui se cache derrière. Quoi je ne sais pas encore, mais je vais bien finir par le découvrir.
« Une personne lambda comme vous dites ne s’incrusterais pas si facilement dans une scène balisée. »
Je lui montre que je ne la crois pas. Je ne sais pas ce qu’elle cache, pas encore, mais je finirai bien par savoir, il faut parfois du temps pour mettre les gens en confiance. Je ne pense pas qu’elle soit méchante, je ne pense pas qu’elle soit suspecte non plus dans l’enquête, mais je crois qu’elle sait juste des choses, peut-être bien. Elle me dit alors avoir des informations, qu’on n’a peut-être pas et ça m’intrigue beaucoup bien sûr. Je lui fais un signe de la tête pour lui dire de me suivre un peu à l’écart, je n’ai pas envie que qui que se soit d’autres se mêle de tout ça. Je suis un peu étonné qu’elle me demande de négocier, elle a l’air de plutôt bien connaître le milieu.
« Je ne sais pas encore … peut-être que je le ferais, mais pourquoi est-ce que vous n’êtes pas venu directement au poste pour dire ce que vous savez ? Racontez-moi et je verrai ce que je peux faire pour vous aider. »
Je suppose que d’une façon ou d’une autre elle est mêlée à cette histoire et si je ne sais pas encore pourquoi ni comment, j’ai plutôt hâte de le découvrir.
