Le petit plus Triggers: les personnages trop cringe, mary-sue, violence contre les animaux Warnings: deuil, sexe, vulgarité Pronoms IRL: elle, she, her Pseudo: magma. Pseudo discord: sur demande Multicomptes: priam, elias, dae & sade Habitude rp: je rp en tu, je fais au minimum 500 mote et je peux atteindre les 2000, je rp selon l'inspi Couleur rp: #cc0000 Disponibilité rp: partante pour encore un rp o/
Joakim Hendrix
Ven 16 Fév - 13:11
A bottomless pit, swallowing all Gravitating towards infinity Eating the fallen world Drowning in endless doom
brother in despair Tous les visages se ressemblent. Toutes les voix ont la même tonalité dans tes oreilles bourdonneuses. Les mots se succèdent et tes maux restent intacts. Tu te sens vidé. Lessivé. Même ce sourire figé sur tes ourlets sonne faux, tellement faux. Tu as presque marre de cette mascarade dont tu es le protagoniste principal. Tu dois arrêter le massacre, là, tout de suite, maintenant. Tu t’excuses auprès de ce beau monde qui s’est réuni autour de toi et tu te diriges vers l’ascenseur te ramenant vers ta chambre. Dans ladite pièce, tu défais ta cravate dans une violence inouïe et tu la balances par terre. Comme si elle était responsable de tout ce qui t’arrive en ce moment. Et ce qui t’arrive, n’est pas anodin ; Max est malade. Un cancer. Un putain de cancer qui ravage tout sur son passage. Tu veux vraiment rester positif Joakim. Tu veux garder espoir mais les diagnostics des médecins ne sont pas encourageants. En réalité, depuis l’annonce de cette maudite nouvelle, vous n’avez eu que des mauvaises surprises. L’une après l’autre. Comme un jeu de domino où les pièces tombent, successivement, dans un fracas dérangeant. Meurtrier.
Tu poses tes fesses sur le lit et tu te demandes si ce n’est pas judicieux de revenir à New York. Oui, c’est ce qu’il faut faire ! Alors, tu te redresses tel un automate et tu vas récupérer la petite valise à peine défaite. Tu dois revenir … tu le dois et puis … non. Max sera extrêmement énervé contre toi, tu le connais. Cette soirée est la concrétisation de vos rêves, a-t-il dit. Vos efforts, votre travail acharné est enfin récompensé alors tu dois être présent. L’un de vous doit être présent. Et tu es le seul entre vous qui ne soit pas sur un lit d’hôpital alors tu dois arrêter de jouer les rebelles. Tu soupires, bruyamment. Putain. Ça va être horrible. Tu dois tenir bon jusqu’à demain soir. Tu sais ce qu’il te faut ; tu vas prendre une bonne douche, te changer et aller te saouler dans le bar de l’hôtel. Voilà. Beau programme. Après tout, la cérémonie se déroule dans la soirée. Tu as du temps à tuer. Décidé, tu exécutes ton plan, daignant enfin sortir un jean et un pull de ton sac préparé à la va vite.
“ Un old-fashioned s’il vous plaît. ” A cette heure peu tardive, il y a peu de monde dans ce grand bar. Tu regardes un peu autour de toi ; soit ils ont du temps à tuer, soit ils ont besoin de décompresser et d'enterrer leur mauvaise humeur. Un peu comme toi. En regardant chaque individu, tu essaies de le deviner en décortiquant leurs faits et gestes. Allez ! Tu vas faire ça en dégustant ton verre. Ca te fera oublier tes propres tourments. Pour commencer, ce couple. Chacun est absorbé dans son téléphone. Ok, ils s’emmerdent à mourir, ils ont probablement des années de mariage à leur compteur et la routine s’est installée, un venin mortel, sans aucun remède. Tu grimaces. Tu passes au suivant, un jeune homme à la cravate défaite, les yeux hagards. Ok, il semble être dans un état encore plus lamentable que le tien. Que s’est-il passé ? Tu veux bien le savoir. Tu trempes tes lèvres dans le liquide amer de ton verre ; tu as trouvé une activité plutôt sympathique en fin de compte.
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« Ezekiel Cobbs-Ellis »
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•• Statut marital : divorcé
•• Orientation sexuelle : les personnes qui me plaisent, sans limite de genre
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“The journey, not the destination matters…”
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Ezekiel Cobbs-Ellis
Dim 18 Fév - 15:29
Brother in despair
Être ici devrait être la consécration de tous mes rêves, en route pour devenir le plus jeune associé du cabinet pour lequel je bosse. Toute une vie consacrée à ce moment, celui qui rendra mes parents fiers de moi. Mais à cet instant, je me sens vide. Incapable de ressentir la moindre once de bonheur. Heureusement, Rose est à la maison. L'épouse parfaite. Celle qui allait de pair avec cette carrière. Elle avait même proposé de prendre quelques jours pour me soutenir, même si j'avais décliné. Non, honnêtement, je n'avais aucune raison de me sentir comme je me sentais à cet instant précis. Et je me sentais en colère contre moi-même de cette humeur maussade qui me poursuivait comme un vilain nuage noir persistant. J'avais écourté les plaisanteries de courtoisie, et monter directement me changer dans ma chambre. Desserrant ma cravate, me débarrassant quelque peu de mon costume, ce déguisement que je portais avec soin en permanence. Un regard à mon téléphone, je songeais à contacter ma femme, mais elle n'aurait pas compris. La nuit, encore jeune, je décidais de descendre au bar de l'hôtel pour noyer mes soucis dans un bon whisky.
Noyé dans le verre que j'avais commandé, je pensais à mon passé, craignant le futur. Est-ce que ma vie ressemblerait à ça ? Cette perpétuelle insatisfaction. Une gorgée, avant que je ne relève mon regard sur la salle, distrait, sans vraiment d'intention particulière. Un soupir s'échappant de mes lèvres, avant que mon regard ne croise un autre regard. Le visage m'était familier, peut-être faisait-il partie de la pléthore d'avocats grouillant dans les lieux. Et j'aurais probablement fui, si le regard en question, ne reflétait pas la même insatisfaction que moi. Je n'avais pas envie de parler boulot, mais je n'avais pas l'impression que ce serait le cas. Ce n'était pas le fait que le jeune homme soit séduisant, je n'avais jamais envisagé de tromper mon épouse. Elle ne méritait guère ce genre de considération. Je n'avais rien à lui reprocher, c'était mon problème. Un mensonge que j'avais nourri. Une pointe de culpabilité, en pensant que je n'étais même pas réel avec elle.
Je finissais par me lever, pour commander un nouveau verre, m'approchant du bar, et me laissant glisser sur le tabouret à côté de l'homme dont j'avais croisé le regard. - J'ai comme l'impression que je ne suis pas le seul à avoir une soirée désastreuse. Je balançais négligemment à son attention. Alors que le barman revenait avec mon verre. Je n'avais jamais vraiment été doué pour les conversations banales. Même si j'avais surmonté beaucoup de mon introversion avec les années. - C'est quoi déjà le proverbe, misery loves company*. Un sourire dans sa direction, rien de bien jovial, une expression traduisant plus mon cynisme.
* Désolée, je n'ai pas trouvé d'équivalent français
AVENGEDINCHAINS
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« Joakim Hendrix »
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Joakim Hendrix
Ven 8 Mar - 11:17
A bottomless pit, swallowing all Gravitating towards infinity Eating the fallen world Drowning in endless doom
C’est impoli, hein Joakim. De regarder les gens de cette façon. En plus, ton regard est constamment perçant même si tu es certain qu’à ce moment précis, il est éteint. Depuis l’annonce de cette satanée nouvelle, la flamme perpétuelle dans ton regard s’est éteinte. Elle est remplacée par une tristesse et une perdition inégale. Similaire à celle dansant dans les iris de cet homme. Celui qui se pose juste à tes côtés, t’adressant la parole. Une soirée désastreuse. L’expression est tellement minime par rapport à ton ressenti. C’est à ton tour d’esquisser un petit sourire qui ne se veut pas joyeux. Il est sincère et représente à merveille ton état d’âme actuel ; tu n’as aucune envie d’être là. “ Je ne peux qu’approuver ce proverbe. ” A vrai dire, il prend tout son sens ; vous êtes deux entités hagardes, qui se demandent ce qu’elles font là et pourquoi elles sont là. Pour deux raisons différentes mais le ressenti est le même. Toi, tu baisses le regard sur le verre qu’il a devant lui avant de revenir sur sa bouille ; tu le connais. Du moins, tu as entendu parler de lui. Faut dire que tu es doté d’une bonne mémoire, parfois contre ta volonté. Tu essaies de te rappeler de son prénom. Tu réfléchis, réfléchis avant de claquer des doigts. “ Ezekiel c’est ça ? Le plus jeune associé de son cabinet. J’ai oublié le nom désolé. ” Dis-tu en faisant une petite grimace. Dans la foulée, tu lui présentes ta main droite. “ Mael Hendrix de M&M firm de New York, enchanté. ” Avec Max, vous êtes connus, les deux M. Les deux avocats ayant fait le pari fou d’ouvrir leur propre cabinet. Plusieurs personnes avaient parié sur votre faillite. D’autres sur votre chute, qui selon eux, arrivera rapidement. Personne, absolument personne n’a parié sur votre réussite et pourtant, vous avez réussi. Vous avez pu percer dans le milieu et à présent, vous avez une base de données assez remplie de client.es. Vous gagnez des procès et vous commencez à vous faire un nom dans le milieu. De quoi te rendre fier et triste par la même occasion. A cette époque, tu utilisais ton premier prénom, Mael.
Après avoir serré correctement sa main, tu prends une bonne et longue gorgée de ton verre. Tu regardes devant toi. Une soirée désastreuse. Concrètement, ce n’est pas le cas. Avec Max, vous serez récompensés pour votre exploit. Tu es juste triste d’être le seul à recevoir les éloges de vos compères. Tu n’as pas réussi tout seul, au contraire. Tu soupires. “ Qu’est ce qui rend ta soirée désastreuse ? ” Demandes-tu, curieux. Mais tu te rends rapidement compte de ton indiscrétion, tu tentes alors de rectifier le tir. “ Enfin, tu n’es pas obligé de répondre. Je peux parfois me montrer curieux. ” Ou disons plutôt souvent. En réalité, il s’agit de ton pire défaut.
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Ezekiel Cobbs-Ellis
Jeu 21 Mar - 10:02
Brother in despair
C'est tellement une chose qui m'aurait paru improbable quand j'étais plus jeune, avoir une conversation avec un parfait inconnu, croisé au détour d'un bar. Mais ma profession et les années m'ont appris à sortir un peu de ma zone de confort. Sans être un papillon social, j'ai pris plus d'assurance. Les années changent les gens. Une pensée qui ne me rend pas le sourire. En tous les cas, dans les circonstances présentes, l'idée de partager ma soirée à aider quelqu'un qui broie du noir est plus intéressant que de rester moi-même dans mes propres pensées un peu trop sombres. Je suis un peu surpris qu'il connaisse mon nom, dans toute la vague de visage côtoyé pendant ce rassemblement. Néanmoins, pas besoin de culpabiliser longtemps, de ne pas pouvoir lui rendre la pareille. Il se présente sans vraiment que j'ai besoin d'en montrer la nécessité. Le nom de sa firme me parlant un peu plus, un cabinet avec à leurs têtes, deux jeunes avocats prometteurs. Et où cela aurait pu être intéressant pour n'importe qui d'autre, mon propre manque d'ambition à faire de même, en dit probablement long sur mon cas. J'accepte la main tendue, mais ne m'attarde pas sur le sujet pour autant. Peut-être impoli comme option, mais une sécurité de ne pas voir la conversation tournée autour du seul sujet dont je n'ai pas envie de parler ce soir. Une conversation nécessite un échange de dialogue cependant, et je ne peux pas le laisser seul, me murant dans un silence.
Je repose mon regard sur mon verre, pensif. Suffisamment, pour qu'il retire sa question plus ou moins. Je jette un coup d'œil dans sa direction, avant d'avaler une gorgée du liquide amer et brûlant se trouvant dans mon verre. - Est-ce que Maël Hendrix, jeune avocat à l'avenir prometteur me jugerait si je répondais que la cause de mon désarroi est de me retrouver ici ? Le sourire qui accompagne mes propos, reflète toujours le même cynisme. Et en même temps, il y a quelque chose de libérateur à se confier à un inconnu. Une personne qui n'aura pas de réelles conséquences sur son existence. - Je crois que je suis un perpétuel insatisfait, ne prête pas attention à mon humeur. Je balais d'une main mes mots, avant de reposer mon attention avant de rajouter avec plus de chaleur. - Est-ce que je peux te retourner la question ? Ou est-ce que c'est me montrer trop curieux ? L'avocat en moi est tenté de dire que ce ne serait que justice, mais il n'est guère d'une compagnie très agréable celui-là, alors sens-toi libre de faire comme tu le sens.
AVENGEDINCHAINS
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« Joakim Hendrix »
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Joakim Hendrix
Dim 28 Avr - 12:18
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“ Est-ce que Maël Hendrix, jeune avocat à l'avenir prometteur me jugerait si je répondais que la cause de mon désarroi est de me retrouver ici ? ” Tu as un petit sourire alors que ton regard se pose lentement sur le jeune homme. Il ne sait pas à quel point vos ressentis sont les mêmes ; toi non plus, tu as aucune envie de te retrouver ici, loin de New York, loin de ton amant. Vous n’avez peut-être pas les mêmes raisons et comme d’habitude, ta curiosité est piquée à vif. Cependant, tu te retiens de le harceler de questions. Vous ne vous connaissez pas et même si tu ressens une sympathie inédite pour lui, cela ne change pas le fait que vous soyez deux totals étrangers. Tu te contentes alors de secouer la tête, doucement, dans un signe négatif ; bien sûr que tu ne lui en voudrais pas surtout avec ses mots suivants. Un perpétuel insatisfait ? Tu fronces passablement les sourcils. Tu vois la situation comme une potentielle énigme à résoudre. L’ennui et surtout le désarroi de te retrouver à des kilomètres de ton amant, ne sont pas forcément bon pour ta santé mentale. Te voilà dans la peau d’inspecteur Gadget ou Détective Conan ; il y a une affaire là ! “ Je peux t’assurer que notre humeur est similaire. ” Tes expressions tirées font échos aux siennes. Alors tu portes ton verre pour trinquer. A quoi ? A votre superbe humeur justement. Au fait de vous retrouver au mauvais endroit au bon moment ; ça te permet de décompresser en duo au lieu d’être en solo. “ Et bien, j’ai aucune envie de me retrouver ici non plus ” Tu te retiens de pester. Encore et encore. Tu te contentes de prendre une nouvelle gorgée de ton verre. Il est ton éternel compagnon dans ce genre de situation. Mais le destin - ou autre chose - a mis un autre compagnon sur ton chemin, ce soir ; tu as toujours et encore envie de savoir ce qui le tracasse autant. Et puis, tu as l’impression que cela concerne son travail et son statut d’avocat. Tu n’as rien de concret mais c’est un pressentiment. “ C’est. Disons que j’ai plus important à faire à New York que d’être ici, à recevoir un prix que je ne mérite pas. C’est mon partenaire qui a tout fait et à cause de sa maladie, il ne peut pas le recevoir.” Dis-tu en haussant les épaules. Ce n’est pas une fatalité mais une réalité. “ C’est mon partenaire qui a tout fait et à cause de sa maladie, il ne peut pas le recevoir. ” Tu ne veux pas entrer dans les détails mais vu ton expression grave, cela se voit qu’il n’a pas la grippe mais quelque chose de plus incurable. Tu pousses un long soupir et tu finis ton verre avant d’en recommander un autre. “ On dit que c’est plus facile de se confesser à un étranger. Tu veux essayer la véracité de cette citation ? ” Demandes-tu, un sourire mi-raisin mi-figue sur le faciès.
