•• Statut marital : Tu navigues seul à travers les ondes de la vie
•• Orientation sexuelle : Les hommes
•• Métier / études : Tu as de multiples casquettes : vendeur dans un magasin informatique, professeur de poterie, tu fais également du bénévolat dans un centre communautaire pour partager tes connaissances sur les ordinateurs et, le soir, tu mets ton masque de justicier sur le net
•• Quartier d'habitation : Brooklyn, plus précisément Williamsburg
we're curious
Le petit plus Triggers: Warnings: Addictions aux médicamments, problème d'alcool. Deuil. Tendance dépressive Pronoms IRL: Elle Pseudo: Pseudo discord: Lily Gre Multicomptes: Silho Keegan Habitude rp: J'écris à la deuxième personne, soit en Couleur rp: Disponibilité rp:
“De l'argile, nous faisons un pot, mais c'est le vide à l'intérieur qui retient ce que nous voulons.” - Lao Tseu
Tu ne te sens jamais plus épanoui que dans ces moments-là. Partager ta passion pour la glaise, tu adores cela. Au début, tu ne te sentais pas à ta place. Tu ne te sentais pas légitime. Et tu avais peur de ne pas être suffisamment patient ou pédagogue pour tenir ce rôle de professeur. Et finalement, c’est le cas. Tes cours sont appréciés. Les commentaires sont élogieux sur le site de l’école et ton supérieur te remonte régulièrement les gentils retours qu’il reçoit à ton sujet. Ici, tu te sens bien. Apaisé. Calme. Accompagné. Depuis que tu es revenu en ce lieu, ce dernier est devenu ton havre de paix.
Tu as pourtant connu des moments délicats. Gênants ou alambiqués comme lorsque cette jeune femme est venue te trouver à plusieurs reprises pour te parler de son fils et insister pour provoquer une rencontre. Tu as décliné poliment plus d’une fois, puis tu as fini par céder. Tu pensais surtout te débarrasser de son insistance en accédant à sa requête, mais tu as découvert un brun au charisme envoûtant qui a piqué ta curiosité. Beaucoup. Beaucoup trop peut-être.
Bref.
Aujourd’hui, tu vas subir ton cours. Tu ne prendras pas autant de plaisir que d’habitude et tu vas vivre le choc entre la vie que tu essaies de laisser derrière toi et celle que tu tentes - difficilement - de te construire. « Bonjour bonjour ! Entrez et prenez place, on va pouvoir commencer. », ouvrant la porte de ta classe, tu accueilles tes élèves avec enthousiasme, ton éternel sourire aux lèvres. Quand tu es ici, il n’est pas feint. Ta risette est réelle. Elle est belle et lumineuse. Vraie et magnifique.
« Je vois que nous avons de nouvelles têtes. C’est fantastique ! », tu scrutes les visages un à un, saluant ceux que tu reconnais et continuant inlassablement à sourire à ceux que tu vois pour la première fois, « Je propose que nos petits nouveaux se présentent pour que nous fassions tous un peu connaissance. Je commence, d’accord ? ». Tu préfères casser la glace immédiatement. Ce cours est bon enfant, et tu apprécies de lui laisser son ambiance sympathique et légère.
« Je suis Noé, enchanté. Je vais vous enseigner les bases de la poterie. J’espère que vous allez vous découvrir une véritable passion pour cet art que j’affectionne particulièrement. », continuant ton tour d’horizon, tu poursuis, « J’aurais besoin de savoir si certains d’entre vous débutent, indiquez moi votre niveau et surtout, tutoyez moi, c’est mieux pour s’amuser ! ».
Les présentations commencent. Prénom, loisirs pratiqués et niveau en modelage, tournage et tout ce qui va avec, chacun y va de son anecdote pour ton plus grand plaisir. « Au prochain. », tu te tournes vers le nouveau venu suivant, puis tu te figes soudainement le temps de quelques secondes, « C’est... C’est à toi. ». Ce visage, il n’est pas si inconnu que ça. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que tu ne t’attendais pas à tomber sur un fantôme de ton passé dans l’immédiat. Encore moins sur l’un ayant été un spectateur si proche de tes tourments et de tes erreurs.
(c) princessecapricieuse
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Wandering Soul
« Clark Williamson »
•• habitant(e) de brooklyn
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•• Date d'arrivée : 30/07/2023
•• Messages : 124
•• Dollars : 360
•• Faceclaim : Nicholas Galitzine
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•• Âge : 29
•• Nationalité(s) : anglais
•• Statut marital : célibataire
•• Orientation sexuelle : bi
•• Métier / études : ambulancier
•• Quartier d'habitation : brooklyn
•• More about you :
Il a un besoin presque vitale d'aider les autres *ses parents n'ont pas été là pour lui lorsqu'il était enfant et il a toujours eu honte d'eux, sa mère a d'ailleurs fini par tuer son père. *Il pense que son karma est mauvais à cause de ses parents* Il est devenu ambulancier pour aider les autres* Il s'oublie souvent même si il adore son métier
we're curious
Clark Williamson
Sam 2 Mar - 19:23
J’aime découvrir de nouvelles choses, c’est bien pour ça que je me suis inscrit à ce cours de poterie. J’ai vu le film ghost plein de fois, ouai c’est une référence de merde, mais franchement ça m’a donné un peu envie de tenter, c’est ridicule je sais bien, mais ça à l’air sympa, même si il n’y aura pas Patrick Swayze comme professeur. Plus sérieusement j’ai besoin d’occuper mes journées, quand je fais des nuits de travail, je ne dors pas beaucoup et je préfère autant être actif, ça m’évite de penser. Je ne pensais pas qui avait réellement des cours et ça tombe bien c’est pas très loin de chez moi, je prends le métro quand même, mais ce n’est pas à une heure de métro non plus.
Je l’ai reconnu tout de suite quand je suis entré dans la salle et j’allais le saluer, lui dire que j’étais content de voir qu’il allait bien, mais j’ai rien dit, parce que j’ai eu l’impression qu’il avait d’autres choses à faire, qu’il ne m’avait sans doute pas reconnu. J’ai voulu le laisser tranquille, alors je m’installe et quand il commence par se présenter et par demander qu’on en fasse autant j’attends mon tour. Je le regarde avant qu’il me dise que c’est mon tour. Je suis persuadé qu’il m’a reconnu et ça me frustre, mais peut-être finalement qu’il ne sait plus, vu l’état d’ébriété dans lequel il était, si ça se trouve il ne se rappelle pas de moi, puis on voit beaucoup moi, lui aussi j’imagine maintenant qu’il fait ça, il n’est peut-être pas physionomiste.
« Je m’appelle Clark, j’ai vu Ghost pleins de fois et j’ai eu envie d’essayer de faire de la poterie … »
Je suis un peu con, je sais, du moins j’essaie de détendre l’atmosphère parce que ça s’est légèrement tendu et je fini par dire :
« Je plaisante … j’avais envie de découvrir une nouvelle activité, je n’aime pas rester sans rien faire et j’ai vu une affiche dans mon immeuble, je me suis dit pourquoi pas. »
Est-ce qu’il va se dérider un peu ou pas du tout ? Il n’a pas l’air ravi de me voir. C’est assez étrange, parce que j’ai envie de savoir comment il va, je ne peux pas lui demander maintenant, ça ne se fait pas, mais il a l’air mieux, alors ça me suffit.
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“De l'argile, nous faisons un pot, mais c'est le vide à l'intérieur qui retient ce que nous voulons.” - Lao Tseu
Clairement Noé, tu n’es pas à ton aise. Pourtant, cette salle de cours, tu l’adores. Passer du temps ici, ça a été l’une de tes bouées de sauvetage. Dès que tu as décidé de te sevrer, tu as également décidé de revenir faire de la poterie. Comme si savoir que tu pouvais encore pratiquer cette passion partagée initialement avec ta mère te donnait la force de poursuivre dans la voie que tu avais choisi. Ça a fonctionné. On ne peut pas dire que cela ait fonctionné à merveille, que tu n’as rencontré aucune embûche, mais le fait est que tu es là, encore. À peu près sobre, et sans avoir gobé de cacheton le jour même. C’est une réussite. Un petit pas après l’autre avant d’en compter, tu l’espères, un grand et puis encore un plus grand. Mais merde, voilà que tout valdingue. À cause d’un simple visage.
Tu ne l’as pas vu rentrer, ni s’installer. Ce n’est que lorsque tes yeux se sont posés sur lui pour lancer son tour de présentation que tu l’as remarqué. Ce gars, tu es certain de l’avoir déjà rencontré. Où ? Quand ? Comment ? Les images sont assez floues. Tu le revois près de toi. Penché au-dessus de toi. Ses doigts enroulés à ton poignet. Ses lèvres étirées en un sourire que tu peines à qualifier. Il se voulait… Rassurant ? Peut-être. Sans doute. Tu ne te rappelles pas du contexte, et ce trou de mémoire te déstabilise totalement. Et… Non, ce n’est pas possible... Et si tu avais couché avec lui juste pour quelques opiacés ? Tu t’en souviendrais ! N’est-ce pas, Noé, tu t’en souviendrais ?! C’est obligé ! Quoi que…
Clark. Tu blêmis alors que son prénom résonne dans ta boite crânienne. Un souffle un peu plus fort s’échappe de ta cage thoracique tandis qu’il explique comment il en est venu à pousser la porte de cette classe de poterie. Sa présence n’est due qu’au hasard mêlé à de la curiosité. Tu respires à nouveau correctement. Il n’est pas là pour te proposer des pilules ou quoi que ce soit d’autre. Il n’est là que pour apprendre, que pour glisser ses doigts dans la glaise et voir une forme prendre vie.
« Ok. », forçant un sourire, tu tentes de reprendre totalement contenance, « Tu débutes donc. Ce n’est pas un souci, je… Je vais simplement vous demander de vous scinder en deux groupes. Ce sera plus simple pour la suite. ». Au début, tes prunelles ne le quittent pas. Pour la simple et bonne raison que, bien que tu sois rassuré, tu restes persuadé de l’avoir déjà vu ailleurs, avant et tes bribes de souvenirs te désarçonnent. Au fur et à mesure que tu expliques l’organisation du cours, tu abandonnes son visage, ton regard devenant fuyant et l’évitant au maximum, « Les habitués vont s’installer par ici, et les néophytes juste là. ».
Une fois les groupes faits, tu commences par dire à ceux ayant l’habitude de cette activité qu’ils peuvent commencer, tu passeras voir le début de leur travail d’ici une dizaine de minutes et tu restes disponible au besoin. Puis, tu te diriges vers le groupe composé des débutants. Comme si tu avais oublié ta petite déconvenue d’un peu plus tôt, ton enthousiasme est revenu et tu frappes dans tes mains en t’approchant de la grande tablée, « Commençons par les bases. Je vous rassure tout de suite, on ne va pas s’éterniser sur la théorie et je vais rapidement vous laisser apprivoiser la terre, c’est le meilleur moyen d’apprendre ! ».
Pour un premier cours, le but sera de faire une vaisselle simple : tasse, bol ou assiette. Au choix. Après avoir montré les différents ustensiles utiles, tu indiques quelles terres ils pourront utiliser pour leur premier essai : l’argile autodurcissante sera parfaite. Tu finis par lancer le top départ des mains dans le plâtre avant de retourner vers les plus expérimentés et de revenir enfin vers les débutants. Tu jongles entre les deux niveaux avec dextérité, donnant des conseils avisés, posant des questions sur ce qu’ils souhaitent faire et répondant à d’autres.
« Attends… Tu devrais plutôt faire comme cela, je vais te montrer. », tu remarques que le fameux Clark à besoin d’un petit coup de pouce. Tu contournes la table pour te poster à côté de lui, cette étrange sensation de déjà-vu collée aux basques. Prenant un fil de coupe, tu reprends un peu la forme qu’il a travaillée avant de lui montrer le mouvement adéquat pour lisser le tout ensemble, « Voilà, comme ça. ». Ta main guide la sienne, tes doigts appuyant plus ou moins fort sur les siens en fonction de la zone à travailler, « Tu as compris le truc ? ». Ton visage se tourne dans sa direction et tu te sens à nouveau fébrile. Ta main toujours sur la sienne, à l’aide de la seconde, tu stoppes la tournette de potier qui vacille sous son œuvre avant de te reculer lentement en fronçant légèrement les sourcils. C’est… Sans trop savoir pourquoi, les images du jeune homme deviennent plus nettes dans ta mémoire, et, à présent, tu discernes un uniforme de pompier.
Tu n’as pas rêvé, Noé. Ce mec, tu l’as véritablement déjà vu. Avant. Quand tu n’étais plus capable de tenir debout et quand tu as fait la connerie de mélanger médicaments et alcool. « Parfait, tu… Tu as pigé. Continues comme ça. », il t’est impossible d’aligner les mots convenablement alors que, assaillis par la honte, tu marches à reculons. Tes souvenirs reviennent les uns après les autres, et tu prends conscience de l’état dans lequel il a pu te voir. Tu percutes autre chose. Deux choses pour tout dire. La première est palpable, il s’agit du bureau contre lequel bute ton fessier en reculant. La seconde est plus difficile à cerner, il s’agit du comportement étrange que tu as face à tes élèves. Ils vont te prendre pour un taré. Tu dois te ressaisir.
« Excusez-moi, je reviens dans cinq petites minutes. Continuez ce que vous faites, je n’en ai pas pour longtemps. », tout en parlant, tu t’es dirigé vers la porte de sortie en essayant de feindre le plus beau sourire de l’univers, tes prunelles fixées sur le blond qui te replonge dans un passé que tu préférerais laisser derrière toi. Tu laisses la porte ouverte alors que tu t’éloignes pour aller dehors. Tu as besoin de prendre une grande goulée d’air frais, et de respirer la bonne odeur mortifère d’une bouffée de cigarette.
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Il a un besoin presque vitale d'aider les autres *ses parents n'ont pas été là pour lui lorsqu'il était enfant et il a toujours eu honte d'eux, sa mère a d'ailleurs fini par tuer son père. *Il pense que son karma est mauvais à cause de ses parents* Il est devenu ambulancier pour aider les autres* Il s'oublie souvent même si il adore son métier
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Clark Williamson
Mer 27 Mar - 20:41
C’est assez étrange qu’il me regarde comme ça, je sens qu’il y a comme un malaise. Est-ce qu’il se souvient de moi ? Je ne serais pas étonné que non, vu l’état dans lequel il était, il ne doit pas de souvenir beaucoup de moi, mais je n’ai pas envie de parler de ça ici, devant d’autres personnes, ce ne serait pas très chic de ma part, tout comme je n’aimerais pas qu’on parle de mes escrocs de parents au beau milieu d’une salle de cours, c’est pourtant ce que j’ai vécu plus jeune et ce n’était pas plaisant alors j’imagine qu’il n’a pas envie de revenir sur le sujet, mais il a l’air troublé et je ne savais pas que je pouvais faire cet effet-là. Ma tentative d’humour à bien échouée, je me sens un peu con, mais le ridicule ne tue pas heureusement. J’acquiesce quand il me dit que je débute et j’écoute ce qu’il dit en me mettant avec les débutants.
Je ne suis visiblement pas très doué avec la terre, c’est moins simple que ce que je m’étais imaginé et je n’ai pas d’idée de ce que je veux faire et je le vois venir vers moi, il me montre un peu comment faire. Il a l’air d’être dans son élément. Je mentirais si je disais que je ne faisais pas attention au fait que sa main soit pratiquement sur la mienne, j’avais déjà remarqué qu’il était mignon et il a l’air de plus en plus étrange. Je fronce les sourcils. Je crois vraiment qu’il ne se souvient pas de moi, pourtant quand il se recul, j’ai presque l’impression qu’il sait. Il n’a pas l’air vraiment bien.
Je le regarde s’excuser et sortir, je crois que je sais ce qui se passe, j’ai vu ça beaucoup, en tant qu’ambulancier, ce n’est pas rare de voir des gens qui sont un peu perdus, je sais quoi faire. Je me lève, je rassure un peu les autres qui ont l’air de se poser des questions pour certains et je rejoins Noé dehors. J’ai un peu changé depuis la dernière, il ne m’a sans doute pas reconnu tout de suite et puis je n’étais pas en civil comme maintenant, c’était particulier, je comprends que ça n’a pas dû être simple pour lui, que ça ne devait pas être un bon moment. Je le rejoins et je lui demande :
« Est-ce que ça va ? J’imagine que tu ne te souviens pas beaucoup de moi … Je suis désolé, je ne serais pas venu si j’avais su que c’était toi le professeur. »
Pas que je ne veux pas le voir, mais c’est toujours un peu bizarre de recroiser des gens qu’on a aidé. Je ne sais pas trop ce qu’il s’est passé pour lui depuis tout ce temps. Je sais juste qu’il n’était pas dans une bonne période et il a l’air d’aller mieux.
Tu ne te sens jamais plus épanoui que dans ces moments-là. Partager ta passion pour la glaise, tu adores cela. Au début, tu ne te sentais pas à ta place. Tu ne te sentais pas légitime. Et tu avais peur de ne pas être suffisamment patient ou pédagogue pour tenir ce rôle de professeur. Et finalement, c’est le cas. Tes cours sont appréciés. Les commentaires sont élogieux sur le site de l’école et ton supérieur te remonte régulièrement les gentils retours qu’il reçoit à ton sujet. Ici, tu te sens bien. Apaisé. Calme. Accompagné. Depuis que tu es revenu en ce lieu, ce dernier est devenu ton havre de paix. 
« Je vois que nous avons de nouvelles têtes. C’est fantastique ! », tu scrutes les visages un à un, saluant ceux que tu reconnais et continuant inlassablement à sourire à ceux que tu vois pour la première fois, « Je propose que nos petits nouveaux se présentent pour que nous fassions tous un peu connaissance. Je commence, d’accord ? ». Tu préfères casser la glace immédiatement. Ce cours est bon enfant, et tu apprécies de lui laisser son ambiance sympathique et légère. 
