THE party of hell...  // DÉon

Relation ambiguë entre frère adoptif

Tout allait pour le mieux, la musique vous déchirait les tympans, l’alcool coulait à flot dans vos verres, tu ne dansais pas, ce n’était pas tellement ton style, sauf quand ton frère te traînait sur la piste. Comment lui dire non, tu ne pouvais seulement pas, il n’avait qu’à te prendre la main et te tirer jusque sur le sol de danse et commencer à se trémousser contre toi. Tu ne faisais que suivre le mouvement, deux corps qui se laisse aller un contre l’autre parmis tant d'autres.

Entre vous deux il y a longtemps qu’il n’y a plus de tabou, de gêne, depuis la première année de son arrivée dans la famille. Sans savoir pourquoi le petit Dionysos c’est retrouver une nuit à dormir contre toi, arriver difficile le pauvre tremblais un peu, surement un mauvais rêve, une nuit c’est trouver à en devenir deux, puis quatre, puis un mois après il revenait en pleine nuit se glisser dans ton dos ou sur ton ventre. Vous étiez comme deux face d’une même pièce, si on avait fait une bêtise l’autre ne se trouvait pas à avoir les mains blanches non plus. Si tu te trouvais dans une pièce, l’autre ne se trouvait jamais bien loin, inséparables vous étiez devenu. Votre père à bien essayer de vous séparer ne voyant pas votre relation d’un bon œil, pour lui il y avait un côté malsain dans ce rapprochement, peut-être avait-il raison ou pas. Le temps a fait qu’entre vous deux, aucune limite, puisque cette dernière était dans votre tête, vous saviez que jamais il n’y aurait rien de sérieux entre vous, mais vous aviez besoin de l’autre, une ancre dans ce monde de fou.

Alors tout ca pour dire que vous vous laissiez aller sur la piste, ses bras autour de coup, les tiens autour de ses hanches, tu as même osé mettre ta main dans la poche arrière de son jeans, te laissant aller contre lui. Les regards ne vous lâchent plus, certains vous pointes même du doigts, mais rien ne vous atteints, vous êtes dans votre monde, tu as besoin de Dion ce soir, tu as besoin d’oublier la merde qui se passe dans ta vie. Ton visage se trouve dans son cou, tes hanches bouge avec les siennes, la musique se fait plus forte à tes oreilles, tu as oublier le reste. Ce jusqu’à ce qu’une main te tire de ses bras, une jeune fille au visage rouge tomate, les yeux qui pourrait te tuer sur place s’il y avait des lasers. Ta tête se tourne vers Dion, le regard perdu qui se demande qui est cette connasse. Son bras venant prendre possession de tes hanches pour t’emmener plus loin, ignorant complètement le schtroumpf qui vient de vous interrompre.

Vous prenez finalement place sur un des sofa de la salle, participant à une discussion sur un sujet lubrique que ton cerveau n’a pas du tout enregistrer. Dion jouant avec ton oreille de son nez, comme s’il avait compris ton besoin de sa présence, de ressentir sa chaleur afin d’éviter de sombrer. Doucement il te glisse deux mots, il va revenir, il est aller chercher à boire, il va revenir seulement pas assez vite pour que la mioche te casse les oreilles. Jalousie, voilà ce que tu entends sortir de sa bouche, des paroles qui ne font que te traverser les tympans pour te donner mal au crâne. Pire que Hestia quand elle est frustrée après vous, la voix de la mouche qui vient de se placer devant toi sans respecter ton espace vital t’agresse. “Frère”, “inceste”, “dégoutant” et autre mots obsène sont les seuls que ton cerveau à retenue. Tu ne pensais pas devoir t’occuper d’une misogyne ce soir, mais tu finis par soupirer, ton regard prend un tour des plus sérieux et finalement tu oses prononcer quelque chose.

Tu es encore vierge ?

La seule phrase sensée qui te sort d’entre les lèvres, celle qui te mérite le contenu de son verre sur le visage. Tu aurais pu la laisser continuer son discours, mais ça paraissait tellement plus raisonnable à tes yeux. Il n’y avait qu’une fille n’ayant jamais eu de sexe dans la vie pour se mêler à celle des autres. Sauf que tu n’as pas pensé au répercussion et ce juste en même temps que le retour de ton cher frère.

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Relation ambiguë entre frère adoptif

Naturellement il fallait qu’il revienne au moment où il reçoit se faire, il fallait qu’il voit la scène et bien entendu qu’il se moque. Ton frère est parfois le pire des crétins, c’est sûrement pour ça que lorsqu’il vient lécher ta joue, tu le repousse d’un bon ‘’connard’’ bien pensé. Puis il murmure à ton oreille, tu te poses exactement la même question, qu’est-ce qu’elle veut cette connasse, mais tu n’as pas le temps de lui demander que ton frère se relève sa main dans la sienne et te tire. Pas le choix apparemment de le suivre, ton cul levé du sofa tu passe devant la fille qui semble choqué en souriant.

Ce soir, il est à moi.

Totalement nonchalant, tu te laisse tirer en dehors, tu ne savais pas du tout où il vous emmenait, mais tu le suis sans te poser de question. C’est ton frère qui décide, c’est ton frère qui te guide, tu le suivais en enfer s’il le faudrait de tout façon. Vous marcher quelques rues pour finalement vous retrouver au strip-club, tu n’as jamais mis les pieds à l’intérieur, mais un club reste un club. Ce soir c’est chippendales, tu ne t’en plains pas, tu as de quoi te rincer l'œil et ce que tu vois te plaît. Ta main lâche celle de ton frère, ton cul se pose sur une chaise, tes yeux ne lâchent plus l’homme qui danse sur scène, il faut dire qu’ils ont le tour pour attirer le regard. Ton entre-jambe se réveil, tu as chaud, quelle idée à eu ton frère de te traîner là, toi qui est en manque depuis hier. Il te bloque la vue, tu pourrais grogner, mais sa phrase te prend de cours, connard que tu penses à nouveau. Tu n’as jamais reculer devant ce genre de phrase ‘’tu es game’’. Il repart chercher à boire au comptoir tandis que tes pieds se dirigent vers le fond de la salle. Derrière les rideaux se tient un homme, tu lui glisse un billet et il te laisse passé, trouver le manager de la place ne fut pas plus difficile, il hurlait des ordres comme un époumoné à ses gars. Une discussion, des billets, tu as ta place, direct après ce numéro, tu prépares le peu que tu as de besoin, tu as ton idée en tête, le mec de la console t’a trouvé la musique parfaite.

Les lumières se ferme, un sport allumé, de la fumée commence à se faire voir sur la scène et tu es la en plein milieu, ta veste sans manche détacher, le capuchon sur la tête, tu n’as plus tes bottes au pied, ceinture en main, tu commence à te mouvoir avec la musique. Tu bouges ton corps sensuellement, tu n’entends pas les cris des dames qui hurlent, il n’y a que toi, la ceinture et la musique. Dix minutes que tu te trouve là, dix minutes que la ceinture passe autour de ton coup, sous tes hanches, autour de tes poignets et entre tes dents, ton pantalon détacher sous la ligne de tes fesses, ta veste presque enlever, tu te retrouves à glisser à genoux, les poignets lier vers le bout de la scène. Ton regard capte celui de ton frère pendant que la gente féminine folle te jette les billets verts, rouge et même brun.

Argent entre tes mains, tu glisse sa part au manager du club, ce dernier t’invite à revenir faire un numéro plus poussé, plus ordonner, bien que celui-là avait fait sensation. Tu refuse en riant, tu n’as fait que répondre à un stupide défi, tu voulais juste faire fermer sa gueule a ton frère. Tu es presque certain qu’il ne s’attendait pas à ce que tu y ailles. Le manager te laisse seul dans un coin, le temps que tu reprennes ton souffle, remets ton linge correctement, tu as ta pars de gain en poche, argent que tu n’as aucunement besoin, mais tu l’as gagner.

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Relation ambiguë entre frère adoptif

Tu ne t’attendais pas à danser ce soir, pas ainsi. Tu avais aucun plan, seulement boire avec ton frère, profiter de la nuit, mais ce crétin reste un crétin, chiant, ennuyant et totalement dans ton coeur. Il t’a mis au défi, tu en as profité tandis qu’il a quitté la table pour te faufiler en arrière scène. Il y a rien que l’argent ne peux pas acheter et te voilà à te trémousser sur un danse inconnu avec seul outil tes vêtements. Ce qui semble plaire à la gente féminine sur place, puisque tu n’entends rien d’autre que leur cris. Tu ne sens que leur main se faufiler dans la ligne de ton boxer, tu dois tout faire pour ne pas te retirer, tu déteste ça. La seule seule chose qui t’hypnotise sur place qui te permets de finir cette danse, sont les yeux de ton frère, on dirait qu’il va tuer toute personne qui s’approche de trop près de toi et en même temps te dévore, c’est déstabilisant, mais envoutant. Danse terminée tu te retires, paie l’arrière scène, et sèche d’une serviette et rejoint le jeunot qui patiente au bar. Tu as un air fier de ta personne sur le visage, tu sais qu’il ne s’attendait pas à ça. Tu lui embrasses la tempes lorsqu’il te complimente et termine le verre qu’il buvait.

Arrête tu les tuaient toutes du regard.

Verre vide en main, tu le tapes sur le comptoir du bar voulant un second tour, tu as soif après cette folie et puis vous êtes là pour vous amuser. Chose que Dion à bien retenu, puisqu’il imite de façon obscène les femmes autour de la scène, ses doigts glissant un billet dans ton boxer. Étrangement tu ne te recule pas, ta main libre empoigne sa hanche, tu souris en le regardant. Il a beau être plus jeune que toi, il te dépose ce con, mais cette différence rend le tout beaucoup plus excitant à tes yeux. Whisky de retour entre vos mains, bu d’un coup, tu perçoit rapidement le changement d’air dans le visage de ton frère, tu suis ce qu’il observe à ton tour. Vous êtes observé, enfin tu l’es, un homme qui à l’air de te vouloir, il est pas mal, tu pourrais avoir ton plaisir pour la nuit avec lui. Pas le temps de dire quoique ce soit, Dion se fâche et réagit au quart de tour, ses lèvres dévorent les tiennes comme si elle lui appartenait. Tu n’es pas surpris, entre vous c’est comme un jeu, une limite qui n’est jamais franchie, mais si souvent touchée. Tu ne peux que répondre à son affection, ta main déposer sur ses hanches visite la poche de son pantalon, tu grognes un peu entre ses dents, bordel, il te chauffe et tu sais qu’il s’en amuse. Vous partagez le même fou rire en voyant l'homme dégagé, ton frère retournant sur son banc et toi qui lève la main pour commander une nouvelle tournée d’alcool. Vous buvez tranquille, deux genoux qui se touchent, pas besoin d’échanger la moindre parole, vous êtes à l’aise dans le silence, la musique en arrière fond. Sauf que voilà, l’homme zieuteur revient, tend une clé entre vous deux et vous dit de profitez. Regard perdu, verre rester à la limite de tes lèvres, tu fixes ton frère qui semble vouloir voir ce qui se cache dans cette arrière boutique puisqu’il prend la clé tout excité. Ta main dans la sienne, tu te sens à nouveau tirer, pas le temps de dire quoique ce soit, il t’apporte vers l’arrière dans cette salle fait clairement pour l’amusement des couples. Tu y entre, visiblement curieux, tes doigts passant sur tout ce qui est à ta disponibilité, tu ne peux qu’imaginer ce que les vrais couples y font, il y a vraiment des salles pour cela ?