surnom ·· Cette futilité n’est qu’une courte interpellation faisant preuve d’un attachement ou d’une paresse. Pourquoi ne  pas simplement dire mon prénom. Je déteste les surnoms cupides et disgracieux tels que babe, chérie ou même poupée. Oc ou OB semble plus doux et j’apprécie plus. . âge ·· Il est dit dans des pages jaunes d’un roman de Victor Hugo ; l’un des privilèges de la vieillesse, c’est d’avoir, outre son âge, tous les âges. Il n’y a pas de vieillissement ni même de festivités pouvant m’entourer. J’ai aimé cette journée. Autrefois. Aujourd’hui, elle se dissimule dans un coffre de ma conscience. Enfermé avec mes regrets. Est-ce si important de fêter sa naissance la même journée que le Christ ? Derrière le sapin vert et les cadeaux colorés, je préfère vivre loin de ce nombre. Appréciant les années qui s’accumulent. Un jour, ils cesseront de changer tout comme celui-ci qui a gravi un échelon. Le quatre a disparu pour laisser le cinq être accompagné d’un deux, 25. Vingt-cinq belles années de vie… date & lieu de naissance ·· Ce détournement de rêverie digne d’un fantasme enfantin vient détourner d’un regard la noirceur de la vérité. Cette fête païenne dont le sens tourne autour d’un détriment d’autrui. Je suis née le jour de Noël 1998 alors qu’une tempête hivernale sombra de Montréal (Québec, Canada) dans une noirceur totale. Coupant les sources de chaleur et l’électricité.  nationalité ·· Autrefois, le drapeau blanc, bleu m’était une fierté. Un attachement qui n’aurait jamais pu briser le lien d’amour que j’avais pour lui. Cet accent qui me relie toujours à cette culture qui est la mienne. Je suis née au Québec situé au Canada et je vais mourir québécoise. origine(s) ··Russe & Allemande métier ··Ce visage qui est apparu devant mes yeux, cette franchise qui glissa contre mes lèvres. Cette apparence pouvant charmer les êtres autour. Est-ce un atout ou une malédiction. Monsieur Zaimis, un grand homme à la chevelure blanche, n’avait qu’une en tête mettre auprès de son ainé une femme imposante pour l’assister. Loin de l’emploi que je désirais. Adieu garde du corps et bonjour assistante.   à new york depuis ·· Cinq ans. tes revenus ·· ($$) Ni riche, ni pauvre.statut matrimonial ·· Les années d’esclavagistes des femmes sont révolues. Les lois dictant l’obligation de se marier à un âge ridicule ne sont plus. C’est mieux ainsi ! La liberté est une chose rare. Combien de femmes se laisser mener par un homme voulant faire d’elle, une parure. Une poupée de porcelaine fragile entre leurs mains. Je me permets trop peu de distraction bien que la chaleur peut combler ce vide. Le célibat est ma colocation et une amie précieuse. Je ne rêve pas de ce rêve d’enfant. Cette futilité démontrée par Disney ou les contes de fées. Préférant mes propres désire à ceux imposés par une société. Jane Austen est bien le modèle que nous pouvons suivre. Une femme libre dont la sagesse a laissé derrière elle bien des marques. Je suis peut-être l’éternel célibataire dont le sourire se dessine rarement sur ce bout de chair courbé.orientation ·· hétéro. classe sociale ·· Classe ouvrière / classe moyennequartier d'habitation ·· En colocation dans un petit appartement deux chambres dans le quartier de le Queens)