Le petit plus Triggers: Rien de bien particulier Warnings: Maltraitance infantile, tentative de suicide, sexe libre, phobies Pronoms IRL: Elle Pseudo: Marlenaskin Pseudo discord: marlenaskin Multicomptes: Phoenix ( D. David ) ++ Micah ( F. Allan ) ++ Ava ( Y. Shelbia ) ++ Alessandro ( M. Huisman ) ++ Cassandra ( D. Cassel ) ++ Mina ( A. Arjona ) Habitude rp: 1ère personne du singulier - Entre 500 et 1800 mots Couleur rp: Disponibilité rp: Archi Full {7/3}
Morgane A. Jordison
Mar 12 Sep - 14:02
Gonna drink away all my feelings
« Priam & Morgane »
Cela fait maintenant quelques jours que j’ai l’impression de m’enfoncer. Cela ne m’était plus arrivée depuis si longtemps et pourtant, j’ai à nouveau ce poids sur la poitrine qui m’empêche de respirer normalement. Il faut dire que tout s'enchaîne depuis quelque temps. Des bonnes comme des mauvaises expériences ! Depuis que je suis montée sur scène avec le groupe de Dakota, je ne pense plus qu’à ça, cette drogue a vite pris de me prendre dans ses filets. Les cours reprennent et avec les deux boulots que je fais sur le côté pour payer mon loyer ainsi que mes études, j’avoue que j’ai la tête sous l’eau. J’ai l’impression de me noyer sous mon manque de temps évident. Puis, il y a cette bagarre que j’ai vécue comme une véritable agression dans le métro la semaine dernière. Je revenais du studio télé où je bosse maintenant de plus en plus souvent et on m’a mis une main au cul. Qu’on ne vienne pas à nouveau me dire que ma tenue leur en a donné la permission, car je trouve cette phrase inadmissible ! Ce n’est pas car j’avais une mini jupe et un body blanc que je suis la première grognasse à qui ont peu faire ce que nous désirons. Je vous laisse deviner que je me suis retourné et … Alors que j’allais lui dire ma façon de penser, un autre homme, plus respectueux de la gente féminine lui a dit à ma place. Le ton est monté très vite et ils en sont venus aux poings. Et moi, même si au départ, je voulais les séparer, que je ne comprenais pas comment ça avait pris une telle destination, j'ai reçu un coup dans le bras, léger, mais bien assez fort pour que je panique. L’impression d'étouffer, les larmes menaçant de sortir de mes yeux et toutes les images qui me revenaient inlassablement en tête. J’entendais plus ce qu’il se passait autour de moi, j’entendais mon paternel me dire à quel point j’étais nulle, que je méritais ce qu’il me faisait subir car ça m’endurcissait. Je ressentais tout à nouveau ! Je ne sais plus qui m’a sorti de ce wagon de métro, je ne sais plus non plus réellement comment je suis rentrée chez moi, mais je sais que depuis,je refais des cauchemars, que je me sens à nouveau totalement à la merci de mes sentiments beaucoup trop forts, trop puissants et qui me submergent bien trop rapidement. Je revis chaque nuit la culpabilité, la douleur, la tristesse, la solitude et je me réveille en sueur et la poitrine serrée !
Alors comme pour tout exorciser, j’écris, je compose, je joue de la musique. Peut-être même aussi que je suis dans une de mes périodes auto-destructrices. Je sors beaucoup plus, je dos beaucoup moins, mais je ne m’amuse pas spécialement, je recherche juste à nouveau ma place. Mais ma psy m’a dit une chose importante, je ne suis plus seule ! Je ne suis plus seule ! Ce soir, j’aimerais et j’ai besoin de reprendre le dessus, alors que je suis encore sur le chemin du retour pour arriver très rapidement à la péniche où je vis, je pianote sur mon smartphone. Un message pour mon pilier dans ce monde de fou, le seul qui peut me comprendre et qui n’a pas besoin de mot pour me faire me sentir à place et sereine, c’est Priam. « Ce soir, sortie tous les deux ! J’ai besoin de te voir ! » Il a vite répondu positivement à ma demande alors une fois dans ma chambre, je me retrouve bien vite à prendre une douche, puis à passer une demi heure à choisir ma tenue pour la soirée. J’ai opté pour une jupe, des bas collants opaques, des bottes et un haut qui ressemble à un gilet de costume trois pièces ! - Ma tenue - Et pour le maquillage, comme pour cacher mon mal-être, il est encore plus accentué que d’habitude. Ce soir, on va d’abord boire un verre avec mon beau colocataire et puis,on verra bien. Je n’ai pas spécialement envie de rentrer de la nuit, même si ça veut dire que je vais me bourrer de caféine demain pour tenir le coup au boulot !
Nous n’avons pas loin à aller pour rejoindre le premier bar où la soirée va débuter. Une fois sur les lieux, je lui dis en montrant le comptoir « J’offre la première tournée, tu bois quoi ? » Car même si je ne compte pas boire à ne plus savoir ce que je fais, chose que je ne fais jamais, car j’ai une peur sourde d’être comme mon père, un monstre, dès que je me mettrais à boire plus qu’il ne le faut, je compte bien boire un ou deux bons cocktails avant de passer à du soft ! Puis pour lancer la conversation plus sur lui que sur moi, je lui demande « Bon alors raconte moi ta semaine, combien de coeurs as-tu brisé cette semaine ? » Il était comme moi, que ce soit homme ou femme, il ne faisait pas réellement de préférences. Mais nous étions totalement différents. Je cherchais une sorte de stabilité,quelqu’un qui pourrait me retenir, me supporter et me donner l’envie de me poser. Lui, ne cherchait que la chaleur du moment et l’oubli dans des draps grands ouverts !
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« Priam Santantonio »
•• admin de gmny
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•• Date d'arrivée : 04/06/2023
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•• Faceclaim : evans nikopoulos
•• Les crédits : me (av) moi-même (signa)
•• Âge : 23
•• Nationalité(s) : américaine
•• Statut marital : les cloisons vers ta couche restent à jamais accessibles. papillonnant d’une chair à une autre avec une facilité impalpable. l’union romantique n’a nulle place dans ton existence du moins jusqu'au jour où tu as gouté à la chair prohibée. là, tu n'arrives plus à le sortir de ta tête même s'il n'est pas accessible. ton patron, ulysse.
•• Orientation sexuelle : les allégresses féminines félines et graciles mais aussi d’autres enveloppes beaucoup plus imposantes et viriles; la bisexualité embrassée sans crainte et sans honte du moins, c’est ce que tu prétends. la certitude s’évapore petit à petit donnant naissance à des questionnements muets et accablants
•• Métier / études : étudiant en soins infirmiers, 5ème année. artiste, enluminant la réalité des êtres disparu.es. d’un coup de baguette magique, tu transformes leur damnation organique en une toile de beauté mirifique. illusoire. thanatopracteurpendant les week-end, la journée, le soir tu mets ta pèlerine de crapule invétéré en devenant un dealeur destructeur et vaniteux
•• Quartier d'habitation : liberty island dans une colocation.
Le petit plus Triggers: les personnages trop cringe, mary-sue, violence contre les animaux Warnings: auto-mutilation, drogue, homophobie, sexe, violence Pronoms IRL: elle, she, her Pseudo: magma. Pseudo discord: sur demande Multicomptes: elias, dae, joakim & sade Habitude rp: je rp en tu, je fais au minimum 500 mote et je peux atteindre les 2000, je rp selon l'inspi Couleur rp: #cc0000 Disponibilité rp: pas disponible
Priam Santantonio
Lun 2 Oct - 12:24
A journey through lightning ending now A song made of light spreading around
un son retentit de la fenêtre des technologies, bien dissimulé sous ta blouse passablement aux tâches rougies. d’un geste appliqué, tu remets le pinceau que tu tenais entre tes phalanges à sa place et tu récupères la source du bruit. un texto. morgane. ta bonne humeur s'accroît à la vue du message. un verre. avec ton havre de paix. comment refuser ? exit la fatigue. tu mets de côté tes propres soucis dans un coin pour répondre rapidement. tu acceptes volontiers et tu ressens même une vague d’excitation à cette proposition bien tombée. tu as besoin de décompresser. tes journées n’étaient pas seulement chargées. elles étaient remplies de nouveautés. pas toujours agréables. tu jettes un dernier regard à ton oeuvre de ce soir et après lui avoir souhaité un bon voyage, tu éteins les lumières sans oublier de fermer la porte derrière toi. tu prends la direction des vestiaires pour te doucher et mettre tes affaires propres. et qui ne sentent pas le parfum de la mort. tu te regardes dans la glace pour mettre un peu d’ordre dans tes cheveux épais, tu récupères dans la foulée ton sac à dos qui contient tout le nécessaire et tu quittes cet établissement dans lequel tu passes le plus clair de ton temps vide.
heureusement, ce soir tu n’attends pas le métro pendant une éternité. dans ses entrailles, tu regardes ton emploi du temps. un soupir de soulagement sort d’entre tes lippes. le lendemain tu n’as pas cours dans la matinée. tu pourras enfin bénéficier d’une grasse matinée bien méritée. dix minutes plus tard, tu te retrouves à pousser les grandes portes vitrées du bar. tu ne mets pas longtemps à retrouver la silhouette désirée ; son look excentrique ne passe absolument pas inaperçu. toi, tu as toujours été sobre dans tes habits. un t-shirt, un jean passablement moulant et une veste. le seul signe distinctif qu’on peut retrouver chez toi, n’est autre que les bagues qui ornent tes doigts ainsi que la boucle d’oreille pendante, son extrémité forme un petit crâne. les bijoux sont incontestablement un de tes péchés mignons. “ une bière pour commencer. ” tu poses un long baiser sur sa joue et sans plus tarder, tu prends la chaise face à la sienne. tu la contemple un petit instant. son maquillage est prononcé. certes, ce n’est pas une surprise la connaissant mais … tu te demandes si cela ne cache pas une quelconque raison obscure. tu ne la harcèles pas de questions actuellement inutiles. non, tu n’es pas le genre. toi, tu attends. patient comme tu es. à sa question, tu fais mine de réfléchir avant de former un zéro avec ton index et ton pouce. “ et oui, rien, nada. par contre, j’ai aidé une dame à se maquiller pour ses retrouvailles avec l’amour de sa vie. trente ans de mariage, tu te rends compte ! ” tu remercies le serveur qui pose votre commande sur la table. et inconsciemment, tu poses un regard sur son postérieur quand il se retourne pour aller au bar. “ j’ai quelqu’un en tête même si pour le moment je sais pas s’il y a vraiment entre nous. ” tu hausses les épaules et tu prends une grande gorgée de ton breuvage frais. ça rafraîchit ton œsophage en quête de liquide gracieux. “ et toi, ça va ? ” ne lui laissant pas la possibilité de te berner de mensonges, tu rajoutes. “ bien évidemment je veux la vérité. n’oublie pas que j’lis en toi comme dans un livre ouvert alors … ” alors, tu sauras si elle essaie de feindre la joie alors que ce n’est pas forcément le cas.
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« Morgane A. Jordison »
•• élève à columbia
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•• Date d'arrivée : 04/08/2023
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•• Nationalité(s) : américaine
•• Statut marital : célibataire
•• Orientation sexuelle : les deux sexes
•• Métier / études : Etudiante en communication // Assistante sur le Cupidon Show // Assistante de production musicale chez Exit
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Morgane A. Jordison
Ven 6 Oct - 14:50
Gonna drink away all my feelings
« Priam & Morgane »
Une fois qu’il s’est installé en face de moi à la table, j’appelle un des serveurs pour qu’il vienne prendre la commande. Ce qu’il fait d’ailleurs assez rapidement ! « Une bière et un mojito s’il te plait ! » Lorsqu’il s’en va pour ramener au plus vite, je l’espère, notre commande, je me tourne vers mon ami. Je prends une grande respiration, un sourire sincère venant se poser sur mes lèvres. Je savais que c’était la meilleure chose à faire, lui proposer une soirée, rien que tous les deux ! Juste sa présence a le don de m’apaiser et de voir la vie autrement, bien meilleure. Il est une bénédiction et je suis tellement contente que le destin l’ait mis sur mon chemin. Mais assez de mièvrerie, j’aime pas ça. On est là pour faire la fête non ? Il a le regard qui court sur mon visage comme si il était déjà au courant que je n’allais pas bien. Est-ce possible de connaître aussi bien une personne en si peu de temps ? Mon maquillage est une arme pour moi, un masque aussi quelquefois. Une manière d’être une autre, de masquer le tout également.
Alors je commence la conversation et, bien entendu, je la lance sur lui. Et pas que pour la détourner, parce que ce qui lui arrive m’intéresse vraiment. Je lui demande donc combien de coeur, il a brisé cette semaine. Car oui, ça fait une semaine, une très longue semaine qu’on ne s’est plus que croisé, envoyé des textos, mais qu’on n’a pas réellement pris le temps de parler. Ca me fait long d’ailleurs ! Quand il a commencé à faire mine de réfléchir, j’ai failli éclater style “ Autant que ça ? “, mais à la place, j’ai bien fait d’attendre. Je le regarde plus étonnée qu’autre chose quand il me répond … « Que se passe-t-il ? Tu es trop fatigué pour le moment ou bien tu as perdu de ton charme naturel ? » Et je rigole. Mais il continue en me disant ce qu’il avait fait pour une dame qui rejoignait son mari. On se comprenait, je voyais très bien de quoi il parlait. Cela ne m’a jamais fait peur son métier, bien au contraire, il en faudrait plus des gens comme lui. Des hommes ou des femmes qui ne prennent pas les êtres partis pour des morceaux de viande qu’il faut juste remettre en beauté pour un dernier voyage. Non, il tente de les comprendre et les honorent. « Trente ans de mariage, le tiers d’une vie. Dire que je ne supporte déjà que très rarement une personne dans ma vie plus de trois mois ! Ca redonne foi en beaucoup de choses ! » L’amour m’a bousillé, donc je m’enfuis loin de lui, même si je l’espère !
Liam m’avoue avoir quelqu’un en tête, je rigole vu le regard intéressé qu’il fait fondre sur le postérieur de notre serveur « Tant que tu ne me dis pas que c’est ce serveur, je veux tout savoir ! » Je rigole et je m’avance légèrement, je suis toute ouïe. Je pose mêmes mes coudes sur la table pour poser mon menton dans mes mains. Je le regarde dans les yeux et j’attends de tout savoir sur cette personne. Il n’est pas du genre à se livrer, ni même à s’intéresser à qui que ce soit, charnellement, sentimentalement parlant, très facilement, alors là … Je serais vraiment heureuse pour lui s’il trouvait une personne qui pourrait le rendre heureux. C’est la seule chose que je souhaite pour lui !
Mais il finit par me poser la question qui fâche, j’allais lui répondre une broutille, car je ne comptais pas lui mentir, mais pas non plus lui balancer la vérité si facilement. Je sais qu’il s'inquiète pour moi et cela ne sert à rien, c’est juste un mauvais moment. Je prends mon cocktail entre mes mains, je fais légèrement tourner le liquide dans celui-ci, puis je finis par lui dire « Tout se bouscule pour le moment, c’est une de ces périodes où je resterais bien au lit plutôt que d’aller bosser. Donc j’avais besoin de toi pour me changer les idées et surtout pour parler de tout à fait autre chose que mes putains d’états d’âme ! » Je lui fais un sourire et puis je lève mon verre en sa direction avant de trinquer « A toi ! » puis je porte mon verre à mes lèvres et j’en bois une légère gorgée. Puis je lui dis « Par contre, il y a une chose que je me dois de te raconter. Je t’ai dit que j’avais fait un concert avec des potes la semaine passée. Putain, tu sais que je ne suis pas encore réellement redescendue sur terre. » Changement de sujet immédiat !
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« Priam Santantonio »
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Priam Santantonio
Mer 11 Oct - 12:11
A journey through lightning ending now A song made of light spreading around
« Que se passe-t-il ? Tu es trop fatigué pour le moment ou bien tu as perdu de ton charme naturel ? » pour commencer, tes yeux s'écarquillent dans une expression faussement offusquée et inconsciemment ta langue claque dans ton palais. “ mon charme naturel est intact non mais ! ” et tu continues ta mise en scène en prenant une pose exagérée ; la tête un peu trop haute ainsi qu’un regard qui se veut séducteur. rapidement, tu te mets à rire non sans bouger ta boîte crânienne de droite à gauche, dans un geste dépité. sûrement à cause de ta petite démonstration un peu trop surjouée. tu reprends finalement ton sérieux. “ je m’attendais pas à ce que la reprise des cours soit si dure en fait. trop de choses à faire ! en plus la faucheuse n’a pas chômé ce qui nous a donné une masse de travail monstrueuse. remarque, tu me croises à peine à l’appart’ non ? ” c’est clair ; tu rentres tard et tu te lèves tôt. tu as oublié l’effet d’une grasse matinée bien méritée. tu as oublié ce que c’est que d’avoir ton déjeuner sur une table et manger doucement sans avoir l’impression de perdre un temps hautement précieux à bien mâcher. et puis … il y a tes deux trafics à côté, des activités qui pompent aussi ton énergie et te laissent parfois insomniaque. mais ça priam, ça, tu ne peux l’avouer. c’est ton petit secret que tu ne peux même pas partager avec ton havre de paix. tu la mettrais surtout en danger et tu refuses cette possibilité.
ta propre tension diminue quand tu parles de ta dernière cliente. trente ans d’amour inconditionnel. tu es certain que des soucis ont formé des nuages au-dessus de leur union. tu n’en doutes pas une seconde. mais visiblement, ces soucis n’étaient pas si forts que leur entente jusqu’à ce qu’un fléau vienne mettre un terme à ces années de couple ; la mort n’a pas de remède. quand elle frappe, rien ne peut l’arrêter. même pas des sentiments sincères. connaitras-tu cela un jour ? hum, tu en doutes. tout comme ton amie, tu ne te vois pas voué à une personne pendant des mois alors des années … vaut mieux ne pas rêver. “ qui sait ? peut-être que tu rencontreras la personne qui te fera changer d’avis ? ” t’ignores si tu crois à ces fabulations. “la bonne personne” dit le commun des mortels. ces petits cons qui ont affirmé cette citation haut et fort, se rendent-ils compte que plusieurs personnes croient à cette pseudo-vérité et bousillent leur vie dans une attente interminable ? tu ne veux pas y penser. tu préfères te concentrer sur ton amie et … le postérieur du serveur qui pose délicatement vos verres. tu reviens au moment présent et tu secoues la tête face à l’interrogation de la blonde. “ j’t’en pris, j’peux l’avoir en deux secondes ce gars non c’est … quelqu’un d’autre. ” tu bois une gorgée de ton verre et tu fais mine de bien choisir tes mots. “ c’est un homme que j’ai rencontré lors d’une vente aux enchères. j’sais pas ce qui s’passe et j’veux pas me leurrer mais voilà, il m’intéresse. ” tu omis le fait qu’il soit ton patron. ton patron de tes ventes de drogue. secret défense. après une nouvelle gorgée, tu t'intéresses aux états d’âmes de la demoiselle. ses mots prennent tout leur sens dans ton esprit. elle a besoin de s’évader. de penser à des choses plus joyeuses. tu comprends cette envie après tout, tu es pareil. tu te contentes de hocher de la tête sans rien ajouter avant de te mettre à sourire à ses mots. tu aimes la voir excitée de la sorte. et cette émotion est toujours déclenchée par votre passion en commun ; la musique. “ non non attends attends … racontes moi tout et n’oublies aucun détail. je veux savoir ce que tu as chanté ” tu te mets à compter sur tes doigts. “ ce que tu portais, ce que tu as ressenti et si tu vas recommencer. ” elle est douée. tu sais qu’elle l’est puisque tu as pu la voir à l'œuvre. tu espères de tout ton cœur qu’elle percera un jour. elle le mérite plus que quiconque sur cette planète. mais avant qu’elle ne commence à te conter les faits, tu l’arrêtes en prenant sa main dans la tienne. “ mais avant, je veux que tu saches que si jamais tu as besoin de parler, je suis là. je t’écouterai sans jugement. ” tu veux que cela soit bien clair et surtout qu’elle assimile cette invitation ouverte.
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Morgane A. Jordison
Lun 23 Oct - 23:35
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« Priam & Morgane »
J’ai un sourire en coin quand il commence à se la jouer outré ! Je le connais bien assez pour savoir qu’il ne serait pas faché pour si peu et puis, il faut le voir, avec son air théâtral ! Il sait ce que je pense de lui, il sait que je le trouve magnifique et que je ne doute pas de l’effet de provoquer sur toutes les personnes qui l’approchent. Mais j’éclate de rire avec lui quand ce son si communicatif passe la barrage de ses lèvres. Priam arrivera toujours à me faire rire, il est d’ailleurs le seul, qui avec la musique, arrive à me faire reprendre confiance en moi en quelques minutes seulement. Quand il me dit que tout ça vient de la fatigue dûe à la fac qui a recommencé, ainsi qu’à son boulot à la morgue, je fais une petite moue. Pinçant les lèvres l’une contre l’autre et remontant l’une de mes commissures. Je lui dis alors, en le regardant dans les yeux « Il faut que tu te ménages. Si tu veux, une fois par semaine, quand je suis de repos aux deux tafs, je peux te préparer un vrai repas que tu pourras manger en revenant ou quand tu en auras envie. Je ne suis pas la plus grande cuisinière qu’il y ait, mais je me débrouille ! » Puis je rajoute au sujet de la grande faucheuse « Et puis, quand tu dois bosser aussi tard, je pourrais taper tes prépas, tu sais celles que tu fais sur papier avant de les faire sur l’ordi. Ou je ne sais pas, je peux t’aider comment. Et te réjouis pas, ça serait à charge de revanche hein ! » Puis je rigole légèrement. Il sait que je le ferais pour rien, mais je sais surtout qu’il ne voudra pas me déranger s’il ne peut pas me renvoyer l’ascenseur après ! Une chose que j’apprécie autant que ça me met les nerfs au sujet de mon pilier, c’est qu’il préfère donner que de recevoir. Il donnerait tout pour les gens qu’il aime. Je sais que peu de gens le voient ainsi, mais moi je le sais, je l’ai tout de suite su ! Et ça me fout les nerfs, car je suis pareille. Imaginez l’angoisse ! Ca vous fait rire, j’en suis sûre ! « Par contre, si on ne se croise pas trop à l’appart, c’est pas uniquement de ta faute. Je cours tout autant que toi partout. Je sais plus où mettre la tête. Mais c’est ça d’être deux jeunes dans la vie active non ? » autant dédramatiser cette situation. Non ? Par contre, je sais qu’il cache quelque chose. Je vois bien certaines choses, je comprends qu’il y a une chose dont il ne veut pas me parler, mais je ne dis rien. Je ne veux pas le mettre mal à l’aise et il sait que si il veut me parler, il le peut ! Je serai toujours une écoute attentive pour lui et je serai toujours une tombe, hors de question, même sous la torture que je ne le trahisse.
Cette histoire est triste. On ne peut pas imaginer ce que ça a dû être de perdre un être cher, une personne si chère qu’on n’aime qu’elle depuis plus de trente ans. Je me suis souvent demandé si mon père aurait été aussi horrible, aussi blessant avec moi si l’amour de sa vie, ma maman, aurait été encore en vie. Il m’est arrivé de le pardonner de ses actes, car c’était de ma faute s’il avait perdu cette femme dont il était fou amoureux ! Alors non, je ne sais pas si je connaitrai ce genre d’amour qui rend fou. Je ne sais pas si je supporterai les défauts d’un autre aussi longtemps. Ou pire, s’il supportera les miens ! « Tu sais très bien qu’il faut être sado pour s’attacher de la sorte à moi. Y a que toi pour être assez fou et me supporter depuis autant de temps ! Toi, par contre, je ne doute pas ! » Je ne doute pas du fait qu’il pourra trouver chaussure à son pied, la personne qui le rendra heureux et qui le fera sourire bêtement à chaque rencontre. Quand le serveur arrive, je remarque bien vite le regard de ton ami sur son postérieur, aussi hypnotisant soit-il d’ailleurs ! Je suis prête à lui dire de me le prouver lorsqu’il m’affirme qu’il pourrait l’avoir dans son pieu dès ce soir, mais il ne m’en laisse pas l’occasion et me parle d’une autre personne. Et là, c’est à mon tour d’ouvrir de grands yeux étonnés. Je le laisse boire une gorgée de son verre alors que j’ai envie de le presser de parler. Comment ça, je ne suis pas encore au courant que quelqu’un lui plait ! Je me tais mais je crois que mon regard parle pour moi. Je tapote d’ailleurs mes doigts sur la table entre nous pour lui faire comprendre que je veux tout savoir. Un homme a assez d’intérêt à ses yeux pour qu’il m’en parle. C’est que cet homme est unique ! Je n’en doute pas « Qu’a-t-il de si spécial ? Et puis, tu comptes le revoir ? C’est tellement excitant, je veux tout savoir, je veux pouvoir vivre cette histoire par procuration ! » Moi, ma vie personnelle est un vrai désert, mis à part les personnes qui partagent mon lit par ci, par là !
Mais on en arrive à nouveau à moi et pourquoi j’ai une telle mine. Il sait que je ne vais pas bien, j’ai beau lui sourire, lui montrer que je suis forte, il sait. Il est le seul à savoir ainsi d’un seul regard, d’un seul mot ce que je ressens et quelquefois, ça me fait un peu peur. J’ai pas envie qu’on sache qui je suis, j’ai tellement honte, je me sens tellement coupable. Mais je sais qu’il ne le fait que parce qu’il m’aime bien et qu’il s’inquiète pour moi. Donc je lui dis juste que j’ai envie de me changer les idées et je lui balance une autre info pour qu’il se concentre sur un fait bien plus intéressant que mes petits états d'âme ! Il semble aussi emballé que moi pour toute cette histoire de concert que, peut-être, je ne recommencerai pas de sitôt ! Mais il me coupe et lorsqu’il me dit ses mots, je prends sa main dans la mienne, je caresse un peu le dos de la sienne de mon pouce puis je la ramène à moi « Je le sais. Et tu sais que le contraire est vrai aussi hein ? Mais on en parlera peut-être plus tard, là, j’ai juste envie de passer du temps avec toi et de passer une bonne soirée ! » Je lui fais un petit sourire en guise de fin de phrase. Je prends mon verre et j’en bois une grosse gorgée, histoire de me remettre avant de commencer. « J’ai été voir Loud Kids, tu te souviens, je t’en ai parlé. Le concert était électrisant, les gens dans la salle étaient en délire. A la fin du concert, j’ai été les voir en coulisse avant leur deux musiques de rappel. C’est là que le bassiste les a lâchés… Il allait devenir papa ! Et putain, j’ai cru que mon coeur allait lâché quand ils m’ont demandé, vu que je connaissais toutes leurs musiques, de reprendre sa place comme ça, au pied levé. Quand je suis montée sur scène, que les premières notes de ma basse ont résonné, j’étais aux anges, j’étais dans un rêve. Les gens hurlaient, dansaient, sautaient dans tous les sens. C’était la folie, j’avais l’adrénaline qui montait en moi en flèche, mon cœur battait la chamade, mais je ne pensais plus à autre chose qu’à la musique ! J’aimerais tellement recommencer un jour ! » Mais Jason, leur bassiste, est toujours là et je ne compte voler la place de personne, même pour un bout de paradis.
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•• Les crédits : me (av) moi-même (signa)
•• Âge : 23
•• Nationalité(s) : américaine
•• Statut marital : les cloisons vers ta couche restent à jamais accessibles. papillonnant d’une chair à une autre avec une facilité impalpable. l’union romantique n’a nulle place dans ton existence du moins jusqu'au jour où tu as gouté à la chair prohibée. là, tu n'arrives plus à le sortir de ta tête même s'il n'est pas accessible. ton patron, ulysse.
•• Orientation sexuelle : les allégresses féminines félines et graciles mais aussi d’autres enveloppes beaucoup plus imposantes et viriles; la bisexualité embrassée sans crainte et sans honte du moins, c’est ce que tu prétends. la certitude s’évapore petit à petit donnant naissance à des questionnements muets et accablants
•• Métier / études : étudiant en soins infirmiers, 5ème année. artiste, enluminant la réalité des êtres disparu.es. d’un coup de baguette magique, tu transformes leur damnation organique en une toile de beauté mirifique. illusoire. thanatopracteurpendant les week-end, la journée, le soir tu mets ta pèlerine de crapule invétéré en devenant un dealeur destructeur et vaniteux
•• Quartier d'habitation : liberty island dans une colocation.
Le petit plus Triggers: les personnages trop cringe, mary-sue, violence contre les animaux Warnings: auto-mutilation, drogue, homophobie, sexe, violence Pronoms IRL: elle, she, her Pseudo: magma. Pseudo discord: sur demande Multicomptes: elias, dae, joakim & sade Habitude rp: je rp en tu, je fais au minimum 500 mote et je peux atteindre les 2000, je rp selon l'inspi Couleur rp: #cc0000 Disponibilité rp: pas disponible
Priam Santantonio
Mer 25 Oct - 11:32
A journey through lightning ending now A song made of light spreading around
La sonorité de son rire te met du baume au cœur. Elle t’emplie d’une joie nouvelle et extrême. Elle est la seule à te faire ça, Priam. A te faire sentir important et à rire de la sorte de tes conneries sans que tu détectes la moindre moquerie. Elle rit, de bon cœur, honnêtement et sincèrement. Tu l’aimes cette fille et soudainement, tu te qualifie de chanceux de l’avoir dans ton existence. Le karma, l’univers, le destin ou tu ne sais trop quoi, l’a mis sur ton chemin et toi, tu l’as cueilli comme un trésor inestimable. Elle est ton trésor inestimable. Les propositions qu’elle te fasse pour alléger un peu la charge de ton quotidien en est la preuve ; elle est altruiste, généreuse et n’hésite pas une seule seconde à offrir sans rien attendre en retour. Comme toi. Ce n’est pas pour rien que vous vous entendez si bien. Vous défendez les mêmes valeurs, êtes dotés d’un caractère similaire. Vous n’appelez jamais à l’aide, au contraire, vous courrez pour aider les autres même quand tout va mal dans vos vies. Touché par ses mots, tu secoues doucement de la tête. “ Ça va aller, j’t’promets et j’prendrai soin de moi aussi par contre, j’dirai pas à non à ta cuisine, elle doit être meilleure que la mienne. ” De toute façon c’est connu ; tu peux couper des aliments, préparer l’apéro mais il vaut mieux pas que tu touches à la plaque au risque de foutre le feu dans la cuisine ou de brûler tous les plats. Tu n’as pas les compétences nécessaires et en plus tu es un être maladroit qui a tendance à avoir la tête ailleurs. En effet, tous ces défauts ne font pas bon ménage avec l’art culinaire. Si elle accepte de te préparer des plats, tu ferais en sorte de lui rendre la pareille d’une autre manière. Vous êtes ainsi faits tous les deux ; vous n’aimez pas vous sentir redevables. Tu n’es pas le seul à courir partout. Elle fait la même chose et ça, ça te fait lever les yeux au ciel. “ J’vais t’rendre ton conseil, ménage toi, t’as besoin d’repos toi aussi d’ailleurs, ça t’plait, d’bosser comme assistante ? ” Toi, tu adores ton travail de thanatopracteur et tu changeras cela pour rien au monde mais qu’en est-il de ton amie ? Adore-t-elle son emploi ? Tu sais pertinemment bien que le contraire la rendrait que plus malheureuse et davantage fatiguée. Tu es soucieux de son bien être et tu te demandes soudainement si ses états d’âme ne sont pas liés à son activité professionnelle ?
Tu arrêtes d’y penser un instant pour lui sourire de toutes tes dents. “ Et bien, on est masos tous les deux alors ! ” Tu souris oui mais au fond, tu te sens mal. Passablement irrité aussi. Elle n’a pas le droit de se rabaisser ainsi et de continuer à mettre seulement ses défauts sous les projecteurs. Selon toi, elle a tout pour plaire. Tout pour qu’on tombe amoureux d’elle. Elle a des côtés sombres tu en es conscient mais qui ne l’a pas ? Vous n’êtes pas parfaits, personne ne l’est sinon, ce serait tellement ennuyeux. “ Aie un peu plus confiance dans le genre humain. D’autres personnes comme moi existent sur cette terre et ils seront capables de voir à quel point tu es formidable et t’aimer autant que je t’aime. ” Oui tu l’aimes. Beaucoup. Et tu te sens minable de lui cacher ton implication dans le monde de la drogue. Le pire ? Tu sais qu’elle ne te jugera pas. Elle s’inquiéterait pour toi. Elle ne serait pas heureuse d’une telle décision mais elle ne jouerait pas les moralisatrices non plus. Tu la connais si bien pour deviner sa réaction. Là, tu décides de tout lui révéler. Peut-être pas ce soir, pas tout de suite mais tu le feras, c’est certain. Une révélation à la fois et pour le moment, tu préfères t’ouvrir sur le sujet de ton patron. Tu te rends compte d’ailleurs que tu ressens une pointe d’embarras quand tu l’évoque. Tu as peut-être un peu trop craqué pour lui. “ J’sais pas s’il a quelque chose de spécial mais j’adore comment il m’regarde. J'adore ce qu’il m’fait sentir quand j’suis avec lui ou quand j’pense à lui. Il m’impressionne aussi, peut-être dû à la différence d’âge entre nous ou juste sa façon d’être. Mystérieux. J’sais pas, trop ce qui m’attire en lui en fait. Il est beau ah ça oui mais y a pas que ça, c’est pas juste physique t’vois ? C’est plus, beaucoup plus. ” Tu deviens bavard au simple fait d’évoquer le sujet Ulysse. Et là tout de suite, tu ressens une envie subite d’aller le voir. Tu te calmes en buvant deux grosses gorgées de ton verre. Tu es bien avec ton amie et jamais tu la quitteras pour être avec homme même s’il te plait comme personne. Tu trouves d’ailleurs judicieux de changer de conversation. Tu ressens une certaine excitation de parler d’Ulysse mais aussi de la musique. Ca vous fait vibrer ton amie et toi. Cela dit, c’était le point de départ de votre relation. Tu te rappelles de votre première rencontre. T’avais vu sa basse et directement, tu es allé converser avec elle. Tu l’avais ensuite invité dans ton antre où se repose dignement ton impressionnante collection de vinyles, ta fierté. Tu as vu la passion dans son regard. Elle était similaire à la tienne. Elle a le même regard là et tu aimes ça. Tu aimes voir un voile pétillant dans ses billes bleues. Tu l’écoutes sans l’interrompre. Tu interagis en acquiesçant de la tête ou en formant un “oh” de tes lippes. Quand les siennes se scellent, les tiennes prennent la parole. “ J’ne sais plus par quoi commencer ! Bon, premièrement oui, on pourra parler plus tard ou un autre jour si tu le souhaites. J’serai toujours là pour toi et j’sais que t’le seras pour moi. Deuxièmement, bébé, tu es à New York ! New York ! ” Tu as un peu haussé la voix ce qui te vaut quelques regards agacés de quelques clients. Tu n’en fais pas attention mais tu reprends d’une voix plus basse. “ Tu es dans une ville où l’impossible n’existe pas. Qu’est ce qui t’empêche de former ton propre groupe ? Tu es douée et tu es bassiste ! Ca n’court pas les rues les bassistes et t’le sais. ” Tu t’arrête un petit instant pour reprendre ta respiration, verre à la main. “ A moins que t’n’désires recommencer avec eux ? A mon avis, leur bassiste prend pas trop le groupe au sérieux. Certes c’est important d’avoir une vie à côté mais le groupe, n’est pas une priorité pour lui. Enfin, j’connais pas l’gars peut-être que j’me trompe mais j’pense pas pas. J’ai l’flair pour c’genre de trucs” Tu hausses les épaules. “ Qu’est-ce qui s’est passé après le concert ? T’les connais personnellement ? Ils ont fermé les yeux sur les agissements de leur bassiste ? Parce que, j’mettrai ma main à couper qu’il refera le coup, c’est certain. ” Sur ces belles paroles, tu finis ton verre et tu fais un signe vers le barman pour vous en apporter d'autres. Tu ne comptes pas raccourcir votre soirée, vous avez encore beaucoup de choses à vous dire.
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« Morgane A. Jordison »
•• élève à columbia
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•• Date d'arrivée : 04/08/2023
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•• Faceclaim : Victoria De Angelis
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•• Âge : 24
•• Nationalité(s) : américaine
•• Statut marital : célibataire
•• Orientation sexuelle : les deux sexes
•• Métier / études : Etudiante en communication // Assistante sur le Cupidon Show // Assistante de production musicale chez Exit
Le petit plus Triggers: Rien de bien particulier Warnings: Maltraitance infantile, tentative de suicide, sexe libre, phobies Pronoms IRL: Elle Pseudo: Marlenaskin Pseudo discord: marlenaskin Multicomptes: Phoenix ( D. David ) ++ Micah ( F. Allan ) ++ Ava ( Y. Shelbia ) ++ Alessandro ( M. Huisman ) ++ Cassandra ( D. Cassel ) ++ Mina ( A. Arjona ) Habitude rp: 1ère personne du singulier - Entre 500 et 1800 mots Couleur rp: Disponibilité rp: Archi Full {7/3}
Morgane A. Jordison
Sam 4 Nov - 16:20
Gonna drink away all my feelings
« Priam & Morgane »
J’ai appris à cuisiner lorsque j’avais 12 ans. Je n’avais pas d’autres choix que de savoir faire un plat pas trop mauvais. Mon père étant alcoolisé dès le lever jusqu’au coucher, si je voulais manger quelque chose de potable, je devais devenir capable de faire chauffer, de cuire, de couper et surtout d’assembler le peu de chose qui restait dans le frigo et dans les armoires. Alors non, je ne suis pas la meilleure des cuisinières, quelquefois mes associations ne plaisent qu’à moi pour deux aliments, mais rarement mes invités ne se sont plaint. Il faut dire qu’avec le temps et l’expérience, j’ai acquis des qualités que je ne me soupçonnais pas du tout en débutant ! Et puis, que ne ferais-je pas pour Priam ? Il a toujours été là pour moi, même s’il croulait sous le travail, même s’il devait décommander un rendez-vous intéressant, il a toujours été là. Il ne suffit de voir ce soir ! Crevé, sortant tout droit de son taf, il est venu boire ce verre en ma compagnie. Je sais que, quoiqu’il arrive sur terre, même la plus grosse catastrophe naturelle, on se retrouverait et on s’aiderait. Là, c’est moi qui ait appelé à l’aide, mais le jour où lui aurait besoin de moi, je serais aussi là. Je pourrais tout lâcher pour lui. Il est ma famille, mon meilleur ami et mon pilier depuis que je l’ai rencontré. Il est mon tout comme j’aime l’appeler. Je sourie à sa réponse et je lui réponds « T’as intérêt à prendre soin de toi où je viendrai te tirer les oreilles. Mais promis, au minimum deux fois par semaine, je te ferai de bons petits plats ! Peut-être plus si mon emploi du temps le permet ! » Je lui fais un sourire encore plus large, il doit savoir que je tenterai d’en faire le plus possible. Histoire qu’il mange correctement, qu’il ne doive jamais se prendre la tête pour un repas et surtout qu’il évite le plus possible la malbouffe, qui est certe très agréable à manger, mais pas très bonne pour notre ligne et notre santé ! « Promis, je vais aussi prendre soin de moi. Sinon je te permets de me mettre la fessée ! » Et je rigole. Non, il n’y a jamais eue aucune ambiguïté entre nous deux. Jamais je ne l’ai vu comme un petit ami potentiel. Attention, il est séduisant, intelligent et il est tout ce que j’aime, mais non, ça a été une sorte de coup de foudre platonique. Je ne sais pas expliquer ce que je ressens pour Priam, mais je sais que sans lui je ne pourrais jamais avancer de la sorte. Mais je lui réponds ensuite au sujet de mes places d’assistantes. Oui, au pluriel ! « Ça dépend les jours. Il y a des choses super intéressantes à apprendre. Mais il y a des jours où je me dis que j’aurais mieux à faire que de faire le larbin pour les autres ! Mais bon, tu me connais, quand je me lève du mauvais pied, y a quasiment rien qui me va ! » Et je rigole un peu car ça m’arrive plus souvent que je ne pourrais l’avouer ! Mais je le regarde et je finis par demander « Par contre, j’ai une question, t’es pas obligé d’y répondre hein mais … » Je fais une petite moue en pinçant mes deux lèvres l’une contre l’autre, puis je me lance « Il me semble que tu as vraiment pas mal d’argent pour le moment et que tu as moins de temps qu’avant ? Tu … Enfin tu fais pas de conneries hein ? » Je ne penserais pas à la drogue à vrai dire, mais il pourrait faire le coursier pour des gens pas recommandables ou être accroc aux jeux d’argent. On gagne toujours au début non ? En gros, je m’inquiète pour lui et je ne peux pas garder ma question pour moi. S’il ne compte rien me dire, je l’accepterai contre sa promesse de toujours me dire si ça ne va pas et que je peux l’aider d’une quelconque manière. Je ne le jugerai jamais, mais je n’accepterai jamais non plus qu’il ait croulé sans me le dire !
Je rigole quand il me dit qu’on est maso tous les deux alors ! Je me grandis comme si il venait de me complimenter. Mais il ne s’arrête pas et me gronde légèrement. Je me sens comme une adolescente mal dans sa peau qu’on tente de remonter le plus possible pour qu’elle ne fasse pas de bêtises. Mais ce n’est pas spécialement dans le genre humain que je n’ai pas confiance, c’est en moi-même. Mon paternel m’a tellement brisée, pas que physiquement, que je ne sais pas qui aura la patience et l’envie d’aller plus loin que mes tenues bien trop aguicheuses et que mon maquillage beaucoup trop excentrique. Mais qui sait, je ne ferme pas la porte à l’amour. J’aimerais tellement me sentir aimée et acceptée. L’avenir me dira lequel de nous deux à raison ! Je pose ma main sur mon front comme un soldat le ferait puis je lui réponds sous le ton de la taquinerie « Oui, chef, bien chef ! » Et je rigole ! Je n’aime pas parler de mes doutes, donc je passe à autre chose, surtout qu’il y a un sujet bien plus amusant qui est sur le tapis. Un gars spécial pour Priam et qui semble lui faire tourner la tête plus qu’il ne veut bien me l’avouer. Tout en écoutant parler de ce fameux inconnu, j’ai un sourire attendri qui naît sur mes lèvres. C’est la première fois que j’entends mon ami parler ainsi de quelqu’un. C’est la première fois que je le vois être aussi emballé à cette évocation, j’ai même l’impression que ses joues rosissent et que ses mains tremblent légèrement. Il semble vouloir me cacher, ou se cacher, à quel point ce type est important, mais je ne suis pas dupe. Je lui demande alors, car je ne veux pas aussi vite changer de sujet « Ça fait longtemps que tu le connais ? Et quand tu parles de différence d’âge, me dit pas qu’il a 70 ans… Je suis contente de te voir ainsi, Pri ! Tu sembles être vraiment “ intéressé “ par lui ! D’ailleurs je ne vais pas dire cet homme ou lui pendant des jours, c’est quoi son prénom à ton fameux mec mystérieux et si envoûtant ! » Je suis contente pour lui car il mérite le meilleur. Alors si un homme, une femme ou qui que ce soit le rend aussi souriant, je ne peux que m’en réjouir. L’important pour moi, c’est son bonheur !
Mais nous en arrivons à la musique, enfin avec un petit interlude sur son inquiétude à mon sujet dûe à la précipitation de cette soirée ! Je ne veux pas parler maintenant de ma peur, de ce geste déplacé d’un gars, de mon blocage ni même de mon père. J’ai envie de passer une bonne soirée, d’oublier et surtout d’avancer pour passer à autre chose. Et là, je l’écoute. Enfin pas que moi, car il s’emballe et toutes les tables à côté semblent être exaspérées par nos cris, nos rires bien trop sonores et là, la manière de nouveau théâtrale dont parle le jeune homme. Je les regarde d’un regard noir, ils ont qu’à rester chez eux si le bruit les dérange ! Et voilà qu’il continue, sur un ton plus bas, sur sa lancée. Tu sais déjà tout ce qu’il dit, mais il a raison sur un point ! J’attends qu’il ait fini puis je lui réponds « Tu as vu totalement juste, c’est avec eux que j’ai envie de continuer ! Ce que j’ai ressenti quand j’étais sur scène, c’était incroyable ! On était en osmose totale, on se complétait, on se comprenait juste par nos notes. » Je m’emporte moi aussi parlant un peu trop fort, mais c’est encore l'excitation du moment qui me prend avec elle « Les gens hurlaient dans la salle, la musique était si simple, si belle ! Et puis ces cris ! Je crois que je n’ai jamais vécu quelque chose d’aussi intense. Putain, même le sexe a moins de saveur que ça ! » Et là, je crois que j’ai même choqué la dame à côté de moi. Je me tourne vers elle et je finis par lui dire « Quoi ? Ca vous gêne que je parle de sexe aussi librement ? » Elle semble outrée, elle se lève et moi, j’ai un rire avant de dire à Priam pour continuer notre conversation « Sinon oui, je les connais depuis le lycée. Et après le concert, à part la douche, je ne me suis pas mêlée de leurs histoires. Comment je ferais pour être plus présente entre mes cours et les deux boulots. Pourtant, j’en rêve ! Mais … Enfin si je remonte sur scène, j’espère que tu seras là. » J’ai encore plein d’étoiles dans les yeux quand je repense à ce moment sur scène. J’aimerais tellement le partager avec lui. Et d’ailleurs, peut être qu’un jour, il aura un vinyle où je jouerai dans sa collection. Il a déjà bien ceux de mon paternel, d’ailleurs même ma famille ne sait pas qui était ce type que j’ai tué pour me protéger. Ils ne savent pas, contrairement à lui, comment j’ai été détestée d’avoir fait disparaître un homme avec autant de talent que mon paternel ! C’est vous dire comme le succès peut tout vous passer !
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« Priam Santantonio »
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•• Statut marital : les cloisons vers ta couche restent à jamais accessibles. papillonnant d’une chair à une autre avec une facilité impalpable. l’union romantique n’a nulle place dans ton existence du moins jusqu'au jour où tu as gouté à la chair prohibée. là, tu n'arrives plus à le sortir de ta tête même s'il n'est pas accessible. ton patron, ulysse.
•• Orientation sexuelle : les allégresses féminines félines et graciles mais aussi d’autres enveloppes beaucoup plus imposantes et viriles; la bisexualité embrassée sans crainte et sans honte du moins, c’est ce que tu prétends. la certitude s’évapore petit à petit donnant naissance à des questionnements muets et accablants
•• Métier / études : étudiant en soins infirmiers, 5ème année. artiste, enluminant la réalité des êtres disparu.es. d’un coup de baguette magique, tu transformes leur damnation organique en une toile de beauté mirifique. illusoire. thanatopracteurpendant les week-end, la journée, le soir tu mets ta pèlerine de crapule invétéré en devenant un dealeur destructeur et vaniteux
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Le petit plus Triggers: les personnages trop cringe, mary-sue, violence contre les animaux Warnings: auto-mutilation, drogue, homophobie, sexe, violence Pronoms IRL: elle, she, her Pseudo: magma. Pseudo discord: sur demande Multicomptes: elias, dae, joakim & sade Habitude rp: je rp en tu, je fais au minimum 500 mote et je peux atteindre les 2000, je rp selon l'inspi Couleur rp: #cc0000 Disponibilité rp: pas disponible
Priam Santantonio
Sam 11 Nov - 15:57
A journey through lightning ending now A song made of light spreading around
Tu as toujours rêvé d’avoir un plat “cuisiné à la maison”. Quand t’étais plus jeune, ta mère n’entrait presque jamais en cuisine. Elle était parfaite ta mère. Du moins, elle a toujours été là pour toi, elle t’avait accepté comme tu es. Elle était douée dans plusieurs domaines excepté l’art culinaire. Depuis tout jeune, tu as appris à acheter à manger. Tu ne prenais pas de hamburgers ou de malbouffe. Tu choisissais toujours des plats déjà préparés que tu pouvais réchauffer. En grandissant, tu as ajouté des menus salades. Ah, tu connais toutes les salades du monde entier ! Aujourd’hui par exemple, tu en as pris une, avec des avocats, des tomates, des épices et du riz que tu as mangés dans le bureau après avoir terminé de maquiller ton client. Alors, quand ton amie te fait la promesse de te préparer des bons petits plats comme elle le dit, tu te sens privilégié et sur un piédestal. “ J’mangerai tout ce que tu feras ! Je suis pas pointilleux moi tant qu’il y a des légumes dedans. ” Tu n’es pas végétarien mais tu prends soin de toi et de ta santé. La preuve, tu n’as aucun kilo en trop et ton corps ne souffre d’aucune carence. Quand elle parle de fessée, tu te mets à rire. Maintenant que t’y penses, il n’y a jamais eu d'ambiguïté entre vous. Il faut pas se méprendre, Morgane est une très jolie femme. Trop. Une envie sexuelle aurait pu voir le jour mais tu t’es retenu. Tu sais que si tu l’avais dragué, si quelque chose s’était passé entre vous, vous n'auriez pas cette alchimie ensemble. Vous ne serez pas des âmes sœurs amicales. Morgane, tu ne voulais pas la perdre pour une partie de jambes en l’air sans lendemain. Et tu te félicites de l’avoir à tes côtés, ton amie la plus chère à ton cœur. Ta bouée de sauvetage. Tu sais pouvoir compter sur elle et elle sait pouvoir compter sur toi. Il y a aucun égoïsme dans votre relation et c’est ce qui fait la beauté de vos rapports. Tu peux parler de tout avec elle et elle te le rend bien en se plaignant passablement de son travail. Tu lèves les yeux au ciel quand elle se décrit de larbin. Ca t’horripile qu’on puisse la traiter de la sorte. “ Mais quels connards ! On est en 2023 et ils utilisent toujours les assistantes pour faire tout et n’importe quoi ? Tu prépares le café aussi pour ces imbéciles ? ” Le pire dans tout ça ? Tu sais qu’elle est mieux qualifiée qu’eux. Elle est douée en musique, très douée même. Elle pourrait faire un travail remarquable si elle était à leur place, tu en es certain.
Heureusement que tu n’as pas bu une gorgée de ton verre sinon, t’aurais sûrement recraché le contenu de ta bouche ; elle t’a pris au dépourvu en parlant d’argent. Ou plutôt, de la provenance de ton argent. Tu écarquilles les yeux d’ailleurs. Elle est … perspicace. Mais toi, tu as déjà préparé des réponses à ces questions, peu importe la personne qui la posera. “ J’t’ai peut-être jamais parlé de ça mais … Avant son arrestation, mon père a mis un compte à mon nom. Ça m'a aidé à payer mes études et payer plusieurs de mes dépenses. ” En soit, ce n’est pas tout à fait un mensonge. Ce compte existe réellement mais tu ne l’as jamais touché. Ton père est un sujet assez sensible et tu n’es pas sûr d’en avoir déjà parlé à Morgane. Tu essaies de le fuir comme de la peste. De parler de tout et de rien pour ne pas l’évoquer. Tu lui en veux toujours quand bien même, tu comptes aller le voir cette semaine. Tu te sens soudainement gêné et nerveux à l’idée de cette rencontre. Tu ne l'as pas vu depuis plus de dix ans. Il ne connaît rien de toi et t'ignore s’il sait à quoi tu ressembles maintenant. Ca parle d’Ulysse et soudainement, tu te sens mieux. Tu préfères cette émotion ; l’excitation qui martèle ton corps entier au simple fait de te rappeler tout ce que vous avez fait lors de cette vente aux enchères. Ton amie n’est pas rassasiée, ce qui t’enchante réellement. “ Mais non pas si vieux, il a 33 je crois ? En même temps, j’suis jamais sorti avec des gens de mon âge qui ne pensent qu’à faire la fête et boire comme des trous. ” Tu fais une petite grimace désapprobatrice. Malgré tes vingt deux ans, tu sors rarement. Tu préfères passer ton temps libre à bricoler des petits objets ou à soigner les maux de quelques engins électroniques. “ Il s’appelle Ulysse. Même son nom est sexy ! Mais oui, j’suis vraiment intéressé par lui du coup, on verra où ça nous mènera. ” Tu espères que ça vous mènera loin mais tu en doutes. Ulysse est un électron libre et toi aussi. Toi, tant qu’il reste dans ta vie, tu n’en demandes pas plus. Tu n’es pas prêt pour plus. L’excitation que tu ressens est transmise à ton amie. Ce n’est pas pour les mêmes raisons mais elle est si palpable qu’elle vous rend si bruyants. Les gens à vos côtés ont différentes réactions ; Certains sourient, appréciant votre engouement, d’autres roulent des yeux ou s’offusquent quand ton amie parle de sexe. Ces prudes. Y en a même qui se lève indignée. “ Wow ! on est en 2023 et y en a encore qui pensent que parler d’sexe est tabou ? ” Bien sûr, tu parles d’une voix plus élevée. Tu veux qu’elle t’entende elle, et tous les individus coincés du cul qui lui ressemblent. Tu les ignores et tu te focalises sur ta blonde. “ Chérie, c’est ton rêve de monter sur scène. Entre revivre cette expérience et aller à ton job, tu choisis quoi ? ” Sa réponse, tu la connais. Tu veux juste qu’elle prenne conscience de l’amour incommensurable qu’elle a pour la musique. “ J’comprends que t’ne désire pas te mêler à leurs affaires mais … tu n’es pas leur bouche trou non plus. ” Tu tends la lèvre inférieure, faisant une petite moue enfantine. “ Ce serait bien si tu essaies d’en savoir plus sur la situation avec leur bassiste. Comme ça, tu sauras s’il y a une chance que tu montes sur scène avec eux ou si … voilà. ” Tu te détestes de jouer les rabat-joie. Mais tu refuses de voir ton amie triste. Tu veux que tous ses rêves soient exaucés et maintenant qu’elle a gouté au plaisir d’être sur scène, elle aura envie de plus. Beaucoup plus. Tu prends sa main dans la tienne, la serrant doucement. “ J’lâcherai tout pour venir t’voir qu’est ce que tu crois ! T’me dis la date et l’heure et j’serai là. ” Ton champ de vision est captivé par une silhouette. Celle de la dame si prude qu’elle est allé voir le manager. Probablement pour vous dénoncer ? A ce que tu saches, il y a aucune règle qui interdit les discussions. Tu fronces les sourcils, tu n’aimes pas les emmerdeurs.
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L’alcool faisait rage. Les verres s’enchainaient. Une. Deux. Trois. Les shoots de tequila glissèrent dans les gossiers d’un groupe d’hommes. Ils fêtaient dignement le futur mariage du plus petit en taille de la bande. Un enterrement de vie de jeune garçon. Celui de Jordan. Voila ce que c’était pour eux. Faire picoler leur pote car ils savaient quel caractère avait la futur femme de Jordan. Le genre de femme qui fait rayer de la liste les soirées entre hommes et encore plus l’alcool. Alors forcément, ils en profitaient. Ils n’avaient aucune limite. Que ça soit en termes d’argent que d’alcool. Les classiques tombèrent. Tequila. Rhum. Vodka. Whisky. Tout était bon à boire. Ils étaient arrivés à l’ouverture du bar et ils comptaient en faire la fermeture. Si au début, ils étaient une quinzaine plus les heures n’avançaient plus le groupe diminuait. Quinze ils sont passés à dix. Puis de dix à cinq hommes. Les plus robustes. Les plus relous. Ceux qui n’avaient pas l’alcool bons. Et Jordan qui était au milieu de tout ça. Ils étaient tous bien éméchés. Et ils cherchèrent quoi faire de leurs soirées. Boire c’était bien mais ils voulaient du piment à leur soirée. C’est comme ça que l’idée d’une stripteaseuse arriva dans l’esprit d’un homme. Il était fier de son coup. Et il voulait que son pote touche une autre femme avant qu’il ne se fasse mettre la corde autour du cou. Jonas n’avait jamais compris ceux qui se mariaient. Pourquoi se marier alors qu’il y avait toutes les femmes avec qui il pourrait s’envoyer en l’air ? Oui. Jonas était sur de lui. Un véritable con. C’est lorsqu’il alla chercher une nouvelle tournée qu’il entendis deux amis ( @Morgane A. Jordison et @Priam Santantonio ) dire qu’elle était musicienne et parler de sexe librement. Absolument parfait ! Ni une ni deux, il parti vers ses potes. « Les mecs j’ai trouvé notre salope pour la soirée ! » Ils rigolaient tous sauf Jordan. Même s’il adorait ses potes, pour lui les femmes devaient être respectés. Il n’était pas du tout macho. Pas comme Jonas. Ce dernier parti rapidement vers Morgane pour se poster devant elle. Il se fichait totalement de la couper de sa conversation avec son copain. Lui son intérêt était totalement ailleurs. « Poulette j’ai entendu que tu étais musicienne. Tu vois mes potes là-bas ? » Il leur montra d’un signe de main ses potes à une table éloigné de la leur. « Celui qui a un tee-shirt rose va se marié. Et il sera super content que tu lui chantes une petite chanson ou deux. » Un sourire mesquin étira ses lèvres. « Et on ne dirait pas non à un petit show en chanson. T’es vachement bonne poulette et on veut voir ce qui se cache en dessous de tes vêtements. » D’un naturel franc et totalement bourré, il porta une main sur l’épaule de @Morgane A. Jordison . « On peut même aller aux toilettes avant d’aller faire ton show. Je suis sur que ta bouche sait faire autre chose que de parler ou de chanter. » Car Jonas était comme ça. Un véritable con sobre et un véritable connard bourré. Et très souvent ses soirées se finissaient toujours de la même façon : en bagarre générale et au poste de commissariat.
« Morgane A. Jordison »
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•• Orientation sexuelle : les deux sexes
•• Métier / études : Etudiante en communication // Assistante sur le Cupidon Show // Assistante de production musicale chez Exit
Le petit plus Triggers: Rien de bien particulier Warnings: Maltraitance infantile, tentative de suicide, sexe libre, phobies Pronoms IRL: Elle Pseudo: Marlenaskin Pseudo discord: marlenaskin Multicomptes: Phoenix ( D. David ) ++ Micah ( F. Allan ) ++ Ava ( Y. Shelbia ) ++ Alessandro ( M. Huisman ) ++ Cassandra ( D. Cassel ) ++ Mina ( A. Arjona ) Habitude rp: 1ère personne du singulier - Entre 500 et 1800 mots Couleur rp: Disponibilité rp: Archi Full {7/3}
Morgane A. Jordison
Mer 13 Déc - 18:23
Gonna drink away all my feelings
« Priam & Morgane »
On dit souvent que l’être humain ne se sent bien que dans des situations qu’il connaît ! Alors faire à manger pour quelqu’un, lui faire plaisir, tout faire pour le satisfaire est une chose qui m’a marquée et que je connais particulièrement bien. J’ai appris à faire cuire un oeuf alors que j’avais sept ans. J’ai préparé ma première viande et mes premiers légumes frais, j’avais onze et je n’ai jamais arrêté. Quand mon père revenait le soir de ses répétitions ou le matin en se levant, il devait avoir à manger sur la table. Tout devait être prêt et il était hors de question que je ne manque un jour. Alors je ne sais pas, même si ce ne sont pas toujours de bons souvenirs, le fait de faire à manger à Priam pourrait tout changer. Pourrait faire d’un souvenir douloureux quelque chose d’agréable. Car il est toujours agréable de voir le sourire sur le visage d’une personne qu’on aime, non ? Et puis que ne ferais-je pas pour mon ami ? Je crois, non, je suis certaine, que je pourrais même donner ma vie pour lui. Il n’imagine pas à quel point il est important pour moi. Avant Priam, je n’avais jamais rencontré quelqu’un qui avait pris autant de place pour moi. On s’est tout de suite trouvé comme un coup de foudre amical qui ne nous a plus lâché depuis le premier regard. « C’est noté, plus de légumes qu’autre chose ! Demain, tu auras ta première commande en revenant au soir, dans le frigo ! » Et je lui fais un clin d’oeil pour terminer ma phrase. Amusée ! Je sais déjà ce que je vais faire, je vais aller chercher tout ce qu’il me faut tout à l’heure, histoire de lui faire un couscous maison. Et si les autres sont gentils, peut-être, j’ai bien dit peut-être, pourront-ils goûter au plat que j’aurai préparé tout spécialement pour le jeune homme en face de moi. Pourquoi je l’aime tant ? C’est simple, même si ça a toujours été facile entre vous, il ne m’a jamais jugée. Ce n’est pas tous les jours qu’on rencontre son double, son pilier, un être tellement bon et tellement gentil qu’on peut lui faire presque immédiatement confiance. Je lui ai tout dit sur moi. Il est le seul à savoir qui est mon paternel, qu’il est connu et tout le toutim, il est le seul à connaître mes moments de doutes, mes tentatives de suicide, mes fous rires, mes rêves, mes ambitions. Je lui fais totalement confiance et il sait qu’il en est de même pour lui. Il peut me faire totalement confiance ! Je rigole légèrement quand il s’insurge sur le fait que je doive faire du café et toutes les autres tâches qui incombent aux assistants. Je le regarde et je finis par lui dire sincèrement « Attends, oui, je dois aller chercher les cafés et les sandwichs, je dois faire les photocopies et classer les dossiers mais pas que ça. Quand je tombe sur des gens qui aiment leur métier, souvent, je peux aussi apprendre plein de choses que ce soit sur l’arrière de la caméra en télévision ou sur le studio d’enregistrement, comment gérer une contrat avec une maison de disque, les erreurs à ne jamais faire. Tu sais, je prends tout, les bons et les mauvais côtés, même si je râle beaucoup ! » Il me connaît assez pour savoir que j’ai un véritable amour pour les râleries. J’aime râler sur tout, c’est plus fort que moi !
Je vois directement qu’il ne se sent pas superbement bien à ma question sur son argent, mais même si je m’inquiète pour lui, je ne dis rien. Je fais semblant de le croire et je lui dis « Ok, ok, je te promets plus de questions gênantes pour ce soir ! » D’ailleurs, je change vite de sujet, parce que je ne veux nullement le mettre mal à l’aise et je parle de ce gars qui lui fait tourner la tête. Première fois que je l’entends parler ainsi de quelqu’un d’ailleurs ! Quand il m’en parle, je vois des petites étoiles dans son regard et je pourrais même presque sentir les papillons qu’il doit avoir dans le ventre. Mon Dieu que c’est cliché ! Mais c’est vraiment ce qu’il semble ressentir. Ca me touche énormément. Je fais une petite moue surtout amusée et je lui dis « Trente-trois, ça va ! Il a pas encore les cheveux grisonnants et les rides trop marquées ! » Bien sûr que je dis cela juste pour l’ennuyer un peu ! Tu rajoutes ensuite « Ulysse, tel le roi d'Ithaque ! Tu as raison c’est sexy, je suppose qu’il est aussi sexy que son prénom vu tes joues rouges ! » Mais quand il me dit qu’il va voir où ça le mènera, je fais une petite moue toute triste, pas sûre du tout « Priam, s’il te plait, tu dois tout faire pour avoir le tout ! C’est la toute première fois que je te sens ainsi intéressé par quelqu’un, putain, t’es hyper sexy, t’es beau et tu as du charisme…. Il peut pas faire autrement que de craquer, sauf s’il est hétéro à cent pour cent et encore là, … Pas sûre qu’il ne craque pas ! Et puis, qui ne tente rien n’a rien ! » Ok, c’est fais ce que je dis et pas ce que je fais, c’est plus fort que moi. Je pense plus en lui qu’en moi et je vois bien que ce fameux Ulysse lui fait tourner la tête. Il doit être aussi super intelligent et avoir une fameuse culture, sinon il ne plairait pas à mon ami. Pour une fois qu’il s’intéresse vraiment à quelqu’un ça doit être quelqu’un d’exceptionnel. Par contre, pour la suite, il a raison, quand on se met à parler de sexe, on est vraiment tombé sur des culs serrés qui s’offusquent de nous entendre en parler si ouvertement. Où est le problème ? On est deux jeunes gens qui se sentent bien dans leur corps et dans leur sexualité, c’est beau non ? Je rigole à sa question et je lui réponds assez doucement, pour que seul lui t’entende « Mais chaton, tout le monde ne peut pas être aussi libre que nous deux ! Il y a des gens qui n’ont jamais pris de plaisir, soit plutôt triste pour eux ! » Et je rigole avant que nous ne changions encore une fois de sujet !
Le prochain sujet est le concert que tu as vécu et qui était totalement fou. Celui que tu n’oublieras jamais et qui a été meilleur pour toi que toutes les nuits que tu as passées avec tes multiples partenaires. Et oui, je préfère la musique à tout le reste, c’est plus fort que moi ! Mais à sa première question la réponse sort toute seul « La musique, je choisirai toujours la musique, les concerts, rien d’autre n’est plus important dans la vie pour moi que la musique, tu le sais très bien ! » Mais quand il parle de savoir si jamais ça pourrait le faire par la suite, je le regarde dans les yeux et il peut y lire une promesse silencieuse, je vais le faire. Mais je préfère réellement ne pas le dire à haute voix car ça va devenir trop réel et je pourrais sincèrement être déçue si y a pas possibilité ! Donc je le ferai, je le promets, mais je ne force rien ! Mais là, alors qu’il me dit qu’il lâcherait tout pour venir me voir, d’un coup, je n’ai pas le temps de lui répondre que la suite change de tout au tout. Il y a un type totalement éméché qui arrive et se plante devant moi avec un sourire qui ne me dit rien qui vaille. Il commence simplement, en disant avoir entendu que j’étais musicienne, puis me montre son pote que je regarde derrière lui qui va se marier. Je jette un regard à Priam au moment où le type vient poser sa main sur mon épaule et commence son spitch sur le fait que ma bouche serait faire bien autre chose que de parler. Je prends une grande respiration et je me lève alors pour lui dire, les yeux dans les yeux. Enfin autant que je le peux, vu que je suis bien plus petite et menue que lui « Déjà, je ne suis pas ta poulette. Ensuite, tu tires ta putain de main de mon épaule… Et finalement, … » Je déglutis difficilement, mais hors de question d’être la victime, la petite fille apeurée, alors ma main se poser sur son torse et descend vers son service trois pièces qui ne lui servira à rien aujourd’hui et je serre de toutes mes forces jusqu’à le voir devenir rouge de douleur « … tu vois, y a pas que ma bouche qui sait faire plein de choses ! » Je le lâche quand il attrape a chevelure pour la tirer et me force à arrêter ma pression sur son entrejambes sûrement très douloureuse ! Il lâche mes cheveux en même temps, mais il y a plusieurs de ses potes qui semblent ne pas l’avoir pris bien et se sont levé à leur tour ! Je sens ma respiration qui devient difficile, je dis alors à mon ami « On ferait bien de se barrer, tu crois pas ? » Si ça dégénère, je risque bien de faire une autre crise de panique et c’est hors de question. Pourquoi on ne peut pas être une femme et dire ce qu’on désire sans se faire traiter de tous les noms d’oiseaux qui passent dans la bouche des gros machos qui se croient tout permis ?
