•• Statut marital : les cloisons vers ta couche restent à jamais accessibles. papillonnant d’une chair à une autre avec une facilité impalpable. l’union romantique n’a nulle place dans ton existence du moins jusqu'au jour où tu as gouté à la chair prohibée. là, tu n'arrives plus à le sortir de ta tête même s'il n'est pas accessible. ton patron, ulysse.
•• Orientation sexuelle : les allégresses féminines félines et graciles mais aussi d’autres enveloppes beaucoup plus imposantes et viriles; la bisexualité embrassée sans crainte et sans honte du moins, c’est ce que tu prétends. la certitude s’évapore petit à petit donnant naissance à des questionnements muets et accablants
•• Métier / études : étudiant en soins infirmiers, 5ème année. artiste, enluminant la réalité des êtres disparu.es. d’un coup de baguette magique, tu transformes leur damnation organique en une toile de beauté mirifique. illusoire. thanatopracteurpendant les week-end, la journée, le soir tu mets ta pèlerine de crapule invétéré en devenant un dealeur destructeur et vaniteux
•• Quartier d'habitation : liberty island dans une colocation.
Le petit plus Triggers: les personnages trop cringe, mary-sue, violence contre les animaux Warnings: auto-mutilation, drogue, homophobie, sexe, violence Pronoms IRL: elle, she, her Pseudo: magma. Pseudo discord: sur demande Multicomptes: elias, dae, joakim & sade Habitude rp: je rp en tu, je fais au minimum 500 mote et je peux atteindre les 2000, je rp selon l'inspi Couleur rp: #cc0000 Disponibilité rp: pas disponible
Priam Santantonio
Mer 24 Jan - 11:58
A journey through lightning ending now A song made of light spreading around
Demain, dans quelques heures, tu auras ton premier plat cuisiné par ta meilleure amie. Les lèvres étirées jusqu’aux oreilles, tu bondis sur elle pour poser un long baiser sur sa joue, lui témoignant toute ta reconnaissance. Tu attendras avec impatience mais pour le moment, tu profites de l’instant présent avec elle. Tu ne l’as pas vu depuis plus d’une semaine et mine de rien, vous avez beaucoup de sujets à rattraper. Un des sujets sur lequel tu es réellement curieux est son travail. Est-ce qu’on la malmène ? Est-ce qu’on la traite bien ? Connaissant la blonde, tu sais qu’elle se défendra très bien toute seule. Elle n’a besoin de personne pour imposer ses lois. Tu sais aussi qu’elle est pragmatique et ne fait rien gratuitement. Si elle prépare les cafés et achète les sandwichs, elle apprend beaucoup de choses derrière et cela te rassure. Tout au long de ses explications, tu hoche la tête délicatement, sans perdre une miette de ses mots. Finalement, tu éclates de rire à la fin de sa tirade. “ En effet, râler c’est ta marque de fabrique ! Mais j’suis content que t'apprenne des choses utiles. ” En réalité, tu croises les doigts pour qu’elle puisse vivre de sa passion la musique tout comme tu croises les doigts pour qu’elle devine pas ton malaise suite à sa question. Normalement, tu es doué dans les mensonges mais … face à elle, tu as du mal. Ton éthique de meilleur ami te l’interdit. Quand elle n’insiste pas et accepte volontiers que tu parles d’Ulysse directement, tu ressens comme une sorte d’apaisement mélangé avec de l’excitation. Et tes joues rouges en sont la preuve. Ton amie le relève et tu te sens soudainement timide en glissant tes mains sur tes joues non sans rire. Tu reprends ton calme aux premiers mots qu’elle susurre. Elle te demande d’aller jusqu’au bout des choses, de ne pas freiner peu importe les raisons. Doucement, tu lui souris, récupérant sa main dans la tienne. “ Il n’est pas hétéro, on a couché ensemble une fois. ” Et tu n’en gardes de bons souvenirs et c’est ça qui te donne envie d’aller vers lui. Tu as cette devise ; une fois mais pas deux. Tu ne couches avec la même personne qu’une seule et unique fois. Avec lui, tu pensais reproduire ce schéma habituel mais … tout ton esprit t’a contredit. Tu as envie de plus. Tu as envie de partager une fois de plus son lit. Tu veux tout savoir sur lui et cet état de curiosité frôlant l’obsession te fait peur. “ Tu sais le problème c’est pas lui, c’est moi. C’est la première fois que j’suis autant attiré par quelqu’un même après avoir couché avec lui. Et ça m’terrorise. C’est pour ça que j’ai dit que, voilà, j’verrai où tout ça nous mènera. ” Tu sais qu’il n’y a pas trente milles réponses à ce que tu vis. La seule solution est de continuer sur ta lancée. D’aller le chercher et voir s’il y aura de la place pour un potentiel “vous”. Un “vous” qui ne soit pas seulement sexuel. Le sexe, un sujet dans lequel tu es extrêmement à l’aise. En même temps, ta mère n’est autre que Gemma Santantonio, la femme la plus libre sexuellement parlant. Mais ton amie relève un point important qui te fait grimacer. “ Il y a des gens qui n’ont jamais connu l’orgasme ? C’est tragique. ”
Ce qui est tragique c’est de voir ton amie travailler en tant qu’assistante alors que sa place est sur la scène, à jouer de la musique. Sa musique. Le monde entier doit découvrir sa musique. Le monde entier doit voir à quel point elle est douée. Ca te tue Priam de voir des gens beaucoup moins talentueux qu’elle, arrivent au sommet. Que faut-il faire ? La réponse, vous la connaissez tous les deux. Elle doit prendre son courage à deux mains et interroger le groupe sur son avenir avec eux. Si leur réponse est négative, elle sera fixée et saura quoi faire après. Heureusement qu’elle semble approuver tes dires. Elle est remontée à bloc et cela te fait énormément plaisir. Pour le coup, tu finis ta bière et tu t’apprêtes à en commander d’autres pour célébrer la prise de position de ton amie. Mais non, cela ne se passe pas comme prévu. Un inconnu débarque à votre table. Si au début, tu as souris à ses mots, tes expressions ont rapidement pris une teinte moins enjouée et plus sombres. Ce gars cherche les emmerdes et dommage pour lui, il les a pas cherché au bon endroit. Tu es un jeune homme calme de nature. Avenant et souriant. Mais tu as aussi cet excès de colère en toi qui demeure indomptable. Pourtant, tu prends sur toi-même pour ne pas réagir tout de suite. Morgane est une jeune femme accomplie et elle n’a besoin de personne pour se protéger. Tu es un homme moderne, tu n’ouvriras pas une porte à une dame sous prétexte d’être un gentleman non. Les femmes sont tout aussi fortes et elles sont capables d’ouvrir toutes les portes qu’elles veulent alors oui, tu prends sur toi surtout qu’elle semble bien contrôler la situation. Du moins jusqu’au moment où le gars la tient par les cheveux. Là, tu n’arrives plus à rester en retrait. “ Hey connard lâche la tout de suite. ” Tu n’as pas remarqué que deux de ses amis se sont rapprochés. Tu essaies toujours de contenir la rage qui commence petit à petit à s’éveiller en toi. « On ferait bien de se barrer, tu crois pas ? » Tu vois le message. Si vous restez sur place, elle risque d’avoir une crise. Son état t’importe plus que tout le reste. Seulement … « Ah mais ? Weirdo c’est toi ? Putain mec tu tombe bien, mon pote se marie, file nous un peu de cam … » Le coup part si vite qu’on aurait cru à une hallucination. Putain de merde. Un des amis du connard est un de tes clients ! C’est le pire scénario qui puisse se produire. Tu n’as pas eu le temps de réfléchir à une solution, tu lui as directement décroché la mâchoire, un geste qui ne reste pas impuni. C’est à ton tour de recevoir une jolie droite de tu-ne-sais-trop-qui. Et bien sûr, ça ne te calme pas des masses, tu te jettes littéralement sur le premier qui se trouve sur ton chemin, l’assommant de coups jusqu’à ce que tu entends le mot “police”. Tu t’arrêtes brusquement et tu tournes la tête vers le propriétaire. Il a un téléphone à la main. Il te demande d’arrêter et de vous en aller. Tu te redresses, doucement, les mains en l’air. Deux gars de la sécurité ont rejoint la partie. C’est peut-être le moment de vous en aller, en effet. Tu tournes la tête, à la recherche de la blonde. Elle est là. Tout en essuyant le sang qui coule de ta lèvre, tu la rejoins. “ Morgane ça va ? T’es blessée quelque part ? ” Tu l'auscultes des yeux pour vérifier si tout va bien. @Morgane A. Jordison
_________________
┗ November Rain ┛
ஃ Days, gone by, Come back as the morning light. A colourless demise rises and the only shelter I used to know, is gone lost out of sight. ஃ
« Morgane A. Jordison »
•• élève à columbia
identity card
•• Date d'arrivée : 04/08/2023
•• Messages : 482
•• Dollars : 2071
•• Faceclaim : Victoria De Angelis
•• Les crédits : Moi ( Ava ) ++ Wiise ( signa ) ++ vicsdeangelis ( Gif profil & signa )
•• Âge : 24
•• Nationalité(s) : américaine
•• Statut marital : célibataire
•• Orientation sexuelle : les deux sexes
•• Métier / études : Etudiante en communication // Assistante sur le Cupidon Show // Assistante de production musicale chez Exit
Le petit plus Triggers: Rien de bien particulier Warnings: Maltraitance infantile, tentative de suicide, sexe libre, phobies Pronoms IRL: Elle Pseudo: Marlenaskin Pseudo discord: marlenaskin Multicomptes: Phoenix ( D. David ) ++ Micah ( F. Allan ) ++ Ava ( Y. Shelbia ) ++ Alessandro ( M. Huisman ) ++ Cassandra ( D. Cassel ) ++ Mina ( A. Arjona ) Habitude rp: 1ère personne du singulier - Entre 500 et 1800 mots Couleur rp: Disponibilité rp: Archi Full {7/3}
Morgane A. Jordison
Mer 7 Fév - 15:01
Gonna drink away all my feelings
« Priam & Morgane »
Quand j’étais adolescente, j’ai dû vite grandir, devenir une adulte responsable au contraire de mon père. Je devais faire à manger, payer les factures, régler peu à peu les dettes que mon père avait contractées, faire le ménage, cacher notre secret. Je n’ai pas connu les joies de l’adolescence comme tous les autres. Non, moi, j’étais bien trop occupée à pouvoir faire survivre ce qu’il restait de ma famille. Quand le drame est arrivé, quand j’ai débarqué chez les Parks, malgré tout l’amour qu’ils m’ont donné, il y a une chose qui m’a toujours fait défaut et qui a été, presque immédiatement, comblée par l’arrivée de Priam dans ma vie. Je ne devais plus simplement aller bosser pour payer mon loyer, je ne devais plus seulement avancer pour me construire enfin en tant qu’adulte. Non, avec Priam, je pouvais être moi, sans aucune restriction. Je pouvais être un instant cette ado qui ne pensait qu’à la musique et l’instant d’après être l’adulte qui prend peur pour une des personnes qui lui est le plus proche, son meilleur ami. Car oui, il est mon meilleur ami, mon pilier et surtout, il est le seul qui me connaît par coeur de la sorte. Il sait lire dans mes pensées, il peut me décrypter juste en me regardant dans les yeux. C’est impressionnant comme ce lien n’a pas pris longtemps à être construit ! Et là, plus d’une semaine sans se voir, c’est déjà trop pour moi, alors je suis contente qu’on ait pu se croiser, même si les raisons pour lesquelles je l’ai fait venir boire un verre ne sont pas réellement bonnes. Mais c’est comme ça !
Pour ce qui est de la musique, je bosse chaque jour pour réaliser mon rêve. Je sais que je vais y arriver, je sais que je vais pouvoir vivre de ma musique, mais ça prend du temps. Dire que cela pourrait aller bien plus vite si j’avais le courage d’aller à la rencontre des anciens amis de mon père. Des producteurs, managers, musiciens très connus, tous des personnes très influentes dans le monde de la musique. Mais non, je veux y arriver par ma musique et mon travail. Alors je bosse dur, toujours plus dur pour y arriver. Je rigole à sa phrase mais je ne réponds rien, il a synthétisé la vérité, j’aime râler et ça fait partie de moi. La suite est basique entre nous, on se confie tout ce qu’on ressent. Alors je lui dis ce que je me conseillerais à moi-même, tente le coup, ne te frêne sous aucun prétexte et quand il avoue qu’ils ont déjà couché ensemble, tu lâches un « Hallelujah ! » assez sonore. Et je finis par me pencher un peu plus vers lui, pour lui dire plus sur le ton de la confidence qu’autre chose « Donc il doit être exceptionnel au pieu pour que tu marches sur tes principes. » Je suis contente qu’il puisse avoir trouvé quelqu’un d’aussi intéressant et important pour lui qu’il ne change un peu sa manière de voir les choses. Il continue et tu comprends directement ses doutes et ses craintes. Ce n’est pas facile de changer qui on est, ni de passer au-dessus de la carapace qu’on s’était forgée pour ne pas souffrir, mais quelquefois ça en vaut le coup, j’en suis certaine. « C’est normal que l’idée te terrifie, mais fais attention que tes peurs ne te fassent pas passer à côté d’une histoire exceptionnelle. Laisse toi la possibilité d’avancer et d’être heureux ! Tu le mérites ! » Puis je rigole, je prends le ton que tous les meilleurs amis doivent prendre, enfin quand tu regardes les films, car ça n’a jamais eu de mise entre vous deux et je dis « Attention, s’il te fait du mal, je le tue. Ok !?! » Et tu lui fais un clin d'œil. « C’est la pire tragédie au monde ! » cloturais-je la discussion.
La suite n’était pas prévue au programme. On était tranquille et ce gars est venu, misogyne à souhait, pour me manquer de respect. Dans un premier temps, me sentant en confiance et en position de force, je tente de le calmer comme je le peux. Ma main sur ses bijoux de famille, je sers du plus fort que je peux. Généralement, ça a le don de les calmer et de ne pas envenimer la situation. Ici, ça a été tout le contraire ! La main de l’autre tirant ma chevelure, Piam qui se lève pour prendre ma défense, je sens que mon corps se crispe, que ma respiration devient difficile. J’ai peur de perdre totalement pied, chose que je voulais justement éviter en arrivant ici ce soir et en passant une soirée au calme avec la seule personne qui m'apaise. Je le supplie presque qu’on s’en aille avant que ça ne tourne encore plus mal, mais au lieu de ça, la situation se dégénère encore plus vite. J’ai bien compris ? De la came ? Priam ? Ce coup de poing fait tilte dans ma tête, car il avoue sans un mot qu’il est bien un dealeur ! Priam vend de la drogue ? Il m’a menti en me regardant droit dans les yeux ! D’autres coups, le bruit d’un os qui se brise, l’odeur du sang, la vue de son poing qui s’écrase sur la gueule du type en face. Je suis totalement figée sur place ! J’ai le regard brouillé et les mains qui deviennent moites. Je dis alors, d’une voix quasiment inaudible « Priam, arrête ! » Tout ce déchainement de violence venant de cette personne à laquelle je tiens me fait peur. Elle me terrorise ! Ma mâchoire comment à me faire mal d’être crispée et je n’arrive qu’à faire un pas vers l’arrière avant que le mot police soit lâché par le propriétaire du lieu. Je n’arrive pas à le regarder quand il vient vers moi. Mon corps est juste prêt à s’oublier si … Si quoi ? J’arrive pas à me dire qu’il me fait peur ! Je lève alors le regard vers lui, je plonge mes yeux bleus dans le sien pour y retrouver celui que j’aime de tout mon coeur. Je fais un non de la tête pour le rassurer du fait que je n’ai rien. Enfin physiquement ! Le propriétaire fait comprendre que la police sera vite là, alors toujours très silencieuse, je prends Priam par la main. Main que je serre très fort dans la mienne et je le tire à l’extérieur ! Une fois dehors, je prends une grande bouffée d’air frais et toujours ma main dans la sienne, je le tire. Je ne sais pas où je vais, mais je veux aller loin de tout ça, de toute cette agitation avant qu’on ait la discussion. Celle où je vais vouloir savoir s’il est vraiment celui que je pense. A un moment, on passe devant un petit parc, je m’y engouffre avec lui à ma suite et je trouve un banc où je me laisse tomber, lâchant ses doigts pour la première fois depuis quelques longues minutes. « Dis moi que j’ai mal entendu ou qu’il s’est trompé de personne, s’il te plait, Priam ! » J’ai plus de mal à apprendre son mensonge que cette histoire de drogue qu’il revendrait, je ne vais pas le nier !
il cuore che è diviso in due metà, È freddo già. È una bambina però sente Come un peso e prima o poi si spezzerà ♛ by wiise
« Priam Santantonio »
•• admin de gmny
identity card
•• Date d'arrivée : 04/06/2023
•• Messages : 216
•• Dollars : 1302
•• Faceclaim : evans nikopoulos
•• Les crédits : me (av) moi-même (signa)
•• Âge : 23
•• Nationalité(s) : américaine
•• Statut marital : les cloisons vers ta couche restent à jamais accessibles. papillonnant d’une chair à une autre avec une facilité impalpable. l’union romantique n’a nulle place dans ton existence du moins jusqu'au jour où tu as gouté à la chair prohibée. là, tu n'arrives plus à le sortir de ta tête même s'il n'est pas accessible. ton patron, ulysse.
•• Orientation sexuelle : les allégresses féminines félines et graciles mais aussi d’autres enveloppes beaucoup plus imposantes et viriles; la bisexualité embrassée sans crainte et sans honte du moins, c’est ce que tu prétends. la certitude s’évapore petit à petit donnant naissance à des questionnements muets et accablants
•• Métier / études : étudiant en soins infirmiers, 5ème année. artiste, enluminant la réalité des êtres disparu.es. d’un coup de baguette magique, tu transformes leur damnation organique en une toile de beauté mirifique. illusoire. thanatopracteurpendant les week-end, la journée, le soir tu mets ta pèlerine de crapule invétéré en devenant un dealeur destructeur et vaniteux
•• Quartier d'habitation : liberty island dans une colocation.
Le petit plus Triggers: les personnages trop cringe, mary-sue, violence contre les animaux Warnings: auto-mutilation, drogue, homophobie, sexe, violence Pronoms IRL: elle, she, her Pseudo: magma. Pseudo discord: sur demande Multicomptes: elias, dae, joakim & sade Habitude rp: je rp en tu, je fais au minimum 500 mote et je peux atteindre les 2000, je rp selon l'inspi Couleur rp: #cc0000 Disponibilité rp: pas disponible
Priam Santantonio
Lun 26 Fév - 10:47
A journey through lightning ending now A song made of light spreading around
Ne laisses pas tes peurs te barrer la route vers le bonheur. Ne laisses pas tes craintes et tes principes basées sur des futilités finalement, constituer des obstacles, des murailles extrêmement grandes et solides. C’est plus facile à dire qu’à faire et le regard que tu lui lances, en est la preuve. Tu voudrais lui dire que tu feras le nécessaire pour découvrir s’il y aura quelque chose pour vous deux. Tu le veux de tout ton coeur mais tu n’y arrives pas. Une telle décision ne doit pas être prise sur un coup de tête. Tu dois rester avec toi-même, en discuter longuement pour trouver le chemin à suivre. Cependant, tu récupères sa main pour la serrer dans la tienne. C’est ta façon de lui dire à quel point tu lui es reconnaissant. Que tu as écouté chaque syllabe avec attention et que tu te donneras le temps nécessaire pour y penser. Au fond, tu te félicites d’avoir une telle amie. Celle qui prend sur ton temps libre pour te préparer à manger. Celle qui est capable de lâcher le monde entier pour venir à ton secours. Celle qui arrive à te remonter le moral et te conseiller même si elle est au fond du gouffre. Oui, ce genre-là. Morgane, TA Morgane.
Cependant, cette soirée qui devait avoir une finalité similaire à son commencement teinté de bonne humeur, prend une tournure désagréable. Et le mot est faible. Non seulement on a commencé à agresser ton amie mais en plus, quelqu’un venait de foutre en l’air ta couverture. Devant Morgane. Putain de merde. C’est ton corps qui a agi. C’est ton corps qui a administré le premier coup ensuite le deuxième et le troisième. Tu n’es plus un être humain. Il y a une lueur assassine dans tes prunelles devenues si sombres. Si menaçantes. Tu es une bête farouche et dangereuse qu’on vient de lâcher dans la nature. Et qui mérite de rester en cage. Quand tu entres dans un tel état de transe destructrice, tu n’arrives plus à stopper. Tu voyages dans un monde de barbarie et c’est difficile de t’en sortir. Mais ils y arrivent. Le mot police et la silhouette de Morgane, arrivent à te calmer instantanément. Tu te redresses alors et tu t’inquiètes directement de l’état de la jeune femme. Comme si t’étais proie à un dédoublement de la personnalité. Docteur Jekyll et Mister Hyde. La brute et la douceur. Là, tu agis comme si de rien n’était mais c’est plus fort que toi.
Rapidement, tu te retrouves projeté vers l’extérieur du bâtiment. Ta main prise en otage par ta meilleure amie. Cette main qui te fait grimacer ; tes articulations n’ont pas été épargnées. Tu sens la peau qui se décolle et une certaine brûlure mais tu ne dis rien. Tu te contentes de suivre les pas frénétiques de la jeune femme jusqu’à ce que vous atterrissez dans un parc. Là, elle se pose sur un banc et te lâche enfin. Tu ramènes directement ta main dans ta poche. Tu sais que tu saignes mais tant pis, ce n’est pas le plus important. Tu comprends que c’est plus utile de mentir. Et puis, tu n’en as plus aucune envie. Alors, tu prends doucement place à ses côtés. Tu regardes en face de toi. Tu ne peux pas soutenir son regard. Pas encore. Pas maintenant. “ Je … T’as pas mal entendu. Il ne s'est pas trompé d’personne. ” Avoues-tu presque en chuchotant car tu n’as aucune fierté à faire ce que tu fais. Tu n’es pas fier de ton activité encore moins de lui avoir menti alors tu reprends directement la parole après lui avoir laissé quelques secondes pour digérer le poids de tes mots. “ J’suis sincèrement désolé de t’avoir menti mais j’n’avais pas d’autres choix. Et non, j’pourrai pas arrêter non plus. ” Merde. Tu ne voulais vraiment pas avoir cette conversation. Encore tôt, trop tôt. Tu déglutis. Difficilement. Tu décides de sortir une cigarette et de la coincer entre tes lèvres. Tu as besoin de ce bâton cancérogène pour calmer les battements frénétiques de ton cœur. Tu as tellement de choses à dire mais rien ne sort car tu as peur. Tu as tellement peur de sa réaction face à cette révélation.
Le petit plus Triggers: Rien de bien particulier Warnings: Maltraitance infantile, tentative de suicide, sexe libre, phobies Pronoms IRL: Elle Pseudo: Marlenaskin Pseudo discord: marlenaskin Multicomptes: Phoenix ( D. David ) ++ Micah ( F. Allan ) ++ Ava ( Y. Shelbia ) ++ Alessandro ( M. Huisman ) ++ Cassandra ( D. Cassel ) ++ Mina ( A. Arjona ) Habitude rp: 1ère personne du singulier - Entre 500 et 1800 mots Couleur rp: Disponibilité rp: Archi Full {7/3}
Morgane A. Jordison
Jeu 29 Fév - 21:11
Gonna drink away all my feelings
« Priam & Morgane »
Je me suis pourtant promis de rester loin de toute cette violence, de ne plus avoir de sentiments pour une personne qui serait capable d’un tel acharnement et pourtant, je suis là. Je suis dans ce bar avec mon meilleur ami, le seul homme, qui n’est pas de ma famille, mais à qui je ferais confiance les yeux fermés. Et pourtant, pourtant, je suis tétanisée. Je n’arrive plus, ni à pleurer, ni à trembler. Je sens mon corps tout entier se crisper, devenir lourd, difficile à contrôler. Mes ongles s’enfoncent dans les paumes de mes mains ! Moi qui tente de toujours garder le sourire, quelque soit la situation ou mes sentiments, là, j’ai juste envie de crier et de m’échapper. C’est la première fois depuis de longues années que je sens un réel besoin de me faire du mal. De retrouver mes marques ! Je suis là, mon regard totalement absorbé par le poing de Priam s’écrasant à mainte reprises sur le visage de l’autre type. Mon coeur bat beaucoup trop vite et beaucoup trop fort. Et même si ce n’est pas moi qui reçoit les coups, je les ressens au fond de ma poitrine. Comme si chaque éclat de chair l’une contre l’autre me déchirait le coeur. Il a ce regard si dur, si fermé, si froid. Et il me fait peur, pour la première fois depuis que je le connais, Priam me fait peur. Je savais qu’il avait ce genre de violence en lui, je savais que je ne pourrais pas rester tout le temps loin de ça, mais ce regard ! Je n’ai plus l’impression de le voir lui, de le reconnaître, jusqu’à ce déclic. Et là, c’est moi qui n’y arrive plus ! Je ne réagis que quelques secondes après ! Je n’ai rien. Physiquement, je n’ai rien ! Psychologiquement, je suis revenue à mes seize ans quand la personne censée prendre soin de moi avait, une fois de plus, ce même regard froid et glacial. Je tremble, je réagis de manière totalement mécanique. Et puis, il y a ce mensonge ! Comment puis-je lui faire confiance après un tel mensonge ?
Je lui prends alors la main et je le tire avec moi. Je l’éloigne le plus possible de cette scène de torture pour tout mon être. Je le tire car malgré la peur que j’ai ressentie, je ne voudrais pas qu’il finisse au poste pour m’avoir protégée et soutenue. Je ne veux pas, car il ne le mérite pas. Mais aussi car je veux la vérité ! Je peux accepter cette violence en lui, tant que jamais cela ne s'abat sur moi. Mais ce que je ne peux pas accepter c’est le mensonge. Je le tire jusqu’à me retrouver dans un parc, je me laisse alors tomber sur un banc. Mes coudes viennent se poser sur mes genoux qui montent et descendent, parce que mes pieds n’arrivent pas à rester en place et doivent battre au rythme des battements de mon coeur dans mes tempes. Je lève le regard vers lui et je lui demande, je le supplie de me dire que j’ai mal compris. Même si je suis loin d’être idiote et que j’ai bien compris. Et le couperet tombe! Je baisse un peu les yeux ! Je prends quelques secondes avant de lui répondre, histoire de digérer un tant soit peu cette nouvelle. Mais quand il me lâche qu’il n’avait pas d’autres moyens et pire qu’il ne compte pas arrêter, je soupire. Je me relève, je fais les cents pas, puis je viens m’arrêter devant lui et le regardant dans les yeux « On a toujours le choix ! On a le choix de se battre avec ses armes pour gagner de l’argent, on a le choix de demander de l’aide aux gens qui tiennent à nous. On a toujours le choix de ne pas faire les mauvaises actions. » Mon père buvait, mais il aurait très bien pu prendre de la drogue. Je crois que pour lui, tout était bon pour oublier la mort de son seul amour et surtout pour sortir de son putain de quotidien. Mais par la suite, tout était bon pour oublier qu’il faisait tous les jours qui passait du mal à son enfant. « Tu réalises toutes les vies que tu brises ? » Puis je me recule, je lui tourne le dos. Je sens la colère monter ! Je claque mes mains sur mes cuisses en signe de dépit. Puis je finis par lui dire « Merde, je pensais que tu me faisais confiance ! » La confiance, l’amitié et les confidences ne vont pas que dans un sens. Qu’il me le cache pour pas me faire peur ou pas avoir à subir ma colère, je peux comprendre, mais qu’il me mente en me regardant dans les yeux, j’ai du mal ! Je m’avance à nouveau vers lui, je tends mes mains vers lui et je dis « Montre tes mains ! » On va devoir retourner sur la péniche pour lui soigner ses doigts et ses phalanges blessées, je le ferai comme je le faisais pour mon père ! Je le ferai car malgré qu’il m’ait blessé, il reste la seule personne à qui j’ai l’impression que je pourrais confier ma vie entière !
il cuore che è diviso in due metà, È freddo già. È una bambina però sente Come un peso e prima o poi si spezzerà ♛ by wiise
« Priam Santantonio »
•• admin de gmny
identity card
•• Date d'arrivée : 04/06/2023
•• Messages : 216
•• Dollars : 1302
•• Faceclaim : evans nikopoulos
•• Les crédits : me (av) moi-même (signa)
•• Âge : 23
•• Nationalité(s) : américaine
•• Statut marital : les cloisons vers ta couche restent à jamais accessibles. papillonnant d’une chair à une autre avec une facilité impalpable. l’union romantique n’a nulle place dans ton existence du moins jusqu'au jour où tu as gouté à la chair prohibée. là, tu n'arrives plus à le sortir de ta tête même s'il n'est pas accessible. ton patron, ulysse.
•• Orientation sexuelle : les allégresses féminines félines et graciles mais aussi d’autres enveloppes beaucoup plus imposantes et viriles; la bisexualité embrassée sans crainte et sans honte du moins, c’est ce que tu prétends. la certitude s’évapore petit à petit donnant naissance à des questionnements muets et accablants
•• Métier / études : étudiant en soins infirmiers, 5ème année. artiste, enluminant la réalité des êtres disparu.es. d’un coup de baguette magique, tu transformes leur damnation organique en une toile de beauté mirifique. illusoire. thanatopracteurpendant les week-end, la journée, le soir tu mets ta pèlerine de crapule invétéré en devenant un dealeur destructeur et vaniteux
•• Quartier d'habitation : liberty island dans une colocation.
Le petit plus Triggers: les personnages trop cringe, mary-sue, violence contre les animaux Warnings: auto-mutilation, drogue, homophobie, sexe, violence Pronoms IRL: elle, she, her Pseudo: magma. Pseudo discord: sur demande Multicomptes: elias, dae, joakim & sade Habitude rp: je rp en tu, je fais au minimum 500 mote et je peux atteindre les 2000, je rp selon l'inspi Couleur rp: #cc0000 Disponibilité rp: pas disponible
Priam Santantonio
Jeu 14 Mar - 11:42
A journey through lightning ending now A song made of light spreading around
Tu ne sais pas à quoi t’attendre. Engouffrés, tous les deux, dans ce parc sombre et silencieux, tu n’es pas à l’aise et tu n’imagine pas une seule seconde la suite des événements. Et elle arrive, accablante et décevante. On a le choix dit-elle. Premièrement, tu serres les mâchoires pour ne pas éclater de rire. Deuxièmement, tu te mords la langue pour te taire. Non Priam, tu ne vas pas parler, pas tout de suite. Tu vas la laisser finir sa tirade. Après tout, tu le mérites n’est-ce pas ? Tu lui as menti tout à l’heure. Mais en même temps, il faut se montrer réaliste ; comment pourras-tu lui dire qu’en effet, tu es dealer de drogue ? Ce n’est pas possible. Ce n’est pas quelque chose qu’on peut avouer dans un pub, entre deux verres, sourire aux lèvres. En plus tu as peur de la perdre et c’est pour cette raison que tu as préféré ne rien dire ; le silence est libérateur et te permet de rester auprès d’elle. Là, tu es conscient que quelque chose s’est brisé entre vous. Tu en es sûrement responsable mais tu es aussi dans l’incapacité de revenir en arrière ; ce qui est fait et fait et c’est le moment de jeter toutes les cartes sur table.
Dès sa première tirade, tu as compris que cette discussion n’aura aucune finalité positive. Aucun happy ending. Tu te sens agressé et quand tu te sens agressé, tu n’es pas le genre à calmer le jeu, bien au contraire. “ On a toujours le choix hein ? C’est tellement enfantin et irréaliste d’penser de cette manière. ” Tu enfonces tes canines dans la peau sensible de ta lèvre inférieure. Tu deviens amer, impulsif et extrêmement sarcastique. Et cela s'accroît à cette phrase qui t’achève totalement ; réalistes-tu toutes les vies que tu brises ? Ta main blessée glisse brutalement dans tes cheveux au point de presque les arracher. Cette même main, cherche ton téléphone sur lequel tu tapes pendant quelques secondes. Tu le remets ensuite à sa place initiale. Ton cœur frappe si fort dans sa cage d’os. Tu ressens une vraie rage qui monte, doucement et sûrement. Elle te fait serrer les poings et te mordre la langue. Pourquoi ? Parce que tu es capable du pire. Tant que tu as encore un peu de conscience, tu refuses de faire du mal à ton amie. Peu importe la raison. “ Heureusement que t’as choisi la musique car putain t’aurai fait une horrible psy. ” Parler de “vies que tu brises”. Penses-t-elle réellement que tu baisseras la tête, coupable ? Est-ce qu’elle te connait réellement ? Merde arrête. Tu risque de devenir encore plus sarcastique, plus méchant. Et son ordre final te fait perdre pied. Non, c'en est trop. Tu te redresses du banc et tu secoues la tête. “ Non Morgane. Stop. ” Tu t’éloignes d’elle. “ Écoute, il y a un uber qui arrive dans une minute, rentre. Moi je.” Tu essaies réellement d’avoir une discours cohérent et c’est dur. Très dur. “ J’peux pas, pas ce soir.” Tu vas craquer. Dans quelques minutes. Si tu ne t'éloignes pas tout de suite, tu pourras tabasser le premier passant. Et c’est ce que tu fais, tu t’éloignes presque en courant pour aller ailleurs, peu importe où mais loin d’ici.
_________________
┗ November Rain ┛
ஃ Days, gone by, Come back as the morning light. A colourless demise rises and the only shelter I used to know, is gone lost out of sight. ஃ
