•• Les crédits : strange-hell (av) signa (moi-même)
•• Âge : 26
•• Nationalité(s) : américaine
•• Origine(s) : irlandaises et mexicaines.
•• Statut marital : le célibat est attirant. il est incommensurablement paisible et dépourvu de drame inutile. il est ton amant attitré qui te permet de papillonner sans qu’on vienne te couper les ailes.
•• Orientation sexuelle : tu es secret. si on pose pas la question sur ta sexualité tu répondras sans grande conviction. tes préférences se tournent vers des formes plus viriles, plus masculines. c’est une évidence.
•• Métier / études : des symboles ésotériques pour certains. des formules abracadabrantes pour d’autres constituent ton domaine d’expertise. la chimie t’a attiré dans ses filets et tu n’as pas résisté à l’envie de l’étudier pour en faire ton métier plus tard. un rat de laboratoire, c’est ce que tu es. dans ton temps libre, tu aimes affronter tes peurs les plus viscérales, fanatique du monde surnaturel, tu exploites des bâtiments oubliés par chronos à la recherche d’une quelconque entité oubliée.
•• Quartier d'habitation : tu vis dans un somptueux pavillon à brooklyn. à tes vingt ans, tes parents t’avaient acheté ce petit bijou pour que tu puisses t’épanouir loin de la maison familiale. tu le partage avec santiago et carter, tes nouveaux colocataires.
Le petit plus Triggers: les personnages trop cringe, mary-sue, violence contre les animaux Warnings: pédophilie, agression verbale et sexuelle, maltraitance enfantile Pronoms IRL: elle, she, her Pseudo: magma. Pseudo discord: demande Multicomptes: priam, dae, joakim & sade Habitude rp: je rp en tu, je fais au minimum 500 mote et je peux atteindre les 2000, je rp selon l'inspi Couleur rp: #cc0000 Disponibilité rp: pas disponible
Elias Sterling
Mer 4 Oct - 9:47
It's close to midnight And something evil's lurking in the dark Under the moonlight You see a sight that almost stops your heart
“ ok, tout est prêt ! ” tu te frottes les mains l’une contre l’autre, d’excitation, d’une bribe de joie mais aussi un semblant d’appréhension. tu vas passer une soirée atypique. non, tu seras pas dans un bar à enchainer les verres avant de te mettre à danser la macarena. tu n’as pas une quelconque conquête à séduire pour finalement te retrouver à la cajoler de mensonges. tu ne vas pas non plus passer une énième nuit à peaufiner tes recherches pharmaceutiques. ce soir, tu vas t’adonner corps et âme à ta passion pour l’urbex. la grande nouveauté est que cette sortie ne sera pas filmée. du moins, elle ne sera pas mise en ligne plus tard. la pellicule sera conservée pour toi et un de tes meilleurs potes depuis l’adolescence. phoenix. rien que d’y penser, fait naître un sourire dans la commissure de tes pulpeuses. depuis quand vous n’avez pas passé du temps ensemble loin du cadre “professionnel” ? tu ne sais plus. ça remonte à des semaines voire des mois. et tu as envie d’y remédier elias. tu as envie de pousser la limite de vos peurs, de rigoler de vos réactions, d’être un peu à jour par rapport à son vécu actuel.
c’est le sourire aux lèvres et un grand sac collé à ton dos que tu quittes ton habitat. vous vous êtes donnés rendez-vous dans un ancien hôpital psychiatrique délaissé depuis des années. tu ignores ce que vous allez trouver mais c’est ce qui crée l’exaltation. tu ne crains pas l’inconnu ou le monde surnaturel. après tout, le vrai animal, le réel danger n’est autre que la race humaine. et plusieurs documentaires que tu as pu voir sur le true crime en sont la preuve tangible. la preuve évidente de la dépravation de l’homo sapiens. toujours armé de ta bonne humeur, tu arrive sur le lieu du rendez-vous. il est là. fidèle au poste. “ t’es arrivé super en avance ou je suis en retard ? ” sans te démunir de ton sourire, tu le salues en tapotant doucement contre son épaule, dans un check amical. tu tournes la tête vers le bâtiment à l’architecture ancienne et passablement délabrée. “ et bah regarde-moi ça, pile ce qu’on aime ! ” le genre de structure qui fait fuir les touristes. seules les âmes courageuses et en perpétuelle recherche d’effervescence oseraient s’y aventurer. un peu comme vous. “ on y va ? ” tu allumes la lampe torche accrochée à ta boîte crânienne. la pénombre est déjà tombée et le silence des environnements ajoutent une couche à cette ambiance morbide. tu n’entends que le vent souffler dans la forêt avoisinante et ça te plait. tu es parfaitement dans ton élément. “ sinon, toi ça va ? ” demandes-tu en avançant vers les grandes portes où une grande pancarte est placardée, interdisant l’accès au bâtiment. tu l’ignores. ce n’est pas la première fois que tu enfreins les règles. et ce sera sûrement pas la dernière.
Le petit plus Triggers: Aucun Warnings: Drogue douce Pronoms IRL: Pseudo: Marlenaskin Pseudo discord: marlenaskin Multicomptes: Morgane ( V. De Angelis ) ++ Micah ( F. Allan ) ++ Ava ( Y. Shelbia ) ++ Alessandro ( M. Huisman ) ++ Cassandra ( D. Cassel ) ++ MIna ( A. Arjona ) Habitude rp: 1ère personne du singulier - Entre 500 et 1800 mots Couleur rp: Disponibilité rp: Full {3/3}
Phoenix Blake
Sam 7 Oct - 14:56
Thriller night
« Elias & Phoenix »
Ce soir, c’est juste pour le fun. Pas de public, pas de critiques, pas de questionnements, juste un de mes meilleurs potes et moi. Juste deux fans d’urbex qui vont visiter un lieu abandonné. Ca fait du bien de retourner quelquefois aux bases de notre passion commune. J’en suis d’ailleurs d’autant plus excité ! Je sais qu’on ne va pas s’ennuyer et qu’on ramènera des images fabuleuses à garder précieusement ! Dans un hôpital psychiatrique, je sens surtout que je vais avoir des fameuses frayeurs. Mais qui n’aime pas se faire peur ne fait pas d’urbex. Et encore moins avec Elias, lui, il me donne toujours l’impression que rien ne lui fout la trouille, il est toujours partant pour tout et fonce tête baissée et cela depuis la première expédition que nous avons faite ensemble. Comme on se rejoint devant le lieu, je viens de finir de préparer tout ce que j’avais prévu pour ce soir. Un appareil photos, des lampes torches, une caméra avec un infra rouge, deux batteries au cas où, des piles car on ne sait jamais et de quoi bouffer et boire si on a un petit creux. J’ai tout mis dans le coffre de ma vieille voiture et direction Staten Island. J’avais pris de l’avance dans le cas où il y aurait des embouteillages comme trop souvent, mais pour une fois, la route était dégagée, alors je suis arrivé le premier sur les lieux. J’ai mis ma voiture loin de l’entrée pour qu’on ne puisse pas nous détecter à l’intérieur trop facilement.
Mon sac devient lourd, mais il va vite se vider. J’ai une casquette sur la tête dont la visière est un cri d’amour à notre ville “ I love NY “. Cette même visière est totalement décousue tellement elle est vieille, mais elle cache mon regard. J’ai aussi un sweat noir à capuche et un jeans basique. Des bottines aux pieds, mais des chaussures de qualité, j’ai appris avec le temps qu’on n’est jamais trop prudent d’un clou qui dépasse ou de je ne sais quoi d’autre comme merde. Comme je suis bien à l’avance, j’en profite pour faire le tour du bâtiment sans aucune lumière. Histoire de trouver un point d’entrée dans le lieu et surtout pour vérifier que nous serons bien seuls. Je ne veux pas faire de mauvaises rencontres, car on sait tous que la pire chose qui pourrait nous arriver dans l’exploration urbaine c’est de tomber sur des junkies qui tueraient pour une dose. Je trouve une fenêtre ouverte, c’est déjà une bonne chose, mais je ne vois aucun signe de vie. Pas de lumière de torche, pas de voix, pas de bruits autre que celui de mes pas sur les feuilles qui commencent à tomber. Mais je regarde ma montre et réalise qu’il est bientôt l’heure donc je retourne devant le bâtiment.
Je me sors une clope, car je suis bien en manque de nicotine et je l’allume, admirant la vue qui s’offre à moi. Je me sens béni de pouvoir visiter de tel lieu, en apprendre le passé, l’histoire souvent trop triste et en plus de faire ça avec de véritables amis, c’est la meilleure vie que je puisse vivre. Mon esprit dévague un instant vers Damiano qui doit bosser ce soir, mais qui aurait sûrement aimé être présent. Mais également vers Emma et Angelina. Putain, il serait peut-être temps que j’arrive à n’avoir envie que d’une seule femme, il serait temps que je me pose non ? Mais j’entends la voix de mon pote derrière moi qui me sort de mes rêveries. Je tire une dernière fois sur ma clope puis je l’envoie valser un peu plus loin d’une pichenette. « En avance, je pensais que la circulation serait plus importante ! » Puis il t’invite à regarder le bâtiment et tu lui réponds sincèrement, ton regard ne pouvant pas quitter cette entrée « Juste nous deux cette nuit ! T’es prêt ? » Je ne doute pas un seul instant qu’il le soit. De toute façon, qui d’autre que lui pourrait ne pas avoir de doutes quand il entre dans un lieu aussi décrépi. Lorsqu’il me propose d’y aller, je fais déjà le premier pas, je suis bien trop pressé que pour attendre. Je lui montre, par contre, l’allée sur le côté gauche de la bâtisse « On peut entrer par une fenêtre ouverte par là. » Première loi de l’urbex, on ne casse rien, on ne dégrade rien et on ne vole rien ! On est juste là pour visiter et s'imprégner du lieu en en prenant plein les mirettes ! Je m’avance tout de même vers les grandes portes après avoir mis ma capuche et je regarde à l’intérieur par la grande vitre. Putain, ça va être grand ! Mais quand on continue notre avancée vers l’entrée secondaire, comme j’aime le dire, il me demande comment je vais. Je hausse alors les épaules et je lui dis « Fidèle à moi-même. Je vais bien. Toujours à la recherche de nouveaux sponsors pour notre chaîne, j’ai eu rendez-vous avec trois gonzesses cette semaine, dont une qui me plait pas mal et puis, j’ai été voir mon frangin jouer dans un club de la ville ! Et toi ? Raconte ! » Oui, nous ne sommes pas là que pour se foutre la trouille de notre vie !
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« Elias Sterling »
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•• Orientation sexuelle : tu es secret. si on pose pas la question sur ta sexualité tu répondras sans grande conviction. tes préférences se tournent vers des formes plus viriles, plus masculines. c’est une évidence.
•• Métier / études : des symboles ésotériques pour certains. des formules abracadabrantes pour d’autres constituent ton domaine d’expertise. la chimie t’a attiré dans ses filets et tu n’as pas résisté à l’envie de l’étudier pour en faire ton métier plus tard. un rat de laboratoire, c’est ce que tu es. dans ton temps libre, tu aimes affronter tes peurs les plus viscérales, fanatique du monde surnaturel, tu exploites des bâtiments oubliés par chronos à la recherche d’une quelconque entité oubliée.
•• Quartier d'habitation : tu vis dans un somptueux pavillon à brooklyn. à tes vingt ans, tes parents t’avaient acheté ce petit bijou pour que tu puisses t’épanouir loin de la maison familiale. tu le partage avec santiago et carter, tes nouveaux colocataires.
Le petit plus Triggers: les personnages trop cringe, mary-sue, violence contre les animaux Warnings: pédophilie, agression verbale et sexuelle, maltraitance enfantile Pronoms IRL: elle, she, her Pseudo: magma. Pseudo discord: demande Multicomptes: priam, dae, joakim & sade Habitude rp: je rp en tu, je fais au minimum 500 mote et je peux atteindre les 2000, je rp selon l'inspi Couleur rp: #cc0000 Disponibilité rp: pas disponible
Elias Sterling
Mer 11 Oct - 12:14
It's close to midnight And something evil's lurking in the dark Under the moonlight You see a sight that almost stops your heart
ses mots te font doucement sourire. il a toujours été ainsi, phoenix. il prend toujours vos escapades de découvertes au sérieux. jamais en retard. toujours à l’heure et tu aimes cela chez lui. l’urbex pour vous, ce n'est pas une façon de gagner de l’argent. loin de là. c’est une véritable passion et c’est pour cette raison que votre chaîne est connue. elle est surtout respectée dans le milieu. elle est authentique, à votre image. soudainement, tu regrettes l’absence des autres membres de votre équipe. iels auraient adoré se retrouver là avec vous. mais la vie n’offre pas de cadeaux parfois et tu en es conscient. chacun.e d’entre elleux avaient des choses à faire et tu sais que lesdites choses sont extrêmement importantes sinon, iels auraient pu vous rejoindre sans hésitation. cette idée disparaît quand tu jettes un coup d'œil aux environs. parfait. pile poil ce que tu aimes ; une ambiance à hisser les poils du corps. à faire monter l’adrénaline, digne des films horrifiques de série z. on peut dire que c’est la seule chose dans cet univers qui te donne un semblant d’appréhension et de satisfaction mélangée. d’ailleurs, ton psychiatre, une femme d’un certain âge, dit que l’urbex est le seul domaine où tu as le contrôle. elle n’a sans doute pas tort. t’as pas eu une vie facile. pendant les sept premières années de ton existence, tu as souffert le martyr. et même si, maintenant tu es en sécurité, les séquelles restent intactes. ton cerveau te joue des sales tours en t’occasionnant des cauchemars où tu retrouves toujours la mort. tes parents avaient insisté pour que tu consultes un spécialiste. mais pour toi, ton remède n’est autre que ces découvertes d’un autre genre. c’est ce qui te permet de rester passablement sain d’esprit et surtout de ne pas faire quelque chose qui pourrait t’ôter la vie. c’est peut-être pour cette raison que tu es celui qui s'investit à 200%. celui qui ne dit jamais non pour une excursion. c’est ta pilule antidépresseur, tout simplement.
quand ton ami te parle d’une fenêtre ouverte, tu le suis. tu lui fais confiance. il a sûrement fait le tour du bâtiment, examiné un peu les environs. il a, sans aucun doute, repéré ce dont vous aurez besoin. sans te faire prier, tu entres par ladite fenêtre et tu la coinces de l’intérieur pour la garder ouverte. elle sera votre issue de sortie. sans perdre une miette des informations qu’il partage avec toi, tu regardes un peu la pièce dans laquelle vous avez atterri ; elle a sûrement été la salle de réception si tu te fies au grand comptoir qui prône dans un coin. tu repères aussi un matelas usagé, troué et taché de plusieurs substances. tu n’as aucune envie de savoir lesquelles même si ton imagination ne te laisse aucun répit. “ attends, c’est la fille sponsor qui te plait ? phoenix ” c’est plus fort que toi. tu pousses un léger rire. ton ami ne change pas. un casanova des temps modernes. “ ces sponsors ça a donné quelque chose ? ” demandes-tu tout en avançant avec précaution. tes chaussures sont résistantes vu leur prix mais on sait jamais surtout avec toute cette pénombre. “ d’ailleurs, j’sais pas si t’as consulté l’email de la chaîne mais on a encore reçu des propositions de sponsoring. genre on fait leur pub dans la vidéo et le tour est joué. ” tu hausses les épaules. en réalité, tout l’aspect administratif ne te concerne pas. ce n’est pas ton domaine d’expertise. toi, tu cherches surtout les lieux à visiter et pour ça, tu es plutôt doué. “ moi ça va, l’boulot me prend pas mal de temps. ” c’est ton excuse habituelle. “ mais sinon j’ai trouvé notre prochaine destination. une grande villa où un mari a tué sa femme. figure toi que c’est pas le premier meurtre dans cette barraque. ” dis-tu non sans esquisser une petite grimace à la vue de plusieurs seringues qui traînent par terre. tu te rends compte que tu aurais pu finir junky si t’avais pas eu des parents aimants. tu les enjambes et tu continues le récit concernant ta découverte. “ en gros, deux victimes ont trouvé la mort dedans. ça m'étonne que ce soit amityville mais, ça vaut le détour je crois. elle est inhabitée depuis deux ans et personne ne veut la racheter ” cette information t’a choqué quand tu l’as lu. l’être humain adore les sensations fortes. ça t’étonnes qu’elle soit plus à vendre. tu lèves la tête vers les tableaux qui tiennent à peine contre le mur et tu te mets à sourire. “ regarde ce gars, il a l’air d’un nazy. ” ça te surprendrait vu que cet hôpital avait ouvert dans les années 60. “ t’as trouvé quelque chose de ton côté ? et sinon, tu vas la revoir cette fille ? ” non, tu ne perds pas le fil de tes pensées elias.
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« Phoenix Blake »
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Phoenix Blake
Dim 15 Oct - 23:24
Thriller night
« Elias & Phoenix »
L’urbex pour moi, ça a été le moyen parfait de m’émanciper de mon frangin. Pour beaucoup, on est totalement identique physiquement et mentalement, Dakota et moi. Mais ce n’est que pour celles et ceux qui ne nous connaissent pas réellement. Parce que nous sommes très différents. Mon jumeaux a toujours été sûr de lui, il fonçait tête baissée sans jamais réfléchir à l’avance, il n’a jamais eu peur ni du ridicule, ni de l’échec, même si il déteste perdre ou ne pas être le premier. Moi, je le suivais, j’étais comme son ombre, je faisais attention à lui aussi. Alors oui, on était toujours collé, on avait notre dialecte lorsque nous étions enfant et on faisait toutes les bêtises à deux. Mais je n’étais que son ombre, je n’étais pas son réel acolyte. Cela m’a convenu pendant toute mon enfance, mais dès que j’ai rencontré la bande, tout a bien changé. Nous ne faisions plus un avec Dakota, nous étions enfin deux êtres totalement différent ! Tout d’abord parce que, pour la première fois, ce n’était pas les amis de mon frangin avec qui je trainais. Puis aussi car l’exploration urbaine est venue à nous comme nous l’avons acceptée tout de suite comme notre passion commune. Et de là, je me suis montré tel que je peux l’être, tel que je le suis en fait et que je l’ai toujours été au fond de moi. Je sais que ce n’est rien de grave, c’est le lot de tous les jumeaux, tous les vrais jumeaux, mais on avait besoin d’avoir notre personnalité, nos amis, notre vie. Je me sens bien mieux maintenant, je suis plus heureux, plus libre. Alors l’urbex, oui, c’est plus qu’une passion, c’est un art de vivre, c’est la manière dont je respire. J’aime me faire peur, j’aime le danger, l’adrénaline qui coule dans mes veines, j’aime me sentir en danger, mais toujours en ressortir la tête haute. Et puis, j’aime cette amitié que j’ai liée avec les trois autres. Ils sont ma deuxième famille !
On part tous les deux vers la fenêtre ouverte, je le laisse passer en premier, mais je le suis de prêt car il faut tout faire pour ne surtout pas être repéré. Quand on vient ainsi dans un lieu de manière illégale, généralement, on fait trois fois plus attention que si on vient les mains dans les poches avec les clés du bâtiment. Il y a des dangers partout dans l’exploration, mais encore plus quand rien n’est prévu à cent pour cent. On n’est jamais à l’abris d’un écroulement du plafond, d’un combis de police qui débarque pour nous coffrer ou même d’un junkie qui a élu domicile dans les lieux ! Et je ne vous dis pas lequel des trois est le moins dangereux ! Je crois que c’est l’éboulement ! Je le regarde, avec un sourire en coin, bloquer la fenêtre. J’aurais dû y penser ! Moi, je raconte un peu ma semaine à mon pote, les sponsors, les filles et le futur concert du frangin. Mais quand il tilte ce n’est pas sur la fille qui me plait, mais sur le fait que c’étaient celles des sponsors. Je me promène dans la première pièce, en regardant un peu partout. J’ouvre les tiroirs et on y trouve des feuilles d’admissions de patients. Je les sors du tiroir en faisant attention pour ne pas les abîmer et je lui dis en les montrant du doigt « 1995 ! Ca fait un bail que c’est fermé ici ! A part le matelas tout crasseux, on dirait que ça n’a pas été trop tagué ou démoli. J’espère que ça restera longtemps dans cet état ! » Ouais, ça me répugne au plus haut point tous les connards qui démontent une maison parce qu’elle n’est plus habitée ou qui démolissent les biens du passé sous un prétexte tout aussi bidon. Il faut être respectueux des lieux autant que des gens ! Puis je finis par lui répondre tout de même au sujet en levant les yeux au ciel et en rangeant les documents là où tu les avais pris « Quoi ? Faut toujours lié l’utile à l’agréable ! Bah y en a un qui nous propose 1500$ pour présenter sa nouvelle boisson énergisante dans notre prochaine vidéo. Mais je ne sais pas, ça parait pas être correct comme boisson. Je te montrerai c’est laquelle quand on rentrera ! » Au sujet des autres sponsors qu’il nous est proposé dans les mails, je lui dis « Yep j’ai maté, mais j’envoie toujours le tout à Lennon, pour les sponsors, à part quand il y a une donzelle à la clé, c’est elle qui gère. Elle a plus de tchatche et elle nous gagne toujours un petit pactole en plus ! Elle est douée là-dedans ! » Pas que là-dedans, mais je ferme ma gueule. Je crois que j’ai un léger crush pour notre pote, mais vaut mieux que personne ne le sache jamais !
Quand on commence à parler de lui et qu’il me lâche qu’il a beaucoup de boulot, je soupire très bruyamment pour lui faire comprendre que ça m’emmerde son excuse. Il devrait savoir à la longue qu’il peut me parler de tout, merde quoi ! Je suis son pote, je le traite quasiment comme mon frangin et il semble toujours évasif alors que moi, je dis tout ! Je suis un véritable livre ouvert ! « Et ??? Putain Elias, me dit pas que tu vis juste pour le boulot ! Faudra que je te présente des gens ? Filles, gars, vieux, jeunes, comme tu veux mais il faut que tu vives entre le boulot et les excursions. » Je ne lui dis pas méchamment, mais je m’inquiète pour lui. Je ne sais pas ce qui ne va pas, mais je sens que quelque chose le travaille ! Ouais, je ne suis pas non plus du genre à tourner autour du pot si j’ai un truc à balancer alors je lui ai dit ce que je pensais à lui de voir pour la suite ! Je vais pas le torturer pour le faire avouer ce qu’il a sur le coeur non plus ! Mais bon, changeons de sujet et arrivons en à la prochaine destination. Ca semble vraiment génial, je sens qu’on va s’en donner à coeur joie. Je lui dis alors « Va pour la maison de l’horreur. On devra juste tenter d’en savoir plus sur les plans et les sécurités. C’est où exactement ? C’est loin d’ici ? » Puis au sujet du fait que personne ne veut la racheter, je dis « Qui rachèterait une maison où y a déjà eu autant de meurtre, je ne sais pas, ça fout la trouille ! » Mais j’éclate de rire, un rire très sonore, quand il me montre un tableau et qu’il le traite de nazis, je lui dis « Qui sait ? Peut-être un putain de raciste en herbe ! J’ai trouvé de vieilles photos, regarde ! » Il y en a une, on voit des infirmières poser ensemble. Et l’autre, on y voit la salle principale où nous sommes comme elle aurait dû l’être quand c’était encore ouvert ! « La fille, ça dépend si on prend l’argent du père ! Sinon, je reverrais bien la petite Emma, je t’ai déjà parlé d’elle ? » Elle est mignonne cette petite ! Mais là, d’un coup, on entend comme une porte qui claque non loin dans le couloir sur notre droite. Je regarde mon acolyte, je ferme ma lampe torche et je lui fais signe de se taire, voir si on entend rien d’autre. Si c’est une personne, tel un junkie ou autre, ou si ça serait un coup de vent. Un fantôme peut-être ? Enfin là, c’est pas moi qui y croit même si j’aimerais avoir au moins une fois la preuve qu’ils existent !
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•• Orientation sexuelle : tu es secret. si on pose pas la question sur ta sexualité tu répondras sans grande conviction. tes préférences se tournent vers des formes plus viriles, plus masculines. c’est une évidence.
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•• Quartier d'habitation : tu vis dans un somptueux pavillon à brooklyn. à tes vingt ans, tes parents t’avaient acheté ce petit bijou pour que tu puisses t’épanouir loin de la maison familiale. tu le partage avec santiago et carter, tes nouveaux colocataires.
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Elias Sterling
Mer 25 Oct - 11:36
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à peine entrés dans le bâtiment, vous vous mettez directement à fouiller les lieux. c’est la règle d’or de l’urbex ; aucune minute à perdre dans des futilités. il faut bien faire les choses tout en étant le plus efficace possible. vos sens doivent toujours être bien éveillés. aucun bruit ne doit passer inaperçu, aucun détail ne doit être écarté. quand ton ami t’informe que l’hôpital avait fermé ses portes en 1995, tu pousses un petit sifflement. en effet, il a verrouillé ses portes depuis plus d’une décennie et pourtant, l’endroit est bien conservé. tu regardes avec attention les murs jaunis, parfois craquelés mais aucune présence de tag ne te saute aux yeux. cela te surprend elias. et cela éveille aussi ta curiosité. tu n’attends pas une seule seconde pour partager ton ressenti avec le brun. “ ouais mais, t’trouves pas que les lieux sont un peu trop bien conservés justement ? ” ça met une alerte dans ton esprit ou peut-être que récemment, tu as un peu trop regardé des documentaires sur des complots. le cerveau humain est ainsi fait ; il se met à faire des associations qui s'avèrent souvent obsolètes. tu essaies de ne pas trop y penser pour le moment et tu te concentres sur les paroles de ton ami. d’ailleurs, ses affirmations te font rire doucement. ce bon vieux phoenix a toujours été ainsi et tu doutes qu’il changera un jour. tu retiens l’histoire de la boisson énergisante et alors que tu ouvres un tiroir pour voir son contenu, tu réponds à ton ami. “ si tu as des doutes, je peux toujours regarder les composants de cette boisson et j’te dirai si c’est louche son histoire. ” après tout, il s’agit de ton domaine d’expertise. tous ses mots composés d’au minimum dix lettres et qui pour la plupart des gens, sont ésotériques, toi tu les comprends. tu assimiles leur sens. tu les as étudié ce qui t’a conduit à travailler dans un laboratoire pharmaceutique. “ c’est qu’elle est forte quand il s’agit de négociations … maintenant que j’y penses, il n’s’est jamais rien passé entre vous ? ” demandes-tu d’un air espiègle. ton exploration des tiroirs se résulte par la découverte de quelques photos. sûrement celles des employés et de quelques patients si tu crois leur mine fatiguée. instinctivement, cela te fait un pincement au coeur ; tu aurais pu finir comme eux si eirc et julia ne t’avaient pas adopté. maintenant que t’y penses, tu dois impérativement leur rendre visite. peu importe si ton emploi du temps est chargé, ils t’avaient sorti de la misère. ta vie actuelle ne serait pas pareille s’ils ne s’étaient pas manifestés au bon moment. comme s’il avait lu dans ton esprit, phoenix s’emporte suite à tes réponses évasives. tu sais qu’il tient à toi. sa réaction est digne de son amour pour toi. tu le regardes un instant avant de soupirer. tu ne sais pas quoi lui dire. phoenix sait que tu as été adopté toi et ava. mais il ignore ce que t’avais vécu avant de débarquer dans la famille sterling. lui parler de tes cauchemars ne sollicitera que des questionnements supplémentaires. et toi, elias, tu n’es pas certain de vouloir partager cette partie sombre de ton existence. tu n’es pas encore prêt. tu redoutes surtout ses réactions. sa pitié. c’est ce qui te fait peur ; qu’on te regarde autrement. qu’on voit que ton passé et non ce que tu es devenu aujourd’hui. “ j’y peux rien je croule vraiment sous l’travail. ” tu sais. ce n’est pas suffisant. tu ne partages presque rien avec lui. tu te rends compte d’ailleurs que tu ne lui as jamais fait part de tes préférences sexuelles. peut-être que c’est le moment de lui confier “un secret” juste pour lui dire une évidence ; tu tiens à lui. tu écoutes sa réponse quant à la villa que tu as trouvé. tu ne perds pas une seule information qu’il communique avec toi, te parlant d’une certaine emma. tu te mords la peau de la joue droite. ça te brûle. tu veux partager quelque chose avec lui et tu sais que c’est le moment où jamais. “ j’suis pas contre que t’me présente des gens. mais dans c’cas, présente moi des mecs. ” tu le regardes essayant de deviner sa réaction dans la pénombre. as-tu été assez clair ? tu commences à en douter. “ j’veux dire, j’suis gay. ” soudainement, tu te sens mal à l’aise. une boule se forme dans ta gorge. tu n’as tellement pas l’habitude de faire ton coming out. tes parents et ta fratrie l’avaient compris par eux-même. tu parles que des trucs basiques avec tes collègues de travail. phoenix est sûrement la première personne à qui tu confies tes préférences en évoquant le sujet. et tu ne sais pas comment réagir alors, tu te racles la gorge et tu changes rapidement de sujet. “ ok, j’vais chercher le plan de la villa. j’vais devoir le trouver. ” tu ne te rends pas compte que tes mains tremblent jusqu’au moment où tu fais tomber les photos que tu tenais entre tes mains. tu les remets en place pour regarder celles que ton ami avait trouvé. tu n’as pas affronté son regard une seule seconde depuis ta confession. tu as peur. peur de voir du dégoût sur son visage. qu’il mette une barrière invisible entre vous. tu connais phoenix. tu sais qu’il ne serait pas du genre à changer de comportement pour si peu mais qui sait ?
“ non tu m’as pas parlé d’elle, c’est qui ? ” demandes-tu tout en jetant un coup d’oeil aux photos qu’il tient entre ses phalanges. tu voulais les commenter quand un bruit retentit. une porte qui se ferme violemment. c’est là que tes prunelles se posent dans celles de ton ami. ton malaise laisse sa place à de la curiosité. à une certaine excitation aussi. “ on va voir ? ” tu chuchotes non sans surveiller les escaliers. s’il s’agit d’un gardien ou des junkies, ils seront bientôt au rez-de-chaussés. personne ne se manifeste et ça fait accroître ta curiosité. tu prends alors le chemin vers le premier étage. un long couloir presque interminable s’offre à vous. tu trouves la porte qui avait précédemment claqué. tu l’ouvres doucement pour te retrouver nez à nez avec le néant le plus total. tu ne vois qu’un vieux lit au pied cassé et un bureau où la poussière a élu refuge. “ y a personne ici. t’penses que c’est l’vent ou … ” tu laisses ta phrase en suspens mais le grand sourire sur tes lèvres en dit long sur la suite ; ou une quelconque entité invisible pour vos yeux. ça fait monter l’adrénaline en toi. “ l’hôpital a fermé parce qu’il n’était pas bien réputé. visiblement plusieurs patients avaient péri ici. ” tu ne sais pas ce que cela veut dire mais tu veux réellement croire à la présence de leur esprit. tu as juste besoin d’une preuve plus concrète.
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« Phoenix Blake »
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•• Âge : 25
•• Nationalité(s) : américaine
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•• Orientation sexuelle : les courbes féminines
•• Métier / études : youtubeur spécialisé dans l'exploration urbaine ( urbex )
Le petit plus Triggers: Aucun Warnings: Drogue douce Pronoms IRL: Pseudo: Marlenaskin Pseudo discord: marlenaskin Multicomptes: Morgane ( V. De Angelis ) ++ Micah ( F. Allan ) ++ Ava ( Y. Shelbia ) ++ Alessandro ( M. Huisman ) ++ Cassandra ( D. Cassel ) ++ MIna ( A. Arjona ) Habitude rp: 1ère personne du singulier - Entre 500 et 1800 mots Couleur rp: Disponibilité rp: Full {3/3}
Phoenix Blake
Sam 4 Nov - 0:15
Thriller night
« Elias & Phoenix »
Quand on commence l’exploration, on se donne tous les détails que nous trouvons. Et la première chose qui me frappe c’est l’année de fermeture de cet ancien hosto psychiatrique. 1995 ! Je ne fais pas gaffe au reste, mais quand Elias me faire remarquer que l’état du bâtiment est encore super bien conservé, je lève les yeux vers les murs. Je regarde les bureaux, les tiroirs encore fermés. Le fait qu’il n’y ait qu’un vieux matelas dans le hall. Je me mordille la lèvre inférieure en réfléchissant puis je lui dis « Tu crois que y a un vigile qui passe fréquemment ? » C’est une possibilité, car quand les gens ont peur de se faire prendre, ils jouent moins au con. Mais à ce point-là ? Rien sur les murs, je fais attention à tout de même à ce que je touche, ne sait-on jamais ! Puis je finis par lui rajouter « Mais la végétation qui commence à rentrer par les fenêtres et la mousse qui pousse à niveau de toutes les fissures dans le mur, prouve qu’il n’a pas été utilisé depuis longtemps. » Ton cerveau fuse dans tous les sens. Mais c’est bien pour ça qu’on fait de l’urbex non ? Faire monter l’adrénaline, ressentir des frissons et aussi foutre son cerveau en ébullition que ce soit devant la beauté, la destruction ou l’histoire du lieu ! Tout y passe quand vous faites ça. Car oui, tout le monde n’a pas votre respect pour les lieux et les choses malheureusement. Ou bien c’est peut-être tout simplement car on est trop proche de la ville, d’une grand rue et les gens n'ont pas envie de se faire prendre. Il y a d’autres squat plus privilégiés pour les junkies aussi ! Enfin soit, on continue notre exploration.
Je lui parle de toutes ces histoires de sponsors. J’avoue que ce qui est social, je suis doué, pour le reste, c’est autre chose. Je ne comprends pas grand-chose aux composants, je ne suis pas doué en mathématiques non plus et je ne vous parle même pas du fric et des petites closes dans les contrats. Alors quand il me propose de voir la boisson qu’on nous propose, je fais un oui de la tête. Je finis même par lui dire « Bonne idée, je vais leur demander d’en envoyer pour tester ! Ça sera dans leur intérêt ! » On a toujours fait attention à ne surtout pas recommander ou faire de la pub pour un produit qui ne vaut pas le coup, qui est une arnaque ou qui n’est pas bon pour la santé. On tente de rester le plus possible dans le droit chemin pour tous. L’important n’est pas le fric, il nous sert juste à pouvoir continuer nos petits tours de nuit ! Celle qui est douée dans les négociations, c’est Lennon, en vrai, on a tous notre point fort ! Je rigole à sa question et je finis par lui dire « Je dirais pas non, mais ça gâcherait tout ! Et puis, elle me connaît trop bien, elle me fuit comme la peste sous cet angle là ! » Quelle fille intelligente s’intéresserait à un coureur de jupons avéré. Non parce que c’est ce que je suis, un gros connard qui en a jamais assez.
Mais je m’inquiète pour mon pote. Il ne semble jamais prendre une seule seconde pour lui. Enfin sauf pour nos excursions, là, il a toujours le temps. Je ne sais pas ce qui le bloque, on dirait qu’il se met des bâtons dans les roues lui-même, alors je lui propose un coup de main. Je ne sais pas, il faut qu’il se détache de tout au moins un moment, qu’il se trouve un plan cul régulier pourquoi pas ! N’importe quoi qui pourrait lui faire du bien ! Je rigole alors et je finis par lui dire « Tu travailles trop, ok ! T’as pas une petite collègue qui te plait bien ? Ou un collègue ? Putain Elias, je sais même pas ce que tu aimes. Je pourrais rameuter des gens pour une prochaine excursion… » Je fais une petite moue, m’arrêtant quelques secondes dans mes recherches et je finis par lui dire « Si je suis lourd, hésite pas à le dire, mais je m’inquiète pour ton petit coeur qui est en train de se dessécher ! » Et je tape sur sa poitrine pour montrer de quoi je parle. Car j’ai l’impression qu’il ne sait plus ce que c’est d’avoir un coeur qui bat la chamade dans sa cage thoracique ! Enfin là, je pars dans un délire, sur la maison qu’il m’a proposée qui semble vachement intéressante, sur Emma qui me plait pas mal. En gros, je parle pour tout et rien dire à la fois. Il me connaît, il sait comment je suis. Je suis toujours là pour combler les manques de discussions. Et même quand il n’y a pas de manque. Je parle trop même !
Mais voilà qu’il m’avoue être gay et semble mal à l’aise. Personnellement, je m’en fous, il reste Elias, mon pote. Un de mes meilleurs potes même ! Je continue ce que je fais, mais je m’arrête quelques secondes puis je lui dis sincèrement « Ok, des gars ! Euh, je pourrai pas juger de la qualité, mais je suis sûr que je dois avoir des potes qui pourraient te plaire ! » Mais je sens vite qu’il semble crispé de m’avoir dit ça. Je le remarque à ses mains qui tremblent et à sa manière d’être toute crispée, qui ne lui ressemble pas du tout ! Alors je me rapproche de lui, je passe ma main autour de son épaule et je rajoute pour clore l’instant de gêne « Au moins, on ne se marchera pas sur les pieds pour les conquêtes ! Allez, on retourne à l’urbex, mon pote ! » Non, je ne suis pas du genre à dire “ c’est pas grave mon pote, je t’aime quand même “ mais ma manière plutôt maladroite de lui faire comprendre, je l’espère, suffira ! Je ne suis pas homophobe, pas du tout. Je peux avoir des tonnes de défauts, mais je ne laisserai personne m’insulter d’une chose que je ne suis pas ! Et maintenant, je peux revenir à son histoire de plan de la ville. Je fais une petite moue « Tu as dit qu’elle était à vendre, c’est ça ? Donc elle a toujours un propriétaire bien réel. Elle sera sûrement totalement fermée et on devra forcer un passage pour entrer. Tu crois pas que la meilleure solution serait d’en demander la location pour une nuit, voir un mois si jamais ! Histoire de bien pouvoir tenter des expériences dedans ? Je sais pas, j’aime l’adrénaline de rentrer sans me faire voir, mais là, c’est une effraction pire que de rentrer dans ce genre-ci d’endroit ! » Je dis cela en montrant l'hôpital où nous nous trouvons !
C’est quand je me mets à parler d’Emma, pour avoir l’avis de ton pote sur cette histoire qui ne fait que commencer, mais qui est vouée à l’échec, quand une porte claque violemment. Comme si elle avait été lancée avec force par un individu. Il y a quelqu’un c’est pas possible autrement ! Quand Elias me propose d’aller voir, je lui fais un signe positif de la tête. Nous ne venons pas d’arriver pour partir en courant au premier bruit. On verra si y a du monde, on devra déguerpir, mais s’il n’y a personne, on va devoir vérifier que ce ne soit pas le vent ou autre chose du genre. Alors nous y allons, mais plus j’avances, plus je me sens pas à mon aise. Je ne sais pas ce que je ressens, mais je me tais, je ne dis rien. On continue juste, montons les escaliers. Je prends l’appareil photos dans mes mains. Non pas pour immortaliser ce moment, mais parce que si jamais un gars apparaissait devant nous, je l’aveuglerais du flash qui est puissant, puis on aurait le temps de se tirer. Mais rien ! Il n’y a rien d’autre que de la poussière. Et pas le moindre signe de vent. Mais pour en être sûr, je sors de mon sac que j’ai posé sur le lit bancal, une feuille de papier blanc normale. Je la tiens du bout de mon bras et elle ne bouge pas. Je dis alors à mon pote quand j’abaisse cette dernière « Pas de vent et oui, c’est ça, il a fermé pour mauvaise réputation. T’as du matos pour ça ? Un enregistreur ou autre ? » J’aurais toujours rêvé de faire comme dans les émissions qu’on voit sur internet au sujet des fantômes, telles que Ghost Adventures. On pourrait poser des questions tout en enregistrant et pour voir si quelqu’un répond sur les ondes. En attendant sa réponse, tu as rangé la feuille et tu t’avances vers la fenêtre pour être certain de ce que tu as dit et que ce ne soit pas du vent, mais rien. Elle est bien barricadée !
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« Elias Sterling »
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•• Nationalité(s) : américaine
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•• Statut marital : le célibat est attirant. il est incommensurablement paisible et dépourvu de drame inutile. il est ton amant attitré qui te permet de papillonner sans qu’on vienne te couper les ailes.
•• Orientation sexuelle : tu es secret. si on pose pas la question sur ta sexualité tu répondras sans grande conviction. tes préférences se tournent vers des formes plus viriles, plus masculines. c’est une évidence.
•• Métier / études : des symboles ésotériques pour certains. des formules abracadabrantes pour d’autres constituent ton domaine d’expertise. la chimie t’a attiré dans ses filets et tu n’as pas résisté à l’envie de l’étudier pour en faire ton métier plus tard. un rat de laboratoire, c’est ce que tu es. dans ton temps libre, tu aimes affronter tes peurs les plus viscérales, fanatique du monde surnaturel, tu exploites des bâtiments oubliés par chronos à la recherche d’une quelconque entité oubliée.
•• Quartier d'habitation : tu vis dans un somptueux pavillon à brooklyn. à tes vingt ans, tes parents t’avaient acheté ce petit bijou pour que tu puisses t’épanouir loin de la maison familiale. tu le partage avec santiago et carter, tes nouveaux colocataires.
Le petit plus Triggers: les personnages trop cringe, mary-sue, violence contre les animaux Warnings: pédophilie, agression verbale et sexuelle, maltraitance enfantile Pronoms IRL: elle, she, her Pseudo: magma. Pseudo discord: demande Multicomptes: priam, dae, joakim & sade Habitude rp: je rp en tu, je fais au minimum 500 mote et je peux atteindre les 2000, je rp selon l'inspi Couleur rp: #cc0000 Disponibilité rp: pas disponible
Elias Sterling
Jeu 9 Nov - 10:48
It's close to midnight And something evil's lurking in the dark Under the moonlight You see a sight that almost stops your heart
Tes sourcils se froncent à la possibilité de vous faire surprendre par un vigile. Tu espères qu’il ne soit pas un grand sportif et que vous courez plus vite que lui. Cela arrive souvent, que les aventuriers se fassent choper après avoir commis une infraction. Tu n’as pas très envie d’en faire partie même si, malheureusement, cela fait partie du jeu. “ J’espère que non. ” S’il y avait un vigile, il serait déjà sur place non ? Il serait soit à l’extérieur ou à l’intérieur à vérifier s’il y a personne qui rôde autour du bâtiment. Ton ami te fait remarquer la mousse et la végétation qui envahissent les fenêtres et quelques coins des murs. Il a raison. Heureusement qu’il est là pour t’aider à garder la tête sur les épaules et ne pas partir loin dans tes réflexions. Tu doutes fort que le gouvernement utilise ce vieux bâtiment coupé de toutes civilisations pour en faire un quelconque laboratoire. Il y a aucune chance même si, au plus profond de ton être, tu espères découvrir un espace souterrain où des scientifiques mènent des expériences étranges. Ce serait le comble. Tu reviens au moment présent et tu hoche la tête ; tu liras les composants de la boisson. Si tu trouves qu’il y a un élément qui nuit à la santé ou présente un risque pour vos jeunes spectateurs, t’auras aucune difficulté à le dire. Peu importe le prix qu’ils sont capables de mettre, vous faites attention dans le choix de vos sponsors. Ce qui aide aussi à maintenir la bonne image de votre chaîne jusqu'à aujourd’hui respectée. C’est le travail de Lennon et elle le fait merveilleusement bien. Tu as toujours su qu’elle était intelligente. Là, tu as la énième preuve ; elle résiste aux avances de ton casanova d’ami. Phoenix tu l’aimes sincèrement mais il faut jamais lui confier le coeur d’une femme. Il n’en prendra pas soin. Il est un peu comme toi finalement non ? Tu couches pour le plaisir charnel et rien d’autre. Tes conquêtes se limitent à des gars rencontrés dans des bars gays. Il y a aucun appel à l’engagement. Aucune possibilité de trouver autre chose que du sexe et ça te va. Tu n’es pas prêt pour autre chose. Te caser signifie devoir t’ouvrir à la personne. Devoir lui parler de ton enfance et les conditions dans lesquelles tu as grandi. L'atrocité que tu as vécu. Aussi, tes traumatismes t’ont convaincu que finalement, tu mérites pas d’être aimé. Tu es souillé de la pire des manières. Qui voudrait de toi ? Personne et tu le crois dur comme fer. Alors quand ton ami te parle de ton coeur, tu regardes son emplacement dans ta cage thoracique. “ C’est un organe vital parmi tant d’autres. Il nous maintient à vie, c’est tout. ” Tu n’es pas un romantique et en plus, tu es un scientifique qui croit pas à des conneries comme “le coeur qui aime une personne”. Pour toi, c’est le cerveau qui produit des substances qui pousse le myocarde à accélérer quand l’envie de s’accoupler s’impose. Rien de plus. Tu tais tes observations de savant désabusé et tu avoues tes préférences sexuelles à ton ami. Ça te met toujours dans tous tes états. Tu détestes cette notion de faire son coming out pour te sentir “bien”. Est-ce que les hétérosexuel.les sont obligé.es de faire le leur aussi ? Non. Tu en parle à ton ami parce que tu en as envie malgré le malaise que cela te procure. Contre toute attente, tu ressens son bras contre tes épaules et les mots qu’il murmure te font littéralement éclater de rire. Là, il efface toute gêne. Ce bon vieux Phoenix ne te sort pas le discours barbant et habituel sur l’amour et l’acceptation. Il reste fidèle à lui-même et tu apprécies cela, justement. “ Ah ça, y a aucun risque. ” Il propose de revenir à l’urbex et tu ne peux qu’accepter. “ Hum. Je dois vérifier le nom de son propriétaire et peut-être proposer de la louer pendant un jour. Je pourrai aussi être transparent et lui expliquer la raison de cette location. Peut-être qu’au fond, il ou elle veut savoir ce qui se passe sur sa propriété ? Moi en tout cas, à sa place, je voudrais comprendre. ” Demain, tu feras le nécessaire comme ça, tu pourras avancer dans tes projets ; soit garder ce lieu pour votre prochaine excursion ou en choisir un autre. C’est à ce moment-là qu'un bruit d’une porte retentit puissamment, te faisant sursauter. Curieux, tu montes à l’étage avec ton ami et vous découvrez … rien. Il y a personne dans la chambre encore moins dans le couloir. Tu pars du principe que si c’était un agent de sécurité, il se cacherait pas au contraire. Vous êtes en tort et pas lui. Ton ami fait sortir une feuille pour vérifier si le vent est le coupable dans cette histoire. Celle-ci reste immobile. T’as soudainement une lueur d’excitation au fond de tes billes émeraudes. Elle se propage jusqu’à ton faciès surtout quand Phoenix vérifie la fenêtre. Elle est solidement fermée. Tu te retiens de te mettre à taper des mains et de sautiller de joie. C’est encore tôt pour clamer la présence d’un esprit, vous allez en avoir le coeur net dans quelques minutes. “ Qu’est ce que tu crois, tu m’prends pour un amateur ? ” Espiègle, tu poses ton sac sur le lit et tu sors deux appareils ainsi qu’un trépied. “ C’est un mètre magnétique détecteur de fantômes et bien sûr la caméra. ” Celle que vous avez achetée ensemble. Tu la poses sur le trépied et tu sors un autre appareil, un enregistreur audio capable de détecter les ondes les plus basses. “ Putain j’ai toujours rêvé de faire ça ! ” Et le mot est faible pour décrire ton enthousiasme. Tu allumes le tout et tu donnes le premier appareil à ton ami. Sur l’écran de la caméra, il y a aucune silhouette qui se dessine dans le champ de vision. Patience. Tu te racles la gorge. “ Ok … Bonjour. Il y a quelqu’un ? ” Dis-tu sans arrêter de fixer la caméra. Quand, soudain, tu vois une petite masse rouge apparaitre pour ensuite disparaître rapidement. Tu sursautes en pointant l’écran. “ Putain dis-moi que tu as vu ça ? ”
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Phoenix Blake
Mar 14 Nov - 22:44
Thriller night
« Elias & Phoenix »
Je lève les yeux au ciel quand mon ami me lâche une connerie sur le coeur. Je le regarde avec un air désespéré de lui faire comprendre que l’amour est la plus belle chose qui puisse arriver à quelqu’un. Mais je ne doute pas que le jour où monsieur Sterling sera amoureux pour la toute première fois, il y croira aux bienfaits d’avoir un coeur qui puisse faire autre chose que battre pour rien. Bon ok, moi je suis amoureux, toutes les deux semaines d’une femme différente. Mais je me dis que je préfère trop aimer que pas assez. Et puis, ce n’est pas de ma faute si toutes les femmes sont belles. Enfin vous voyez ce que je veux dire « Ne me dis pas ça, tu me le brises ! » Et dans un geste démesuré et totalement théâtral, je fais semblant d’avoir une attaque cardiaque. Mais bon, on n’est pas dans un endroit où on a le temps de rigoler de tout et de rien, alors je reviens au sérieux. Mais Elias voit les choses de manière différente et préfère rester dans le personnel, en me parlant de son orientation sexuelle. Mais pour moi, ça ne change rien, absolument rien. Il reste un de mes deux meilleurs potes. Il reste une des deux personnes que j’apprécie le plus et surtout, il reste un gars avec qui j’aime passer du temps. Maintenant, je vais pas tomber dans le débile ni dans l’émouvant, je vais juste, à ma manière, lui montrer que je ne changerai pas pour ça. Dans un sens, il est beau gosse, donc tant mieux pour moi, ça me fera plus de poulettes à dévorer.
Mais on revient à l’urbex, la raison principale pour laquelle nous sommes là. Nous pourrons parler des directions que comptent prendre nos coeurs par la suite, quand on sera sorti de ce lieu immense. « Soit il va vouloir savoir et nous la louera, soit il va totalement nous fermer les portes, parce qu’il ne faut pas oublier que c’est à double tranchant. Il a peut-être pas envie de tout savoir alors qu’il compte la vendre ! » Je ne sais pas si moi, je voudrais savoir tout ça. Parce que je risquerais bien de ne plus pouvoir la vendre s’il se passe quoique ce soit dans ses murs. Enfin, il a un plus grand pouvoir de persuasion que moi face aux styles proprio. Il semble plus crédible ! Donc je lui fais confiance pour qu’on ait les clés du lieu pour une journée ! On est d’un coup coupé dans notre conversation et notre exploration par un bruit de porte qui claque à l’étage. On se regarde, on attend de voir si on ne va pas devoir courir pour s’enfuir, mais rien. Alors bien entendu, attiré par la curiosité, on monte très rapidement. Rien ne prouve qu’on ne soit pas seul, au contraire. Mais rien ne prouve non plus que ce soit du vent ou autre effet explicable. Bien au contraire, nous n’avons pas un brin de vent, pas une fêlure même dans la vitre barricadée, pas un filet d’air où que ce soit. Alors je demande à mon pote s’il a tout pour chercher les fantômes. J’y crois moins que lui, mais j’espère qu’un jour, je pourrai dire avec certitude “ j’y crois ! “. Je rigole quand il me demande si je le prends pour un amateur et je lui réponds du tac au tac « Oh que non, mais comme on n’a jamais rien eu, je me suis dit que tu en avais peut-être marre de te balader avec tout pour rien ! Ca serait enfin notre chance aujourd’hui ? » En gros le seul soit où nous ne faisons pas ça pour la chaine, sera notre grand soir. Le premier urbex depuis bien longtemps qu’on fait juste pour nous, c’est le soir où on aura peut-être des preuves du surnaturel. Je suis anxieux et impatient à la fois. Lorsqu’il me dit ce qu’il a avec lui, je lui tends la main et je lui demande « Files moi le mètre, je vais faire le tour de la pièce voir si y a des ondes quelque part ! » Pendant qu’il installe le matériel vidéo, je prends l’autre appareil et je commence doucement à faire le tour de la pièce, mais rien. Pas d’ondes, pas de montée en puissance, rien d’autre que le seul petit point vert. Je soupire mais je viens me placer derrière la caméra avec lui avant qu’il ne se mette à parler dans l’appareil enregistreur pour avoir une chance d’avoir un PVE digne de ce nom. Je tends mon appareil vers l’enregistreur… Mais je ne regarde pas du tout la caméra. Je suis en train de regarder derrière moi, car j’ai eu l’impression qu’on me touchait dans la nuque, comme une caresse. Personne, rien ! Comme par hasard et là, il se met presque à crier qu’il a vu quelque chose sur la caméra. Je me tourne et ne vois rien, par contre, le mètre devient fou et va dans le rouge. « Putain, y a quelqu’un ! » Ce n’est plus une question, c’est une certitude et je demande alors pour l’enregistrement « C’est vous qui m’avez touché la nuque ? » Mais à peine fini ma phrase que mon téléhpone vibre dans ma poche en même temps que celui de Elias. Putain, je fais un bond pas possible et je crois même que j’ai poussé un cri. Je prends mon téléphone et je vois que c’est Dami qui va débarquer. Je suis super content, ça va le faire triper lui aussi toute cette histoire ! Je regarde alors Elias en attendant l’arrivée de l’autre mousquetaire et je lui demande « Tu avais vu quoi ? La cam, elle enregistre ? On pourrait se le repasser pour voir, non ? Ou bien on attend la sortie et on continue dès que Dami est avec nous ! » J’ai envie de voir et en même temps, j’ai envie de continuer l’expérience, car j’ai vraiment l’impression qu’il y a quelqu’un qui est maintenant entre nous « Sens ça comme il fait froid, putain ! » et je mets mes mains entre nous deux. Mais on entends des bruits de pas en bas, rien de surnaturel, je crie alors « On est à l’étage ! » Putain qu’il se dépêche pour vivre ça avec nous !
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Damiano Ricci
Mar 21 Nov - 13:11
Thriller night
Elias, Phoenix & Damiano
J’étais pas trop fan de bosser en soirée, j’aimais profiter de mes fins de journées pour être avec mes meilleurs potes ou de faire ce que je fais le mieux, des photos à caractère artistique et de les développer dans ma chambre noire. C’est ça être passionné ! Mais bon, malgré tout la bonne nouvelle était qu’on allait arrêter plus tôt, car les conditions pour que ce shooting photos soit réussi n’étaient plus au rendez-vous. Ce qui me fait délirer c’est de voir ces jolis modèles courir de leur chaise jusqu’à l’endroit où elles doivent se faire photographier et c’est pour pas le petit radiateur mis à leur disposition qui va les réchauffer. Perso, moi, j’ai chaud, car leur petite tenue de Noël me réchauffe le coeur. Surtout qu’un de mes collègues leur a dit que j’étais un peu timide. Alors oui, elles se sont bien marrées, mais j’ai pris sur moi et je n'ai pas tourné de l'œil. J’ai évolué depuis quelques années tout de même. Je ne suis plus un débutant et les mannequins, je les connais. Avant je les voyais comme des anges inaccessibles, mais maintenant, je vois juste de petites folles qui rêvent de becter à volonté le buffet. Il y a des tonnes de bonnes choses, sauf que leur agent est derrière et choisit quoi et combien. Après, il y a de grosses connasses, mais là c’est du haut niveau et c’est souvent celles qui ont l’air le plus sympathiques au premier regard. C’est un travail de folie, mais malgré ma fatigue, ma seule envie c’était de rejoindre Phoenix et Elias en urbex !
J’avais envoyé un SMS pour les prévenir qu’ils ne m’assoment pas par peur et vu ma chance, je me serais tapé deux semaines à l’hosto. Et comme je n'ai pas de petite amie, mes deux potes auraient dû être à mon chevet pour me chouchouter. Dans ma voiture, je tape le nom du lieu et direction un endroit sale et lugubre, comme tous les autres. Trente cinq minutes plus tard, je me gare près de leur véhicule et perso, j’ai déjà peur. J'éteins la musique. Enfin même si la plupart de mes collègues appellent ça du bruit avec des hurlements inaudibles, mais ils ne connaissent pas la subtilité. Ce qu’ils ne comprennent pas non plus c’est que je ne suis pas un mouton qui suit les gros loups de l’industrie musicale. La voiture est bien fermée et je m’avance d’un pas non sûr de moi jusqu’à trouver le petit passage pour entrer. Je déteste me retrouver seul, même si je sais que je vais vite les retrouver.
A l’intérieur, je regarde si la fenêtre est toujours bloquée et allume ma petite lampe torche et j’avance. L’endroit me semble énorme et il n’y a pas encore de bruit. Mes deux amis ne doivent pas être dans les parages. Je remarque des tiroirs ouverts et ma plus grande peur c’est tout ce qui peut ramper, alors je me méfie, mais non, je tombe juste sur des photos et documents. Après avoir fait rapidement le tour de la pièce avec ma lampe, c’est sûr que ce spot n’a pas été découvert par le grand public et heureusement … Un frisson me parcourt le corp quand j’ai l’impression d’entendre taper à la fenêtre. Je sais que c’est dans ma tête, mais mes deux jambes avancent un peu plus vite vers les autres pièces. Les hôpitaux me font toujours peur, tout comme les anciennes prisons. Je n’aime pas ça. Après si j’aime ça, mais groupé ! Ca doit faire la minute que je suis là lorsque je tombe face à des escaliers et je pense entendre du bruit à l’étage. Bien entendu, la voix qui résonne me fait sursauter et on voit que ma lumière a fait un bond « Ok ! J’arrive ! » Je hurle aussi et monte quatre à quatre en faisant attention et quand j’arrive face à ces deux-là ! Le souffle un peu court, j’essaie de paraître le plus zen possible. Je les regarde tous les deux « J’ai raté quoi ? » L’ambiance est bizarre mais je ne parle pas d’eux. C’est l’ambiance que dégage ce lieu. D’ailleurs, je fais aller ma lampe torche derrière Elias et fais mine de rien. J’ai rien vu juste une très mauvaise impression.
•• Les crédits : strange-hell (av) signa (moi-même)
•• Âge : 26
•• Nationalité(s) : américaine
•• Origine(s) : irlandaises et mexicaines.
•• Statut marital : le célibat est attirant. il est incommensurablement paisible et dépourvu de drame inutile. il est ton amant attitré qui te permet de papillonner sans qu’on vienne te couper les ailes.
•• Orientation sexuelle : tu es secret. si on pose pas la question sur ta sexualité tu répondras sans grande conviction. tes préférences se tournent vers des formes plus viriles, plus masculines. c’est une évidence.
•• Métier / études : des symboles ésotériques pour certains. des formules abracadabrantes pour d’autres constituent ton domaine d’expertise. la chimie t’a attiré dans ses filets et tu n’as pas résisté à l’envie de l’étudier pour en faire ton métier plus tard. un rat de laboratoire, c’est ce que tu es. dans ton temps libre, tu aimes affronter tes peurs les plus viscérales, fanatique du monde surnaturel, tu exploites des bâtiments oubliés par chronos à la recherche d’une quelconque entité oubliée.
•• Quartier d'habitation : tu vis dans un somptueux pavillon à brooklyn. à tes vingt ans, tes parents t’avaient acheté ce petit bijou pour que tu puisses t’épanouir loin de la maison familiale. tu le partage avec santiago et carter, tes nouveaux colocataires.
Le petit plus Triggers: les personnages trop cringe, mary-sue, violence contre les animaux Warnings: pédophilie, agression verbale et sexuelle, maltraitance enfantile Pronoms IRL: elle, she, her Pseudo: magma. Pseudo discord: demande Multicomptes: priam, dae, joakim & sade Habitude rp: je rp en tu, je fais au minimum 500 mote et je peux atteindre les 2000, je rp selon l'inspi Couleur rp: #cc0000 Disponibilité rp: pas disponible
Elias Sterling
Mer 29 Nov - 12:11
It's close to midnight And something evil's lurking in the dark Under the moonlight You see a sight that almost stops your heart
En acceptant cette virée avec ton ami, tu n’as pas pensé ne serait-ce qu’une seule seconde, pouvoir t’ouvrir à lui. Tu es fermé comme une huître. Tes collègues et ami.es ignorent tout sur ta vie passée et tu préfères qu’elle demeure cachée. Tu veux qu’ils voient la personne que tu es, maintenant. La jeune homme qui travaille dans une entreprise pharmaceutique, l’amoureux de l’urbex, ta passion salvatrice. Elle t’a aidé à plusieurs reprises notamment pour fuir tes démons. Ceux qui se cachent dans l'obscurité et qui manifestent une fois tu es seul. Là, tu n’es pas proie à la solitude. Pheonix est là. Vous parlez, vous rigolez et vous reprenez votre sérieux dès qu’un bruit retentit au premier étage. Il faut aller voir. Il faut vérifier si un agent de sécurité est présent et dérange votre duo ainsi que vos plans de ce soir. Une fois à l’étage, l’évidence vous frappe ; il n'y a aucune présence. Du moins, aucune présence humaine. Tu sors alors une armada de matériels capables de détecter les esprits. Tu as toujours rêvé de pouvoir l’utiliser. Aux mots de ton ami, tu souris de toutes tes dents. “ Ouais c’est vrai mais comme t’dis, ce sera peut-être notre chance ce soir. ” En plus, en débarquant dans cet hôpital, tu n’avais aucune espérance. Tu voulais juste passé un petit moment sympathique avec ton ami, comme au bon vieux temps. Sans caméra, sans enregistrement. Pour votre fun, pour votre passion mutuelle pour l’urbex. Visiblement, cela va changer. Si vous découvrez quelque chose, tu te battras de toutes tes forces afin de poster la vidéo sur votre chaîne youtube. Tu n’y penses pas pour l’instant. Tu veux rester concentré. Tu donnes le mètre au brun. Rien, l’appareil ne s’affole pas tout de suite. Cependant, quand tu vois une petite silhouette rouge sur l’écran, tu deviens excité tout comme ton ami ; le mètre qu’il tient entre ses mains s’affole. Tu as soudainement froid surtout après la confirmation de ton ami ; vous n’êtes pas seuls dans cette pièce.
Tu t’apprêtes à parler une fois de plus. Poser des questions à cette entité qui vous accompagne quand soudainement ton téléphone et celui du brun se mettent à vibrer. En chœur vous sursautez. Tu lâches un juron non sans consulter le message que tu viens de recevoir. C’est Damiano qui vous rejoint. Ça y est, l’excitation est grandiose pour que tu puisses tenir en place. “ Ouais elle a tout enregistré ! Notamment nos voix et le mètre. ” Tu attends impatiemment que le troisième mousquetaire vous rejoigne et prend part à cette situation inédite que vous vivez. “ On t’a touché la nuque ? M’dis pas que c’est une fille fantôme et qu’elle craque sur toi ? ” Tu as à peine le temps de rigoler qu’un bruit alerte tes sens et cela provient du rez-de-chaussée. C’est le photographe. Tu éclaires l’entrée de la chambre pour qu’il vous détecte plus facilement. Une fois les trois réunis, tu te fais pas prier pour lui expliquer la situation. “ On était en bas quand on a entendu un bruit. On pensait qu’il y avait un vigile ou j’ne sais quoi mais non ! Il y a rien ! Moi j’ai vu une forme rouge sur la caméra, juste là. ” Tu poses ton doigt sur l’écran de la caméra, pointant l’endroit, tout près du bureau. “ Et Nix a senti quelqu’un lui toucher la nuque. Et puis t’sens pas qu’il fait trop froid dans la pièce ?” Cependant, malgré la température soudainement glaciale, il n'y a rien. La caméra ne détecte rien, le mètre ne s’affole plus. Tu fronces les sourcils. L'entité ne se manifeste plus mais ce n’est pas si grave. Il faudrait se montrer patient dans ce genre de situation. En attendant, tu ne supportes pas le silence alors tu te tournes vers le nouveau venu. “ Toi, ça v ” T’as même pas le temps de finir ta phrase, la chaise qui était collée au bureau, bouge légèrement en arrière. Les yeux écarquillés, tu la pointes des yeux. “ Putain j’ai la chair de poule ! ” Littéralement.
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Kill me, cure me, take me home
I wish I'd never seen your face. Better done wonder phase. I need an echo, not your praise, straying from the god you nailed. My mother, my mother, my mother never told me that Love is just a bloodsport.
I wish I'd never seen your face. Better done wonder phase. I need an echo, not your praise, straying from the god you nailed. My mother, my mother, my mother never told me that Love is just a bloodsport.
