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{  “ -  L'alcool ne résout pas tous les problèmes, ceci dit, le lait et l'eau non plus ”
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crédit/ bricole gif : hypnoze feat. @Ava Sterling

Alcool. Tu avais besoin d’alcool. En grande quantité. C’était ce que tu avais en tête depuis que tu avais tourné le dos à Aleksey. Alors qu’elle t’attendait dans sa magnifique robe de mariée. Et toi tu n’avais pas eu le courage de franchir le pas et de te faire passer la corde au cou. Tu lui avais clairement poser un lapin. Et tu avais honte de toi. Clairement. Pourtant, tu étais le genre d’homme qui se fichait de l’opinion publique. Mais pas cette fois. Celle-ci tu avais brisé non seulement son cœur mais le tien. Car tu savais que tu ne pourrais pas la rendre heureuse éternellement. Et selon un proverbe « la meilleure façon d’aimer c’est de laisser l’être aimé partir ». Ou une connerie dans le genre. Tu ne savais plus. Tu ne comptais plus. La seule chose que tu te rappelais était que tu avais pris le strict nécessaire et tu t’étais tiré pour Las Vegas. Que tu avais posé tes valises dans une suite. Et que tu avais posé tes fesses devant les machines à sous en donnant un généreux pourboire à un serveur pour que ton verre ne soit jamais vide. Ouai. Tu savais être convainquant. Et tu avais besoin de te changer les idées. Non que l’argent te manquait, tu en avais plein, juste le bruit des machines te faisaient oublier un moment Aleksey. Et la réaction qu’elle avait eue quand elle aurait compris que tu ne viendrais jamais. Tu étais un lâche. Un putain de lâche. Au point que tu avais éteins ton téléphone portable pour éviter qu’on t’appelle ou pire te géolocalise. Las Vegas était ton refuge. Pour un jour. Puis deux. Puis trois. Puis une semaine. Les jours étaient enchainés. Mais se ressemblaient tous. Boire. Jouer à des jeux d’argent. Décuver. Et c’était reparti pour un tour. On t’avait bien proposé de boire une boisson chaude à la place des verres d’alcool que tu t’enfilais mais tu avais secoué la tête. La seule boisson chaude que tu buvais était un Irish Coffee. Et non un simple café. Tu poussas un soupire en actionnant une nouvelle fois la machine à sous. Tu avais revêtu d’un pull orange qui t’allait bien au teint et tes lunettes fumées ne te quittaient pas le visage. Si d’habitude tu les mettais car tu les adorais, tu trouvais le côté pratique maintenant. Personne ne voyait ton état de gueule de bois. Même si tu supportais très bien l’alcool, merci la famille, ça laissait des traces sur ton visage. Un bruit d’une machine te fit sourire. Tu avais une certaine chance aujourd’hui. Les gains montaient. Te faisant rappeler que le bruit était l’effet que produisait ton cœur qui explosait en milles morceaux. Et merde, il te fallait un nouveau verre. Tu attrapas ton verre qui était vide et le leva en direction du serveur. Ce n’était pas le même que d’habitude. Lui était asiatique et parlait sa langue natale. Par chance, tu étais polyglotte et il n’y avait pas de barrière de langue entre vous. Le liquide ne tarda pas à être transverser dans ton verre et il avait laissé la bouteille à tes cotés. Parfait. Tu portas ton énième verre à tes lèvres et tu tournas la tête vers une voix féminine qui s’était adressé à toi. Une femme. Plus jeune que toi. Qui devait être en soirée avec ses amies vu les dites amies qui te regardait assise à leur table de Black Jack. Tu secouas la tête. Elle s’impatientait. Le croupier également. « Je suis curieux de voir si ça marche vraiment cette combine la. » Puis tu avais toujours eu du mal à dire non. Tu soufflas sur ses dés avant de reprendre ton verre en main. « Si jamais ça marche, vous m’en devez une. » Surtout si le montant était important. Tu espérais juste que ta chance à toi tu ne l’avais pas mis tous dans ses dés et qu’il t’en restait encore. « J’espère en avoir garder pour moi. Vous devez y aller, le croupier va faire une crise cardiaque si vous ne rappliquer pas à sa table. » Tu portas ton verre à tes lèvres en actionnant le bras mécanique. Et posa tes yeux sur l’écran. La machine roula.

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Tu regardais la jeune femme partir avec ses dés dans sa main. C’était bien la première fois qu’on te demandait de souffler sur des dés pour porter chance. Si le geste aurait pu paraitre étrange, toi ça t’avais fait sourire. Elle semblait être absolument sur de son coup. Qu’elle allait gagner juste parce que tu lui avais donné de la chance sous forme d’air. Et ça te faisait sourire. Tu reportas ton attention sur ta propre machine à sous. Tu ne calculais plus le nombre d’heures où tu t’étais posé devant celle-ci. Mais tu savais une chose. Tu aimais le bruit qui en sortait quand tu gagnais des jetons. Et tu savais qu’elle pouvait t’en donner davantage. Non que l’argent a été un souci pour toi, tu es né avec une cuillère en or dans la bouche et ton compte bancaire était plein à craqué, juste tu aimais ça. Gagner. Ce n’était pas pour rien que tu travaillais dans l’immobilier de luxe. Comme dans le milieu de la justice, il y avait des requins partout. Encore plus quand la somme passait les sept chiffres. Tu aimais gagner. Et tu tiras un sourire quand la machine te redonna de nouvelles pièces. Te faisant avaler une gorgée de ton précieux sésame. Si c’était de la chance liquide que tu buvais, tu continuerais à le faire. Jouer à cette machine te faisait oublier la lâcheté que tu avais fais preuve. Auprès d’Aleksey. Pourquoi tu avais fait ça au juste ? La planter le jour de votre mariage alors que c’était toi qui lui avais demandé sa main ? Tu te traitais de con en tirant sur le levier de la machine à sous. Non que tu n’étais plus amoureux, tu l’aimais vraiment. C’était sans doute pour cette raison que tu n’avais pas franchis les portes de l’église. Car mariage était très souvent accompagné de fonder une famille et toi tu n’en voulais pas. Pas comme elle. Tu te rassurais en disant que tu avais fait l’acte le plus courageux et le plus amoureux pour Aleksey. La laisser partir. Ouai. Tu te rassurais vraiment comme tu le pouvais. Car les autres ne penseraient jamais ça de toi. Encore moins Aleksey. Tu avais agis en connard. Et pour ce fait, tu avais besoin de tout oublier. La bouteille d’alcool à tes côtés se vidait. Et les jetons tombèrent. Tu tournas ta tête quand la fameuse femme de tout à l’heure revenait vers toi tout sourire. « Toujours et toi tu as gagné ? » Tu ne la connaissais pas du tout mais si elle était portée sur le tutoiement, tu ferais de même. Sa réponse ne tarda pas à arriver à tes oreilles et tu souriais à ses propositions pour te remercier. De l’avoir fait gagner. « Toutes mes félicitations, ça mérite bien un nouveau verre ça. » Ton verre était vide et tu le remplissais de la bouteille que tu avais commandée. Celui de ta partenaire de soirée était encore plein. Et elle semblait autant que toi avoir abusé de la boisson. « Si tu as quelque chose de plus fort que ça pour me faire oublier à quel point j’ai agis comme un connard, je ne dis pas non. » On t’avait bien dit au bar que cette bouteille était la meilleure qu’ils avaient en stock mais pour le moment, elle ne te faisait aucun effet. Tu tiras une nouvelle fois sur la machine qui ne te donna rien cette fois. « Je m’appelle Enzo. » Quitte à se tutoyer autant savoir le prénom de l’autre non ?

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Picoler. C’était devenu ton objectif de la soirée. Ton cheval de bataille. La bouteille que tu avais commençait à se vider. Comme la machine à sous qui donnait petit à petit des pièces. Ce n’était pas l’effet des machines à sous qui te mettait en plein extase. Non. Tu n’avais jamais été quelqu’un porté sur ses jeux la. Non. Tu savais que c’était l’alcool qui montait doucement mais surement à ton cerveau. Tu savais bien tenir l’alcool. Et qu’il te fallait énormément d’alcool pour te rendre minable. Et c’était ce que tu cherchais. Oublier ce que tu avais fait. Te mettre minable car après tout tu étais minable. La joueuse aux dés chanceux proposa de passer directement à l’absinthe. Un alcool que tu ne connaissais pas personnellement mais que tu savais les effets dévastateurs. Elle rajouta une autre proposition avec de la tequila flambé. Moins fort. Moins cruel. Moins ce que tu voulais. Alors que tu avais ton verre à tes lèvres, elle se présenta à son tour. Tu avalas le reste de ton verre et l’apposa sur le rebord de la table. « Je suis ton homme pour l’absinthe, Ava. » Tu cherchas un serveur des yeux. Derrière le bar, il devait bien en avoir même si vu le degré de l’alcool, il ne donnait jamais la bouteille. Sauf contre une masse de billets verts ce que tu pouvais donner. L’argent ce n’était clairement pas un problème pour toi. « Je travaille dans l’immobilier. » Tu gardais pour toi que tu n’étais pas seulement un agent immobilier mais que tu en étais le patron. Tellement que tu avais même ton propre émission sur Netflix. Tu n’étais pas quelqu’un de vantard. Et vu l’état que tu allais te mettre et elle également, tu savais que ce genre d’informations allaient disparaitre de vos cerveaux. Donc autant en dire le minimum. « Et toi ? Qu’est ce qui t’emmène dans la ville de tous les péchés ? » C’était la beauté de la ville. Tout ce qui se passait à Vegas restait à Vegas. Tu captas le regard d’un serveur que tu fis venir et lui passa ta commande. Il marqua un temps d’arrêt vu la demande mais ta « carte black » suffit à le faire revenir vers vous avec le précieux présent. Deux verres de shoot l’accompagnaient. Tu les remplissais. Et tendis celui à Ava. « Tout ce qui se passe à Vegas reste à Vegas ! » Tu ne savais jamais à quel point cette parole allait être véridique. L’absinthe coula dans ton œsophage. Te brula la gorge. A petit feu. Deux autres verres suivirent. Encore et encore. Toujours plus. Encore plus. C’est quand la bouteille tombait que le trou noir pris possession de ton cerveau. Et qui te donna quelques épisodes de ta folle nuit.

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Heure inconnue :

C’était illuminé de partout. Le bruit des machines à sous avaient disparu pour laisser place à celui de la circulation urbain. Comme à New York, la ville grouillait de monde. Illuminés de plein de couleurs. Qui t’arrachait les yeux. Vu l’alcool que tu avais bu. Bras dessus bras dessous en compagnie d’Ava, tu regardais en l’air. « J’ai… j’ai une putain d’idée ! Viens ! » Tu ne savais pas ce que tu faisais. Tu savais juste une chose. Qu’il y avait une tyrolienne de malade à Vegas et que tu voulais en faire pour connaitre la sensation de planer comme un oiseau. Tu tournas la tête à gauche et à droite. Evitant de justesse une voiture. « Tu veux voler comme un oiseau ? » Ca aurait pu faire un air mystérieux et même formidable si tu étais sobre. Mais tu ne l’étais pas du tout. Toi tu étais fort minable.

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Ce qui se passait à Las Vegas restait à Vegas. Ce diction était connu de tous. Et tu le compris encore plus ce soir-là. L’absinthe coulait dans tes veines. Et tu étais certain que ton sang s’était transformé en alcool tellement tu en avais abusé. Mais tu en avais besoin. Tu te sentais bien. Euphorique. Et non dans l’état où tu avais été en venant ici. Tu ne te sentais plus lâche. Tu te sentais fort. Tellement fort et bourré que tu avais emmené ta nouvelle amie dans l’un des endroits les plus trippants de Las Vegas. Le dernier endroit où tu aurais été si tu avais été sobre. Car le vertige c’était clairement ton truc. Mais comme on dit l’alcool rendait l’homme courageux. Ou totalement idiot. A voir. Toujours est-il que tu étais sur le point d’être attaché à la plus grande tyrolienne de Las Vegas. Rien que ça. A côté de toi, Ava semblait aussi folle. Et bourrée. Sa réponse te fit rigoler. « Comme elle, je veux la totale ! » De se coucher pour avoir encore plus l’impression de planer. De voler dans les airs. On ajusta ton baudrier. Te demanda si tu étais confortable dedans. Ils prenaient des précautions car en bas. En bas. La descente pouvait être mortelle. Mais même ça, ça ne te venait pas à l’esprit. Tu voulais encore plus planer que tu l’étais déjà. Et les organisateurs se fichaient pas mal que vous étiez bourrés. Eux tout ce qu’ils leur importaient étaient que vous atterrissez au point d’arriver vivant. Tu portas un regard sur Ava. Un regard empli d’amusement. Et d’ivresse. « Et encore tu n’as encore rien vu ! » C’est après ses belles paroles qu’on t’invita à te coucher. Les mains sur les sangles et d’un mouvement souple, tu partis. En même temps qu’Ava. Tu te sentis glisser. Voler. Et qu’est-ce que c’était bon. La descente te fouetta le visage de son vent frais. Tu avais l’impression d’être un aigle à cet instant. Tu hurlas de joie. Regardant à ta gauche Ava y était. Deux aigles fondant la ville. Les ruelles de Las Vegas étaient toutes petites. La descente ne dura pas éternellement et tu arrivas sans tomber à la piste d’arrivage. « C’était trop bien ! Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? » Le baudrier fut enlever et en quelques minutes, tu te retrouvais les pieds au sol dans la ville aux milles péchés en compagnie d’Ava. « J’ai soif pas toi ? » Cette descente t’avait donné encore envie de boire. Et par miracle un grand panneau jaune lumineux avec inscrit « bar » s’éclaira non loin de vous. Tu le rejoignais rapidement et tu trouvas rapidement avec un pichet d’un alcool imprononçable dans ton état. L’ivresse était devenue ton prénom. Ta raison de vivre. Et qui te donna un sacré trou noir. Car après ça, tu ne te rappelas plus de ta soirée.

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Des singes avec des maracas te tambourinaient ton cerveau. Du moins c’était l’impression que tu avais vu le mal de tête que tu avais. La gueule de bois. Et pas une petite, messieurs dames ! Une olympique. Tes yeux s’ouvrirent pour vite se refermer. D’un geste d’une main, tu trouvas le confort d’un lit. Au moins tu n’avais pas dormi dehors c’était un bon point. Ta main rencontra une autre main qui n’était pas la tienne. Qui te fit ouvrir grand les yeux. Et te fit t’asseoir sur le lit. Le mal de tête te rappela à l’ordre. Et tu te passas une main sur ton front dans l’espoir t’apaiser le concert de hard métal qui se passait dans ta tête. Tes yeux arrivèrent un temps soit peu à s’habituer à la lumière et tu remarquas que tu étais vêtu d’un drôle d’habit. Un qui ressemblait à un costume alors que tu n’étais pas habillé comme ça hier soir. « C’est quoi ce bordel ? » Car ouai. Tout ce qui se passait à Vegas restait à Vegas. Et que l’alcool faisait des ravages. Tu n’allais pas tarder à savoir c’était lequel le tien. De ravage. Tu aurais du emmener avec toi modération siffla ta conscience.

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crédit/ bricole gif : hypnoze feat. @Ava Sterling

Mal à la tête. Gueule de bois olympique. Voila ce que tu avais comme résultat vu la cuite monumentale que tu t’étais pris hier. Tellement qu’elle devait être extraordinaire vu que tu n’avais pratiquement aucune bride de souvenirs. Tu essayais tant que mal de te souvenir de quelque chose. Tu te concentrais. Tu avais été boire dans un casino et tu étais tombé sur Ava qui désirait de la chance sous forme d’air. Ok. Ca avait fini par boire de l’absinthe. Ca aussi tu te souvenais. Comme le son de sa voix qui revenait dans ton esprit. Et revenait dans tes oreilles à cet instant. Tu tentas d’ouvrir un œil pour poser un regard sur elle. Elle était en sous vêtement. Mais c’était bien elle. Qui était dans ce lit. Au moins tu n’avais rien fait avec elle vu que tu portais tes habits. Tu poussas un soupire. Même si tu avais fui ton mariage avec Aleksey, tu restais un homme fidèle. Enfin est-ce que maintenant il y avait une question de fidélité vu que tu l’avais fais ? Cette pensée te fit refermer tes yeux. La nouvelle question d’Ava tourna dans ta tête. « Parle moi fort s’il te plait. » Et tu passas ta main gauche sur ton visage pour tenter de calmer le bruit qui s’y trouvait dedans. C’est un contact froid qui te fit ouvrir grands les yeux. Une bague se trouvait à ton annulaire. Il scintillait. Te narguait. Tu avais une bague. De mariage. Alors que tu avais fuis ton propre mariage. Et Ava semblait le réalisé également. « Putain de merde ! » Tu t’étais mariée à Las Vegas avec la première inconnue. Résumant bien la situation. Vous étiez dans la merde. Toi tu l’étais encore plus. Il ne fallait pas que quelqu’un l’apprenne. Surtout pas Aleksey. Tu poussas un soupire et te laissa tomber dans ton lit. Réflechis Enzo. « Putain on a vraiment merdé. » Et pas qu’un peu. Selon les lois, un mariage ici restait un mariage. Avec un contrat de mariage et tout. Ce qui sous-entendait un divorce. Cette pensée te fit chercher dans ton sac un paquet de doliprane. Tu en avais besoin. Tu le trouvas et tu en avalas un cul sec et en proposa un à Ava. « Il faut qu’on aille voir celui qui nous a marié et qu’il nous annule tout ça. » S’il fallait le payer, tu avais de quoi le faire. Tu secouas la tête. « S’il ne veut pas, on n’aura qu’à le menacer. Vu l’état qu’on est j’imagine qu’hier ça se voyait à des kilomètres qu’on était complètement bourré. » Oui. S’il fallait que tu uses de la menace ou d’un avocat pour ça, tu le ferais. Tu ne t’en priverais pas. Tous les moyens étaient bons pour y mettre fin. « Faut juste qu’on retrouve où ça c’est fait. Tu t’en souviens toi ? » Car toi plus tu cherchais tes souvenirs, plus ils partaient très loin de ton cerveau. Bref tu étais vraiment dans la merde quoi. Foutu Las Vegas !