—L'entraide peut se trouver la où on ne l'imaginais pas. —
Clairement il ne savait pas pourquoi il était ici. A bord d’un métro alors qu’il aurait très bien pu prendre sa voiture pour aller à sa destination. Mais le mal était fait. Comme la chance n’était pas de son côté, il s’était installé à côté d’une femme. Qui se mis à l’insulter parce qu’il lui aurait fait mal alors qu’il ne l’avait pas effleuré. Bon nombres de citoyens étaient à bord du wagon mais chacun jouait les aveugles. Car c’était commun à New York. Et plus facile de ne pas intervenir. Les insultes fusèrent jusqu’à l’intervention d’un autre homme qui vous viens en aide. Et si c’était le début d’une belle histoire d’amitié entre vous deux ?
Amusez vous bien !
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« Nino Evans »
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we're curious
Nino Evans
Ven 15 Mar 2024 - 13:22
Qu'est ce qu'il t'as pris de prendre le bus plutôt que la voiture ? C'est assez simple, cela te reviens moins cher de prendre le bus mais c'est aussi plus de personne pas toujours sociable, cela prend plus de temps mais pas toujours. D'ailleurs, tu n'aurais jamais dû prendre le bus, tu n'as qu'une seule envie c'est de dire à cette femme de se taire, elle se prend pour qui à t'insulter de tout les noms d'oiseaux. "Ecoutes puisque tu te permets de m'insulter, je vais te le dire une dernière fois, je ne t'ai pas toucher !" Elle prend peut-être ses rêves pour la réalité, mais jamais tu ne toucherais une femme de son genre. Mais elle continue encore et encore, tu craques tes doigts entre eux, te retenant fermement. Que dieu fasse que son arrêt soit le prochain, mais tu sais que dieu n'existe pas et qu'il ne viendra jamais à ton secours.
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Notre faiblesse ne vient pas de nous-même. Mais de ce que nous avons à l'extérieur.
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Ambrosio Altréides
Sam 16 Mar 2024 - 8:17
Il n'y a pas de meilleur endroit que le métro pour haïr l'humanité [Loterie RP]
feat Ambrosio Altréides & Nino Evans
Le métro, sans doute plus une étude sociale qu'un réel besoin pour moi. Je ne sais pas pourquoi je me suis dit que j'allais prendre le métro pour éviter le trafic en heure de pointe aujourd'hui. Je n'étais même pas en retard. J'aurai pu prendre la voiture sans doute même que j'aurai dû.
Le métro ce n'est pas vraiment une de mes habitudes, et ce, même s'il faut avouer que New York est admirablement bien desservie. Je n'aime pas spécialement me coller aux gens plein de sueur, respirer leurs parfums bons marchés et leur senteur. Je devrais même parfois dire leur puanteur. En cet instant la rame est juste assez bondée ce qu'il faut pour que je n'aie pas trouvé de place assise, je ne sais même pas si je me serais assis de toute manière.
Soudain une esclandre un peu plus loin. D'abord intrigué, sans doute comme la majorité des gens, je lève la tête de la torpeur que je me suis infligée et je regarde la scène. Un jeune homme pas trop mal fait de sa personne et une femme à l'allure... et bien discutable. Apparemment l'embrouille vient du fait que le jeune homme l'ait... touché ? Sans doute en s'asseyant, je ne sais pas pourquoi mais je doute qu'il ait voulu lui caresser les fesses, pour moi il n'a pas vraiment le profil type du gars intéressé par elle mais je peux me tromper.
Comme la nature humaine est faite, personne ne bouge, tout le monde regarde la scène comme un spectacle au zoo. La femme commence à sacrément s'énerver et je vois bien que l'inconnu ne sait plus trop où se mettre. La femme hurle des insanités et je me décide à bouger et à m'approcher. Alors qu'elle allait vraisemblablement lui asséner un coup de sac, j'interpose mon bras et c'est moi qui me le prend, son sac. Elle ouvre de grands yeux et balbutie des excuses, quant à moi je prends la parole :
« Chéri ? Qu'est-ce que tu fais là ? Comment ça tu aurais touché cette dame ? Tu.. tu veux me tromper ? »
Oui j'avoue j'ai un peu mis les pieds dans le pas, mais je crois que ça, la dame ne s'y attendait pas à voir son air choqué. Avec un peu de chance elle a peur des homo et elle va juste se taire et se barrer... Ou alors elle va sauter sur l'occasion et tenter de dire qu'un gay l'a touché mais... pourquoi ? Cela n'aurait aucun sens. De toute manière je ne vois pas qui aurait eu envie de la toucher. Pour la paix de l'humanité, j'espérais que personne ne serait tenté.
Cet homme brun qui vient à ton secours, en t’appelant chéri, surnom dont tu n’as pas l’habitude d’entendre ni par une femme, ni par un homme. Tu avoues donc que dans un premier temps, cela te fait réellement peur. Mais très rapidement, tu te dis que cela ne pourrait pas être pire que cette nana qui t’ennuie depuis maintenant une bonne dizaine de minutes. Tu ne sais plus quoi faire et tu dois avouer que tu as peur de perdre patience et de devenir vulgaire ou même violent. Tu décides donc de saisir cette opportunité en jouant le jeu que la personne a commencé. “Je dépose nos papiers pour notre mariage à la mairie, je te l’ai dit ce matin, tu as déjà oublié ?” Dis-tu en répondant tout simplement à sa question. La jeune femme commence par se reculer, surprise de ce fait et pour appuyer tes propos. “Tu sais bien que si je devais te tromper, ce serait avec un milliardaire dans une limousine. Pas avec une mégère dans le métro.” Tu enfonces un peu plus le clou à grand coup de marteau, à ce moment précis le métro s’ouvre et tu vois la femme partir en catastrophe, tu n’es pas totalement sur que ce soit sa station mais tu es heureux qu’elle parte enfin, comme soulager tu pousses un soupir. Puis tu part dans un éclat de rire, car il n’a jamais été question de mariage ni même d’être homosexuelle ou quoi que ce soit de ce fait. Tu espères d’ailleurs que cet homme ne s’imagine pas des films. Non pas que tu veux lui faire du mal ou être plein de préjugés mais que ce soit un homme ou une femme, tu veux tout simplement personne dans ta vie. Tu n’es pas fait pour les relations sérieuses qu’elle soit de longue ou de courte durée. Séquelle du passé qui a un grand impact sur ta vie amoureuse. “Merci, je n’en pouvais plus.” Tu ne sais pas si elle avait réellement penser que tu l’avais toucher ou non, si elle avait voulu chercher les problemes à une personne ou non, mais ce qui est réellement sur, c’est que toi tu sais que jamais tu ne l’aurais frôler, elle n’est pas ton genre de femme que ce soit physiquement ou même psychologiquement. “Je m’appelle Nino” Que tu lui dis en tendant la main au jeune homme, en signe de réel remerciement.
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Ambrosio Altréides
Lun 18 Mar 2024 - 10:26
Il n'y a pas de meilleur endroit que le métro pour haïr l'humanité [Loterie RP]
feat Ambrosio Altréides & Nino Evans
Un Mariage carrément ? Je manque de rire mais je tiens le sérieux comme il sied. Je dois dire que je ne m'attendais pas à ça mais pourquoi pas. En tout cas cette sortie a eu le mérite de scier totalement la dame. Elle n'a plus moufté l'ombre d'une parole et il faut bien dire que c'est ce que nous attendions. Elle finit par détaler sans demander son reste et mon sourire prend de l'ampleur alors que l'homme soupire, je pense, de soulagement.
« Un sacré phénomène celle-là »
Lui aussi me semble être quelque part un phénomène. Il serait sorti avec un milliardaire plutôt que moi ? Je ne le suis en soi peut-être pas mais vu mes fonds actuels et ma famille, il est plus probable que cela arrive, plutôt que le contraire. Mais ça, ce n'est peut-être pas utile de le mentionner pour le moment. Les relations uniquement basées sur mon argent et mon statut d'héritier de l'empire Altréides, actuellement je sature un peu.
Une main tendue et une présentation, je souris en lui prenant la main et plutôt que de la lui serrer normalement, je lui fais le coup du baise main à l'ancienne sans toucher sa peau comme il se doit.
« Ainsi mon futur mari a pour nom Nino ? Je suis heureux de le savoir »
Et je laisse échapper cette fois mon rire avant d'ajouter :
Pour être un sacré phénomène, en effet elle en était un. Tu sais que tu ne l’avais pas touché et le fait qu’elle te prenne la tête depuis plus de dix minutes pour quelque chose qui n’existe pas, tu ne comprends pas. C’est aussi une des premières fois que tu ne réponds pas, que tu ne pars pas en vrille ou que tu parviens à garder ton calme alors que tu es un impulsif. Une personne qui perd son sang froid en une fraction seconde. Mais à ce moment précis, tu avais seulement l’envie d’être au calme. Enfin le métro n’est pas l’endroit idéal pour l’être. “A qui le dis tu. J’ai cru qu’elle allait jamais me lâcher cette folle.” Qui avait pris ses rêves pour la réalité. Elle devrait justement peut être assouvir ses pulsions sexuelles cela lui permettrait de savoir lorsqu’on la touche ou non. Pendant ton discours tu avais utilisé des propos qui ne te ressemblent pas. En effet, tu n’es pas ce genre d’homme à te taper des milliardaires. Tu as bien du mal avec ce genre de personne, tu n’aimes pas le fait qu’il soit présomptueux, qu’ils se pensent au-dessus de tout. Alors qu’en réalité, tout le monde fait caca de la même façon. Le coup du baise main, pour toi c’est beaucoup mais tu ne sais pas pourquoi tu veux continuer à jouer le jeu après tout tu lui expliqueras plus tard que tu n’es pas attiré par les hommes et puis il est possible que tu ne le revois jamais, ou que lui même soit attiré que par les femmes. Tu n’as pas envie d’être dans le jugement mais plutôt dans la légèreté. “Enchanté de savoir que mon futur époux s’appelle Ambrosio. Si avec les femmes ça ne marche pas pourquoi pas un homme, qui doit être unique.” Que tu dis tout en plaisantant et cela s’entend par tes rires. "Mon sauveur"
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Ambrosio Altréides
Mer 20 Mar 2024 - 7:34
Il n'y a pas de meilleur endroit que le métro pour haïr l'humanité [Loterie RP]
feat Ambrosio Altréides & Nino Evans
« Je ne prends jamais le métro d'habitude, mais je crois que je sais encore plus aujourd'hui pourquoi »
Petit sourire. Dans sa manière de parler et de me répondre, je me dis qu'il n'a surement jamais testé avec un homme de sa vie. Libre à lui, moi l'un ou l'autre ne me dérange pas, j'ai plus de choix ainsi, mais ce choix, si l'on peut dire, je ne l'impose pas. Je n'ai jamais forcé qui que ce soit et, à vrai dire je n'ai jamais eu à forcer qui que ce soit.
« Je vais en centre ville, manquerait plus maintenant qu'un imbécile se suicide sur les voies et qu'on soit bloqué »
Je roule des yeux. Déjà que le métro, même s'il est sensiblement plus propre que dans certaines villes, je le trouve quelque peu répugnant et puant, je n'ose imaginer y passer plus de temps que nécessaire même si je ne suis pas claustrophobe.
« En tout cas enchanté de te connaître Nino, et désolé si ce que j'ai dit a pu te mettre mal à l'aise, j'avoue que je n'ai pas vraiment réfléchi lorsque j'ai sorti ça, je voulais juste la choquer un moment, je ne pensais pas qu'elle allait aller jusqu'à tenter de te mettre un coup de sac »
Sac que je me suis pris sur l'avant-bras avec une certaine force. Je me demandais ce qu'elle avait pu bien mettre dans son sac, en tout cas je sentais encore maintenant une légère douleur mais rien de bien grave, tout au plus j'aurai un coup bleu demain matin, voila tout. Par acquis de conscience je regarderai sans doute dans les toilettes si un bleu se forme ou non, me voyant mal ôter ma chemise dans le métro pour vérifier.
NB : en anglais il n'y a pas de distinction entre le tutoiement et le vouvoiement (YOU) donc je pense qu'il aurait une attitude plus amicale avec le tutoiement ici mais si tu préfères, il peut avoir utilisé le vouvoiement.
Il ne prends donc pas le métro en temps habituel, tu ne sais pas exactement pour quelle raison. Mais à le scruter il te semble bien trop parfait physiquement, serait-il un gosse de riche ? Un gosse de Manhattan ? Ou alors tout simplement un homme maniaque et un homme qui préfère passer des heures dans sa voiture. Ne pas porter de jugement Nino, ce n’est pas le moment il vient de te sauver la vie. Et puis toi non plus, tu prends pas toujours le métro mais certainement plus que lui. “Pourtant pour certaines parties de la ville, c’est plus rapide. Mais on trouve d’étrange personnes aussi.” Comme cette femme que vous pouvez prendre en exemple. “Je te rassure le suicide des personnes ne sont pas si souvent, on est plus bloquer par les personnes qui joue avec les barrieres et autres.” Tu n’as jamais fait partie de ces personnes, mais tu dois avouer que tu en connais plus d’un qui sait amuser à ce fait et que tu as dû aller chercher au poste de police te faisant passer pour leur frères ou autre car ils n’avaient pas grand monde à appeler. “Le suicide sur les voies, c’est un truc de riche, bien trop mélodramatique dans le bronx on a pas ce problème.” Que tu avoues même si tu es un peu dans le jugement. “Oh ne t’en fais pas, je ne te serais jamais assez remerciant. Et même si je ne m’y attendais pas une seule seconde, ça m’aura au moins détendu et fait rire de jouer le jeu.” Parce qu’il faut dire ce qu’il y est, tu ne rigolais pas un seul instant avant que le jeune homme arrive. Cette femme faisait seulement te taper sur le système nerveux et jouer avec ta patience. “Apres je t’avouerais que je ne suis pas gay, bien que je n’ai aucun problème contre eux. Chacun fait comme il le sent dans sa vie.” Et toi, tu ne le sens pas, où bien tu ne t’ai jamais posé la question, mais tu n’as jamais ressenti aucune attirance alors tu n’as pas eu à te la poser cette fameuse question sur tes attirances. “Je ne m’attendais pas non plus à ce que ces paroles deviennent des actes, elle ne t’a pas fait mal au moins ?” Après tout, on ne sait jamais ce que les femmes dans leur sac et ça peut parfois peser lourd.
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Ambrosio Altréides
Mar 26 Mar 2024 - 8:52
Il n'y a pas de meilleur endroit que le métro pour haïr l'humanité [Loterie RP]
feat Ambrosio Altréides & Nino Evans
Certaines fois le chemin est plus rapide par le métro, oui, c'est bien ce que j'avais eu en tête en prenant aujourd'hui ce moyen de transport. Je ne m'étais pas attendu à y faire une rencontre cependant.
« Je ne suis pas certain que c'est mieux du coup »
En soit le fait de jouer avec les barrières était un problème qui mettait sans doute beaucoup moins de temps à régler que le suicide d'une personne. Après tout il fallait nettoyer les voies dans un tel cas. Mais sinon, le plus gros problème de New York était sans doute l'incivilité des gens. Mais ce n'était pas qu'à New York bien sûr. De plus en plus l'humain devenait égoïste.
« Je doute que les riches soient les seuls à connaître le suicide par un ras-le-bol de la vie »
Je l'observais. Il ne me semblait pas porter particulièrement des marques, il était vrai et avec ce qu'il disait du Bronx, il devait y vivre. C'était un quartier de mémoire assez pauvre, je devais avouer ne pas m'y rendre très souvent. Cela dit je doutais vraiment que seuls les riches aient cette aptitude au suicide. Les plus grands malheurs ne venaient-ils pas de la pauvreté ?
« Je pense que chez les riches, le suicide le plus prisé c'est plus les médicaments, l'overdose... Les trucs qui sont plus sans douleur, tu vois ? Le métro c'est plutôt... violent »
Je parlais en connaissance de cause car c'était ce que j'avais le plus entendu, connu. Personnellement le suicide par contre ne m'avait jamais traversé l'esprit. J'étais plutôt heureux dans ma vie actuelle. Je n'avais pas à me plaindre de mes revenus en tout cas. Quant à mes fréquentations et bien... tant que j'avais de l'argent sur mon compte en banque, je n'aurai sans doute aucun souci à voir voler les vautours. Ça j'en étais plus que certain. Pour les gens vrais, c'était plus complexe.
« Je ne suis pas gay mais je suis plutôt ouvert »
Je souris tranquillement avant de préciser sans aucune honte, juste au cas où cela serait flou pour lui.
« Je suis à voile et à vapeur comme le dit l'adage, je suis pour les deux, bisexuel en somme. Mais je te rassure je ne suis pas du genre à sauter sur tout ce qui bouge. Je n'attenterai pas à ta vertu »
Je lui fis un petit clin d’œil mais de toute façon à part l'avoir appelé Chéri dans le cadre de notre petite mise en scène, je n'avais rien tenté envers lui. Ni de le toucher, ni de chercher un contact prolongé avec lui.
« Je le sens un peu mais rien qui pourrait m'envoyer à l’hôpital. Ça va je suis encore assez résistant. Ne t'inquiète pas pour moi et puis on va dire que je l'ai un peu cherché en m'interposant. Le plus incroyable c'est que j'ai été le seul à bouger alors que tout le monde regardait. Bienvenue à New York »
L’incivilité te rassure plus que le suicide, le suicide est un fait irréversible. Un fait que l’on ne pourra plus jamais changer puisqu’on met fin à notre vie. L’incivilité, il suffit d’un bon redressement souvent même tout simplement de prendre en maturité pour te rendre compte que c’est idiot. Pour ta part dans ta vie, tu as été contraint de rencontrer les deux parties. Perdre des personnes par leur suicide, par leur dernier cris de desespoir et ceux qui ne sont pas civilisé ou en tout cas pas comme la société l’attends. Toi civilisé, tu es puisque tu as grandi dans une famille qui se prétendait croyant. “Ah non ça je suis d’accord avec toi, le suicide se trouve de partout, pauvre, riche, personne est épargné.” Tu te trouvais du parti des pauvres, alors que tu aurais pu être un riche si ton géniteur t’avais reconnu, plutôt que de s’éclater à sauter la terre entière. Cela attise aussi ton incompréhension des riches, leurs problèmes que seul des riches ont et que les pauvre rêverait d’avoir, leur façon de faire dans les faux-semblants. Un pauvre va avoir tendance à se suicider car il n’arrive plus à survivre dans sa vie, tandis qu’un riche juste parce qu’il a trop de pression sur les épaules. “La drogue tape partout aussi. Les riches peuvent en avoir à volontiers c’est sûr sans se ruiner pendant que le pauvre devient juste encore plus pauvre.” Et les drogues circulent bien plus facilement dans le bronx, brooklyn que dans Manhattan. Le prix est d’ailleurs pas le même selon l’endroit, la qualité non plus mais cela n’empeche pas à des femmes de prostitués pour un rail de plus, ou à un homme d’être prêt à faire un meurtre pour la même raison. “Le métro, c’est aussi m’a tu vu? Un pauvre, il s’en fout de se faire voir, personne ne se souviendra de lui.” Tu sais que tu es personne et que tu ne feras pas la une de la presse si un jour il t’arrive malheur. Toutefois, tu sais que de réel personne te pleurerais et non pas pour faire semblant. Tu écoutes ses propos au niveau de sa sexualité, et le fait qu’il se justifie t’amuse. Tu es réellement une personne qui ne jugera jamais quelqu’un car il est gay, bisexuelle, ou encore hétérosexuel. Il faut de tout pour faire un monde, et le principal c’est de voir des personnes heureuses plutôt que malheureuses. Pour ta part, tu ne t’es jamais posé la question car tout simplement tu n’as jamais eu aucune attirance envers un homme. “Oh quelle gentillesse. Mais ne t’en fais pas, bien que je sois imperturbable, toi tu as le droit d’être ce que tu veux. Tant que tu es heureux.” “C’est le problème à New-York, c’est que personne ne voit jamais rien. C’est une ville dangereuse où tout le monde ferme les yeux.” Pour ta part, ce n’est qu’une femme qui est venu t’importuner, mais tu sais qu’il y a des femmes qui se font violer dans le métro, ou encore des personnes qui se piquent.
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