•• Statut marital : Célibataire, profite de la vie
•• Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, même si elle n'a jamais tenté les femmes, alors elle ne peut pas l'affirmer
•• Métier / études : illustratrice pour enfant / galeriste
•• Quartier d'habitation : le Queens, en colocation
we're curious
Le petit plus Triggers: Warnings: Pronoms IRL: elle Pseudo: Jules Pseudo discord: Multicomptes: héra / gaby Habitude rp: Je / environ 300-500 mots Couleur rp: Disponibilité rp: dispo
Nymphéa Lockser
Lun 1 Avr - 19:19
Depuis les débuts les plaisanteries allaient bon train et les découvertes sur ce voisin qui m’avait inquiété étaient nombreuses. Agréables aussi car c’était un homme plein de surprise, avec un caractère simple, doux, et visiblement généreux. Pas de cadavres , pas de personnes ligotés, mais un mauvais rêve assez intense pour m’avoir alerté, il faut dire que passant devant sa porte à ce moment là, je ne pouvais pas laisser ces cris sans réponses… Et j’étais contente d’être là. D’avoir éloigner ses songes, qui lui faisait visiblement mal. Et c’était… Etrangement simple de me tenir face à lui. D’être dans sa cuisine, comme si je m’étais toujours tenue là. Près de lui… Les pensées nocturnes, la fatigue, tout était entrain de rendre mon cerveau ramollo, je ne voyais pas d’autres explications. Même si cet homme, Matt était vraiment très sympa. Et beau… Ok… La fatigue je vous dis.
« Absolument pas… Mais les règles sont faites pour être brisées… » Sourire aux lèvres, alors que son rire raisonne, entourant mon coeur d’une chaleur encore inconnue, suite des choses bizarre, invoquées par la nuit c’était certain. « Et tu dis ça à un éléphant dans un magasin de porcelaine. » J’éclate de rire. Aucun tact, surtout dans mes mots, avec ma franchise, j’étais loin d’être des plus subtile… même si par contre avec mes mains, un pinceau, un fusain, là oui.. C’était bien plus léger, délicat… Mais en sport, vous voyez, je suis plus celle qui se prend le ballon dans la tête et fini avec un beau bleu au milieu du front. Mais si je devais apprendre avec lui… Comme moi je lui proposais de l’aider pour l’art.. Alors je respecterais ses règles. Non sans tenter les limites évidemment. Et celle d’un jedi était tout autant à respecter. Mon rire résonna face à ses mots. La référence devait être connue du côté de Matt.
Nos rires partagés, nos regards, et cette sincérité troublante… Qu’est ce qui me prenait ? Le moment hors du temps, là, nos regards se perdant dans l’autre, devait être coupé par un rire, sinon je ne sais pas ce qui ce serait passé. C’était bien trop étrange,… Attractif, pour tenter de tout gâcher, en laissant les choses se dérouler sous nos pieds… « Docile ? Hâte de voir ça, je suis du genre cheval sauvage, que personne ne peut attraper… » Mes joues contre mon accord avaient rougis. Si ce n’était pourtant pas à double sens que cette phrase devait sortir, elle avait teinté mes pommettes. Et l’idée de le revoir encore une fois passait, nous devrions trouver une solution, pour une nouvelle rencontre, le vernissage serait-il suffisant? Je ne pense pas…
Cette soirée était aussi surprenante qu’agréable. Le temps semblait s’être arrêter, et à vrai dire rien d’autre ne comptait à cet instant que nos mots, et ces instants échangés avec Matt. Mais l’heure avait tournée, et moi… Je devrais aller dormir. Si Matt lui ne replongerait pas dans un sommeil apaisé, ni aucun sommeil du tout, moi je devais me lever tôt demain pour la galerie. De plus, c’était une intrusion qu’il n’avait peut etre pas souhaité… Même si l’entente entre nous était plus que foudroyante. Sa mains ur la mienne, chaleur qui me rassure, mon regard dans le sien doux… Mes épaules se détendent d’un coup, mon sourire timide se laisse apprivoiser. Il ne voulait pas que je parte. Et j’aurais pu rester des heures là, avec lui à discuter de tout et rien. Mais il avait raison, mes obligations de demain seraient bien compliquées avec quelques heures de sommeil… Trop peu… Et la fatigue viendrait rapidement, elle était peut etre même déjà là à troubler mon coeur, et mon esprit… Si ce n’était pas autre chose… Lorsque sa main s’éloigne et que je regarde la mienne, là où cette grande paume se trouvait quelques secondes plus tôt, laissant un vide… « Je .. Oui tu as raison. » Je me lève et prends mes affaires, pas la peine d’enfiler mon manteau, je ne quitte pas le bâtiment, je monte juste encore un peu. Rassurée par ses mots, je m’approche de lui et dépose mes lèvres sur sa joue. « Merci pour cette soirée Matthew.. » dis-je avec douceur. Et en arrivant auprès de la porte, lui lançant un dernier regard, j’ajoute. « Oublie pas de m’envoyer un message, je suis pas loin. » Si ses rêves le troublent, ou juste s’il a envie de discuter…
Poussant la porte de ma chambre, rentrée sans faire de bruit, je suis sur un petit nuage, le sourire toujours collé à mes lèvres. C’était quoi? Une soirée, un moment hors du temps… Suspendu dans un autre monde… Et demain ? Je me rendrais compte que je l’es rêvé ou… Il sera bien réel….?
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"C'est le temps perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante"
•• Les crédits : tumblr (ultra violence) signature SIAL
•• Âge : 28
•• Nationalité(s) : américaine
•• Statut marital : célibataire (pas si) endurci
•• Orientation sexuelle : Plutôt hétérosexuel a priori, il ne s'est jamais posé de questions
•• Métier / études : militaire à l'aube de la réforme
•• Quartier d'habitation : Queens
we're curious
Le petit plus Triggers: Maltraitance animale, traité d'être humains Warnings: Violence, abandon, deuil, troubles psychiques Pronoms IRL: Elle Pseudo: Now Pseudo discord: Multicomptes: Viggo Sundman, le milliardaire insupportable Habitude rp: Il / 1000/1500 mots Couleur rp: Disponibilité rp: Open
Matt Hammonds
Mar 2 Avr - 17:30
Troublemaker
Il y avait des gens avec qui tout semblait d’une simplicité déconcertante, tout coulait de source dès la première seconde. Nymphéa faisait partie de ces gens-là. Malgré la raison pour laquelle elle avait été amené à frapper à sa porte, malgré les circonstances peu favorables et la façon dont elle s’était introduite chez lui, il n’y avait aucun malaise entre eux. C’était si facile que s’en était déconcertant. Avant cette nuit ils ne se connaissaient pas, ils ne s’étaient même jamais vu ou aperçut dans les couloirs de l’immeuble et ils discutaient de tout et de rien, apprenant à se connaitre autour d’un chocolat chaud au beau milieu de la nuit et tout semblait normal.
« Il y a quand même certaines règles avec lesquelles il ne faut pas trop jouer et là je ne parle pas de sport ! » Avec toujours cette impression qu’il l’avait toujours connu, il ne s’était pas étonné le moins du monde de la sentir aussi anticonformiste. Lui, il avait toujours suivi les règles, en sport surtout, c’était sûrement de là que venait la différence si palpable entre eux.« Je t’apprendrais à contourner la règle en toute subtilité alors. ». Ils avaient échangé à nouveau un sourire un peu trop complice pour deux étrangers. Une nouvelle fois le rire de Nymphéa s’était élevé dans les airs et il était resté là, à la regarder en espérant secrètement que ce moment ne s’arrêterait jamais. Il avait la sensation qu’il aurait pu rester là, à l’écouter rire, pendant des heures sans jamais se lasser.
Ce moment avait quelque chose de particulier. Quelque chose qu’il n’avait jamais vécu, jamais ressentit et surtout qu’il ne pouvait pas expliquer car comment mettre des mots sur une chose que l’on peine à comprendre ? Décidément, ces derniers temps il ne lui arrivait que des choses qu’il peinait à comprendre mais cette fois c’était, étrangement, bien plus agréable. Il s’était perdu dans les yeux de la brune et ses pensées déviaient dangereusement. Il avait cette sensation étrange, une intuition troublante, que ses barrières, les limites qu’il s’était fixées depuis longtemps et qu’il n’avait cessé de s’efforcer de maintenir quitte à les rendre infranchissables, pouvaient vaciller à tout moment. Il fallait que cet instant bien trop intense cesse ou peut être pas, il ne savait plus vraiment ce qu'il voulait. Finalement un nouveau rire de Nymphéa était venu relancer la conversation. « Tu sais j’ai vécu pas mal de temps au Texas, les chevaux sauvages ça me connait ! C’est un défi qui ne m’impressionne pas. » Il se sentait même prêt à relever tous les défis qu’elle voudrait lui proposer si cela lui permettait de passer à nouveau un moment avec elle.
Ça n’était que quand ses yeux s’étaient perdus, presque par hasard, sur l’horloge du four qui se trouvait derrière elle qu’il avait repris contact avec la réalité. Il y avait une vie au dehors, elle avait sa propre vie, un travail prenant. Lui aussi avait sa vie qui, en ce moment, n’était pas des plus simples et le temps défilait. Il ne voulait pas que sa journée du lendemain soit difficile à cause de lui. Tout allait bien, les chocolats chauds étaient terminés depuis bien longtemps, elle n’avait dont plus aucune raison de rester, si ce n’est de continuer à discuter. Il ne voulait pas la laisser partir mais avait il le choix ? Il avait l'impression que ce serait comme si rien de tout cela n’aurait existé une fois qu’elle serait sortie d’ici et qu'ils redeviendraient les deux étrangers qu'ils étaient il y a encore quelques heures. Peut-être que ça serait le cas mais il ne voulait pas le croire, cela semblait impossible mais, cette rencontre aussi lui aurait paru impossible il y a encore peu de temps. Il avait posé sa main sur la sienne, pour la rassurer mais il ne s’était pas éternisé comme s’il avait eu peur que ce soit encore plus difficile de la laisser s’en aller après avoir senti sa douce chaleur. Alors qu’elle s’était avancée vers lui pour venir délicatement déposer un baiser sur sa joue il était resté immobile tandis que tout se bousculait dans son cerveau pour un geste pourtant anodin. « Merci à toi d’être venu Nymphéa. ». Il avait souri à son tour en l’observant s’éloigner.« Compte sur moi, je n’y manquerais pas. » C’était une certitude, il n’y manquerait pas. Une fois Nymphéa partie, le silence était retombé dans l’appartement baigné dans la semi obscurité. Il était resté là, de longues minutes, à observer les tasses de chocolat vides qui étaient une preuve tangible qu’il n’avait pas imaginé tout ce qui venait de se passer. Nymphéa était bien réelle même si elle semblait tout droit sortie d’un rêve étrange. Il la reverrait bientôt, c’était désormais certain, et à ce moment-là il saurait si ce qu’il avait ressenti ce soir était due la fatigue où si c’était elle le seul et unique élément déclencheur de tout cela.
